Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Télé 2 semaines
par Emilie Meunier
Tourné dans une prison désaffectée de Rennes, ce film coup-de-poing joue la carte du réalisme sans jamais verser dans le misérabilisme. Osée et sans fard, cette plongée brutale dans le quotidien tendu de ces femmes parquées en cellule vise particulièrement juste. À ne pas manquer !
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
20 Minutes
par Caroline Vié
(Une) chronique qui balaye bien des idées reçues sur les femmes dans les prisons.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Réaliste et sans concession, ce film évite les clichés et dépeint avec force l'univers carcéral, sa violence, ses trafics. Derrière les barreaux, Sophie Marceau est formidable dans le rôle de cette femme amoureuse qui a sacrifié sa liberté.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L’actrice livre une composition si convaincante qu’on regrette, une fois de plus, que sa carrière soit peu en rapport avec ses capacités et sa popularité exceptionnelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une volonté de réalisme, sur un sujet lourd – les prisons pour femmes –, traité de manière frontale, où l’interprétation de Sophie Marceau, convaincue et convaincante, s’essaie à faire passer le côté convenu de l’ensemble.
Le Monde
par Noémie Luciani
Dans la plus forte scène, la taularde assiste à la défiguration d’une codétenue. Tandis que l’objectif se rapproche très lentement d’elle, Audrey Estrougo fait passer à l’exception d’un dernier plan très bref toute l’horreur du spectacle dans les yeux de Sophie Marceau (...) offrant la douleur de son héroïne avec une économie d’effets saisissante.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Inutile de dire qu'on est ici dans le dur, avec huis clos éprouvant tourné dans une prison désaffectée, humidité et température glaciale qui traversent l'écran. Mais le scénario vaut son pesant d'atmosphère et Sophie Marceau, qui ne rechigne jamais à monter sur le ring pour boxer son image, est une taularde qui mérite d'être défendue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Florence Roman
D'une brutalité parfois insoutenable, le film est aussi émaillé d'éclairs lumineux, de jolis moments d'humour et de camaraderie. Courez-y !
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(Sophie Marceau) nous bluffe, tant elle livre sa meilleure performance depuis longtemps.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film noir mais astucieux qui grâce à cette bande de filles (actrices et réalisatrice) au talent infini parvient à mettre du beau dans du laid et de la lumière dans du noir. Qu’elles en soient remerciées !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Totalement dévouée au film et à son personnage, Sophie Marceau porte l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Audrey Estrougo a réuni un formidable casting dominé par une Sophie Marceau en pleine possession de ses talents d’actrice, visiblement impliquée, qui joue la carte d’un naturel dénué de toute sophistication.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Nathalie Simon
La réalisatrice n'est pas partie sur de bonnes bases. Elle illustre un scénario déjà faiblard par des scènes inégales, un mélange de déjà-vu, de clichés et d'autres très improbables. C'est surtout l'interprétation des actrices que l'on retiendra. A commencer par celle de Sophie Marceau (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un huis clos documenté sur le milieu carcéral féminin, sujet audacieux qui cède un peu trop au romantisme de la fiction.
Positif
par Adrien Gombeaud
Toutes contribuent à faire de "La Taularde" le meilleur film de Sophie Marceau depuis une dizaine d'années (soit depuis "Anthony Zimmer").
Première
par Christophe Narbonne
(...) Sophie ne parvient jamais à faire oublier Marceau. C'est la force du film - la voir humiliée, battue, rageuse est en soi spectaculaire - et sa faiblesse : son aura décrédibilise l'ambition hyperréaliste du projet, par ailleurs plutôt bien documenté et mis en scène.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Sophie Marceau n'est pas une actrice de composition. Son talent se situe, au contraire, dans le naturel de son jeu. Voilà pourquoi la greffe prend mal et ce d'autant plus que Sophie Marceau est entourée d'un casting renversant de naturel et de puissance jamais fabriquée. Un cas d'école de fausse bonne idée.
Télérama
par Guillemette Odicino
Pour faire entrer et garder cette belle femme (trop) amoureuse en cellule, le scénario use de contours acrobatiques pas toujours crédibles. Mais il donne à l'actrice, cernée et sans maquillage, l'occasion de passer de la soumission à l'insurrection avec une belle énergie dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Avec ce rôle-performance, l'actrice préférée des Français amènera peut-être son public à regarder le côté obscur de l'univers carcéral.
L'Express
par Christophe Carrière
Une énième plongée dans l'univers carcéral, donc. Et que celui-ci soit féminin et servi par d'excellentes comédiennes ne suffit pas à pallier le manque d'originalité du scénario.
LCI
par Mehdi Omaïs
Dans cette succession de mésaventures attendues, la belle Sophie Marceau bataille avec une hargne indiscutable. La foi absolue qu’elle met dans son personnage nous attendrit d’autant plus qu’on a tout le mal du monde à croire au parcours de cette prof de lettres (...). Et c’est fort regrettable !
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
S’il dénonce les dysfonctionnements du système pénitentiaire, le film ne réussit pas à éviter les poncifs et les personnages caricaturaux. En revanche, il vous fait passer l’envie de quitter le droit chemin
Sud Ouest
par Sophie Avon
Impossible d'y croire, c'est la limite du cinéma et sa vertu : il rejette les greffes faites en dépit du bon sens, et celle-ci, concoctée par une cinéaste qui au demeurant ne manque pas d'obstination, Audrey Estrougo, n'a aucune chance de prendre malgré son casting royal (Suzanne Clément, Carole Franck, etc).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
Tourné dans une prison désaffectée de Rennes, ce film coup-de-poing joue la carte du réalisme sans jamais verser dans le misérabilisme. Osée et sans fard, cette plongée brutale dans le quotidien tendu de ces femmes parquées en cellule vise particulièrement juste. À ne pas manquer !
