Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"La Sapienza" est un film sur la réconciliation, d’abord avec soi-même et ensuite avec le monde. Jamais peut-être on n’avait senti Eugène aussi ému par ses personnages, ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
La beauté du film tient pour beaucoup à la manière dont ses personnages plantent (...) leur regard dans celui de la caméra, tandis qu’ils conversent d’un gracieux mystère dont la clé se trouve déjà livrée, magnifique, au spectateur, pure réfraction de lumière à même le marbre d’un visage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claude Rieffel
Green (...) refuse la connivence immédiate (...) pour mettre en place un rapport où la défiance initiale, l’acceptation des aspérités, voire des ridicules (la dimension comico-grotesque du film est part intégrante de sa démarche) sont la condition même d’un cheminement vers la lumière (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Chez Eugène Green, on ne se sent vivant qu’au milieu de sentiments sans mélange, on est heureux seulement dans l’intensité, qu’elle soit noir charbon ou d’une lumière d’or.
Chronic'art.com
par Louis Séguin
Eugène Green est un humaniste à l’ancienne, un des rares veilleurs des beaux arts, qui garde à cœur de de défendre dans son cinéma la vertu des humanités.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Ainsi, d’abstrait, le discours architectural tenu par les personnages dans le cadre de leur métier trouve à se matérialiser dans l’image même du film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un film exigeant et rare.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Par ses codes esthétiques rigoureux, ses dialogues très écrits énoncés d’un ton neutre, qui admet pourtant d’infimes inflexions, et le jeu millimétré des champs contre-champs, "La Sapienza" nécessite du spectateur qu’il en accepte la singularité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Eric Vernay
C’est majestueux et en même temps léger, gorgé de malice. Les fantômes du passé vivent en bonne intelligence avec le présent. Voilà un film euphorisant sur la langueur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Oui, c'est un film somptueux sur le savoir, la sagesse et l'amour.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Outre son point de vue enrichissant sur l'architecture, le film, pénétré par la musique éthérée de Monteverdi, procure les mêmes effets qu'une cure de rajeunissement. Synonyme, ici, d'un autre mot que l'auteur affectionne : "renaissance".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Eithne O'Neill
Nous avons apprécié la diction claire et la photographie, malgré des tremblements (de caméra, de copie ?) dans deux prises de vue. Toutefois, La Religieuse Portugaise (2009), plus intense, a trouvé plus de grâce à nos yeux.
Les Inrockuptibles
"La Sapienza" est un film sur la réconciliation, d’abord avec soi-même et ensuite avec le monde. Jamais peut-être on n’avait senti Eugène aussi ému par ses personnages, ses acteurs.
Libération
La beauté du film tient pour beaucoup à la manière dont ses personnages plantent (...) leur regard dans celui de la caméra, tandis qu’ils conversent d’un gracieux mystère dont la clé se trouve déjà livrée, magnifique, au spectateur, pure réfraction de lumière à même le marbre d’un visage.
aVoir-aLire.com
Green (...) refuse la connivence immédiate (...) pour mettre en place un rapport où la défiance initiale, l’acceptation des aspérités, voire des ridicules (la dimension comico-grotesque du film est part intégrante de sa démarche) sont la condition même d’un cheminement vers la lumière (...).
Cahiers du Cinéma
Chez Eugène Green, on ne se sent vivant qu’au milieu de sentiments sans mélange, on est heureux seulement dans l’intensité, qu’elle soit noir charbon ou d’une lumière d’or.
Chronic'art.com
Eugène Green est un humaniste à l’ancienne, un des rares veilleurs des beaux arts, qui garde à cœur de de défendre dans son cinéma la vertu des humanités.
Critikat.com
Ainsi, d’abstrait, le discours architectural tenu par les personnages dans le cadre de leur métier trouve à se matérialiser dans l’image même du film.
Elle
Un film exigeant et rare.
La Croix
Par ses codes esthétiques rigoureux, ses dialogues très écrits énoncés d’un ton neutre, qui admet pourtant d’infimes inflexions, et le jeu millimétré des champs contre-champs, "La Sapienza" nécessite du spectateur qu’il en accepte la singularité.
Première
C’est majestueux et en même temps léger, gorgé de malice. Les fantômes du passé vivent en bonne intelligence avec le présent. Voilà un film euphorisant sur la langueur.
Sud Ouest
Oui, c'est un film somptueux sur le savoir, la sagesse et l'amour.
Télérama
Outre son point de vue enrichissant sur l'architecture, le film, pénétré par la musique éthérée de Monteverdi, procure les mêmes effets qu'une cure de rajeunissement. Synonyme, ici, d'un autre mot que l'auteur affectionne : "renaissance".
Positif
Nous avons apprécié la diction claire et la photographie, malgré des tremblements (de caméra, de copie ?) dans deux prises de vue. Toutefois, La Religieuse Portugaise (2009), plus intense, a trouvé plus de grâce à nos yeux.