Note moyenne
1,6
14 titres de presse
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Public
Sous ses allures de conte de fées, le film est une ode à l'affirmation de soi et un message positif à tous les timides qui se sentent exclus du monde.
Ecran Large
Tract éléphantesque pour un vivre-ensemble de pacotille, "Un raccourci dans le temps" se double d'un cataclysme plastique embarrassant.
IGN France
Très joli mais douloureux, Un Raccourci dans le Temps en prend justement un peu trop.
Télé 7 Jours
(...) ces aventures de SF, un peu kitsch et gentiment gnangnan, devraient séduire le jeune public friand de merveilleux.
Télérama
Adapté d’un livre culte aux Etat-Unis, le dernier blockbuster de Disney, s’il ne manque pas de kitsch, souffre des lourdeurs du genre : morale gentillette et scénario ultra cadré. Transformée en simple exécutante, la réalisatrice Ava DuVernay (“Selma”, “Le 13e”) y perd sa singularité.
Voici
Malgré ses bonnes intentions et son esthétique travaillée, ce conte SF trébuche sur son écriture erratique, qui réduit les enjeux à peau de chagrin.
aVoir-aLire.com
Un divertissement démesuré ébranlé par ses choix artistiques de bienveillance naïve qui limitera son public aux seuls 7-14 ans. Face aux visuels souvent bluffants, il est donc difficile de contenir un désagréable sentiment de frustration.
Critikat.com
Un raccourci dans le temps vaut comme piqûre de rappel sur ce qui arrive quand une entreprise de fédération conservatrice comme Disney décide, même dans les années 2010, de se passer de finesse.
Le Figaro
Un bon roman ne fait pas forcément un bon scénario -celui-ci est aussi incompréhensible que cousu de fil blanc- et tout ce qui faisait du Magicien d'Oz, il y a 80 ans déjà, une fable psychédélique, a ici une saveur mièvre, criarde et inepte.
Le Journal du Dimanche
La direction artistique, incompréhensible et criarde (mention spéciale au maquillage d’Oprah Winfrey), s’ajoute aux bons sentiments et au manque de rythme d’une odyssée nébuleuse et surréaliste.
Le Monde
La réalisatrice Ava DuVernay transforme un roman à succès en un conte sirupeux.
Le Parisien
Ce conte pseudo-fantastique avec Oprah Winfrey laisse sans voix tant il relève de la fumisterie.
Les Inrockuptibles
L'ambitieuse cinéaste semble avoir ici perdu ses moyens, (...) incapable de fabriquer le moindre plan qui ressemble un tant soit peu à du cinéma.
Sud Ouest
On n’est pas chez Lewis Caroll mais chez Madeleine L’Engle, auteur de ce roman qui parut en 1962 et dont la cinéaste Ava DuVernay (« Selma ») fait une pâte conforme aux goûts de Walt Disney. Mièvre et d’une laideur tapageuse.