20 Minutes
(Une) chronique qui balaye bien des idées reçues sur les femmes dans les prisons.
Femme Actuelle
Réaliste et sans concession, ce film évite les clichés et dépeint avec force l'univers carcéral, sa violence, ses trafics. Derrière les barreaux, Sophie Marceau est formidable dans le rôle de cette femme amoureuse qui a sacrifié sa liberté.
L'Obs
L’actrice livre une composition si convaincante qu’on regrette, une fois de plus, que sa carrière soit peu en rapport avec ses capacités et sa popularité exceptionnelles.
Le Dauphiné Libéré
Une volonté de réalisme, sur un sujet lourd – les prisons pour femmes –, traité de manière frontale, où l’interprétation de Sophie Marceau, convaincue et convaincante, s’essaie à faire passer le côté convenu de l’ensemble.
Le Monde
Dans la plus forte scène, la taularde assiste à la défiguration d’une codétenue. Tandis que l’objectif se rapproche très lentement d’elle, Audrey Estrougo fait passer à l’exception d’un dernier plan très bref toute l’horreur du spectacle dans les yeux de Sophie Marceau (...) offrant la douleur de son héroïne avec une économie d’effets saisissante.
Le Parisien
Inutile de dire qu'on est ici dans le dur, avec huis clos éprouvant tourné dans une prison désaffectée, humidité et température glaciale qui traversent l'écran. Mais le scénario vaut son pesant d'atmosphère et Sophie Marceau, qui ne rechigne jamais à monter sur le ring pour boxer son image, est une taularde qui mérite d'être défendue.
Public
D'une brutalité parfois insoutenable, le film est aussi émaillé d'éclairs lumineux, de jolis moments d'humour et de camaraderie. Courez-y !
Télé 7 Jours
(Sophie Marceau) nous bluffe, tant elle livre sa meilleure performance depuis longtemps.
aVoir-aLire.com
Un film noir mais astucieux qui grâce à cette bande de filles (actrices et réalisatrice) au talent infini parvient à mettre du beau dans du laid et de la lumière dans du noir. Qu’elles en soient remerciées !
Ecran Large
Totalement dévouée au film et à son personnage, Sophie Marceau porte l'histoire.
Franceinfo Culture
Audrey Estrougo a réuni un formidable casting dominé par une Sophie Marceau en pleine possession de ses talents d’actrice, visiblement impliquée, qui joue la carte d’un naturel dénué de toute sophistication.
Le Figaro
La réalisatrice n'est pas partie sur de bonnes bases. Elle illustre un scénario déjà faiblard par des scènes inégales, un mélange de déjà-vu, de clichés et d'autres très improbables. C'est surtout l'interprétation des actrices que l'on retiendra. A commencer par celle de Sophie Marceau (...).
Les Fiches du Cinéma
Un huis clos documenté sur le milieu carcéral féminin, sujet audacieux qui cède un peu trop au romantisme de la fiction.
Positif
Toutes contribuent à faire de "La Taularde" le meilleur film de Sophie Marceau depuis une dizaine d'années (soit depuis "Anthony Zimmer").
Première
(...) Sophie ne parvient jamais à faire oublier Marceau. C'est la force du film - la voir humiliée, battue, rageuse est en soi spectaculaire - et sa faiblesse : son aura décrédibilise l'ambition hyperréaliste du projet, par ailleurs plutôt bien documenté et mis en scène.
Studio Ciné Live
Sophie Marceau n'est pas une actrice de composition. Son talent se situe, au contraire, dans le naturel de son jeu. Voilà pourquoi la greffe prend mal et ce d'autant plus que Sophie Marceau est entourée d'un casting renversant de naturel et de puissance jamais fabriquée. Un cas d'école de fausse bonne idée.
Télérama
Pour faire entrer et garder cette belle femme (trop) amoureuse en cellule, le scénario use de contours acrobatiques pas toujours crédibles. Mais il donne à l'actrice, cernée et sans maquillage, l'occasion de passer de la soumission à l'insurrection avec une belle énergie dramatique.
Voici
Avec ce rôle-performance, l'actrice préférée des Français amènera peut-être son public à regarder le côté obscur de l'univers carcéral.
L'Express
Une énième plongée dans l'univers carcéral, donc. Et que celui-ci soit féminin et servi par d'excellentes comédiennes ne suffit pas à pallier le manque d'originalité du scénario.
LCI
Dans cette succession de mésaventures attendues, la belle Sophie Marceau bataille avec une hargne indiscutable. La foi absolue qu’elle met dans son personnage nous attendrit d’autant plus qu’on a tout le mal du monde à croire au parcours de cette prof de lettres (...). Et c’est fort regrettable !
Le Journal du Dimanche
S’il dénonce les dysfonctionnements du système pénitentiaire, le film ne réussit pas à éviter les poncifs et les personnages caricaturaux. En revanche, il vous fait passer l’envie de quitter le droit chemin
Sud Ouest
Impossible d'y croire, c'est la limite du cinéma et sa vertu : il rejette les greffes faites en dépit du bon sens, et celle-ci, concoctée par une cinéaste qui au demeurant ne manque pas d'obstination, Audrey Estrougo, n'a aucune chance de prendre malgré son casting royal (Suzanne Clément, Carole Franck, etc).