Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Jean-Marc Barr est éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film visionnaire qui transpose avec brio une problématique contemporaine sur un mode poétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Dans un futur proche et incertain, un brusque changement climatique a mené la vie sur Terre vers son extinction. Dans ce monde aux frontières redessinées, les migrants sont parqués dans des camps en attendant de pouvoir intégrer les villes protégées par des boucliers magnétiques. On aime.
Le Figaro
par La Rédaction
Entre science-fiction et parabole mystique, un film en noir et blanc à la beauté austère, parfois hermétique. Mais la critique des excès de la technique, la vision du lien profond entre la nature et l'humanité sont des thèmes puissants, remarquablement orchestrés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ambitieuse, lente et déroutante, cette fable à l’esthétisme épuré n’abuse pas des effets spéciaux mais du gris, des plans larges et des silences extra-larges.
Mad Movies
par François Cau
À terme, à force de sécheresse formelle et narrative, la métaphore finit par peser mais après tout, les impératifs de l'époque manquent eux aussi furieusement de légèreté.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
La lenteur narrative laisse toute la place à la magnifique photographie de Giles Nuggens (parfois trop, d'ailleurs). C'est une mince consolation en regard de la durée du film qui dépasse inutilement les deux heures, au point que l'on perdrait foi en son message pourtant très simple.
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Deux heures fastidieuses, pâles copies imprégnées de mythologie tarkovskienne.
L'Obs
par François Forestier
Résultat : symbolique pataude et message pâteux. Les paysages sont beaux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Marcos Uzal
Fable lente et indigeste, le film du Turc Semih Kaplanoglu livre une réflexion simpliste sur le monde en déliquescence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sylvestre Picard
Les quinze premières minutes de La Particule humaine sont d'une efficacité redoutable (...). Mais visiblement plus inspiré par Tarkovski que Ridley Scott, le réalisateur turc Semih Kaplanoğlu se perd ensuite dans un mysticisme judéo-chrétien finalement aussi creux que prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Jean-Marc Barr est éblouissant.
L'Humanité
Un film visionnaire qui transpose avec brio une problématique contemporaine sur un mode poétique.
Le Dauphiné Libéré
Dans un futur proche et incertain, un brusque changement climatique a mené la vie sur Terre vers son extinction. Dans ce monde aux frontières redessinées, les migrants sont parqués dans des camps en attendant de pouvoir intégrer les villes protégées par des boucliers magnétiques. On aime.
Le Figaro
Entre science-fiction et parabole mystique, un film en noir et blanc à la beauté austère, parfois hermétique. Mais la critique des excès de la technique, la vision du lien profond entre la nature et l'humanité sont des thèmes puissants, remarquablement orchestrés.
Le Journal du Dimanche
Ambitieuse, lente et déroutante, cette fable à l’esthétisme épuré n’abuse pas des effets spéciaux mais du gris, des plans larges et des silences extra-larges.
Mad Movies
À terme, à force de sécheresse formelle et narrative, la métaphore finit par peser mais après tout, les impératifs de l'époque manquent eux aussi furieusement de légèreté.
L'Ecran Fantastique
La lenteur narrative laisse toute la place à la magnifique photographie de Giles Nuggens (parfois trop, d'ailleurs). C'est une mince consolation en regard de la durée du film qui dépasse inutilement les deux heures, au point que l'on perdrait foi en son message pourtant très simple.
Cahiers du Cinéma
Deux heures fastidieuses, pâles copies imprégnées de mythologie tarkovskienne.
L'Obs
Résultat : symbolique pataude et message pâteux. Les paysages sont beaux.
Libération
Fable lente et indigeste, le film du Turc Semih Kaplanoglu livre une réflexion simpliste sur le monde en déliquescence.
Première
Les quinze premières minutes de La Particule humaine sont d'une efficacité redoutable (...). Mais visiblement plus inspiré par Tarkovski que Ridley Scott, le réalisateur turc Semih Kaplanoğlu se perd ensuite dans un mysticisme judéo-chrétien finalement aussi creux que prévisible.