Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Les ralentis grotesques et les flonflons patriotiques mis à part, c’est du cinoche solide, comme ses acteurs, qui raconte avec une efficacité hollywoodienne les limites de la liberté de la presse face au pouvoir politique et financier (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le film met en scène l’enquête puis l’enquête sur l’enquête, une fois mise en doute l’authenticité des documents accablant Bush. Cate Blanchett se met alors à beaucoup pleurer (la faute au cocktail chardonnay-Xanax). Redford, lui, reste digne dans la défaite. Et tient encore formidablement bien le bourbon.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Si le film est passionnant de bout en bout et Cate Blanchett sublime en passionaria de l'info, on peut regretter le ton parfois hagiographique et le discours psychanalytique un rien encombrant autour du passé de la protagoniste. Ce ne sont que quelques réserves pour une entreprise ô combien essentielle (...).
Si la réalisation est académique et la première partie manque un peu de souffle, la seconde moitié du film gagne en intensité, à mesure que la dimension humaine prend de l’ampleur, faisant jeu égal avec les questions éthiques.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Puisqu’il s’agit aussi de cinéma, la présence des deux stars charismatiques Robert Redford et Cate Blanchett compte pour beaucoup dans l’attrait du film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Là où Mann se tournait aussi vers le citoyen contemporain et sa baisse d'appétence pour la vérité des événements, Vanderbilt se contente de réduire la responsabilité de ce nouvel état des choses à de stricts effets de collusions et d'intérêts économiques.
Malgré de gros défauts formels, avec derrière la caméra un James Vanderbilt particulièrement empoté, le film séduit par son dernier tiers en forme d’interrogation sur l’erreur humaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On ne va pas se mentir, ce premier long métrage doit beaucoup au charisme d'un casting composé, outre ses deux têtes d'affiche, d'une pluie de seconds rôles croustillants tenus par des gloires passées ou des valeurs montantes.
Assez amer sur la capacité du journalisme à faire face, aujourd’hui, à la récupération de la démocratie par de puissants intérêts, Truth, en dépit de ses faiblesses, marque un tournant dans le genre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Là où "Spotlight" restait concentré sur son sujet, "Truth" se révèle bancal jusque dans son interprétation. Où Redford, tout en sobriété, contraste avec Cate Blanchett, toujours tentée d'en faire un peu trop.
Sans réels défauts, le film souffre cependant de sortir quelques semaines après le formidable "Spotlight" (...). Les fans de films hollywoodiens solides et classiques, à la mode des années 70, y trouveront leur compte.
Ambitieux et sincère, le réalisateur, fort de son expérience de scénariste ("Zodiac") rêvait d'un grand film de presse, qui existe déjà ("Révélations", "Spotlight")...
Par qui ont-ils été manipulés, ça l’histoire ne le dit pas, le scénario préférant se lamenter sur le sort d’une journaliste obsédée par la vérité qu’incarne Cate Blanchett avec conviction. De son côté, Robert Redford, plutôt ramollo, fait de la figuration dans ce téléfilm platounet, filmé façon série volubile et pleurnicharde.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
(...) ce film aurait dû être le pendant négatif de "Spotlight", la relation détaillée et sobre d'une débâcle journalistique. Mais l'affrontement entre une équipe de journalistes (...) et l'establishment républicain (...) est traité comme un quelconque mélodrame hollywoodien.
Pour une leçon de journalisme, mieux vaut se tourner vers le récemment oscarisé "Spotlight", et pour une leçon de cinéma vers l’inoxydable "Révélations" de Michael Mann.
Sans autre horizon qu’une ambition factuelle, James Vanderbilt, pourtant scénariste de l’autrement plus trouble "Zodiac" de David Fincher, signe ici cette enquête platounette qui s’en tient à son dispendieux casting (Robert Redford en justicier, Cate Blanchett en martyre) et à son titre grandiloquent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L’histoire (...) devrait flanquer le vertige, mais Vanderbilt n’en tire qu’un film-dossier patapouf. La diva Cate Blanchett, qui en fait des caisses, est, elle, de tous les plans ou presque (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
A la rigueur, l'interaction entre les comédiens peut faire illusion et sauver l'ensemble, certes intéressant dans son discours, mais aussi tragiquement daté et banal dans sa facture. Dans le genre, préférez "Spotlight".
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L’académisme est de rigueur dans un récit rigoureux de retranscrire les faits, mais qui en oublie l’essentiel, son existence en tant qu’objet de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
Une réflexion passionnante sur le droit à l'information.
L'Obs
Les ralentis grotesques et les flonflons patriotiques mis à part, c’est du cinoche solide, comme ses acteurs, qui raconte avec une efficacité hollywoodienne les limites de la liberté de la presse face au pouvoir politique et financier (...).
Le Figaroscope
Le film met en scène l’enquête puis l’enquête sur l’enquête, une fois mise en doute l’authenticité des documents accablant Bush. Cate Blanchett se met alors à beaucoup pleurer (la faute au cocktail chardonnay-Xanax). Redford, lui, reste digne dans la défaite. Et tient encore formidablement bien le bourbon.
Le Point
L'interprétation impeccable de Robert Redford et de Cate Blanchett transcende cette affaire médiatico-politique. Impressionnant.
Positif
Si le film est passionnant de bout en bout et Cate Blanchett sublime en passionaria de l'info, on peut regretter le ton parfois hagiographique et le discours psychanalytique un rien encombrant autour du passé de la protagoniste. Ce ne sont que quelques réserves pour une entreprise ô combien essentielle (...).
Télé 2 semaines
Si la réalisation est académique et la première partie manque un peu de souffle, la seconde moitié du film gagne en intensité, à mesure que la dimension humaine prend de l’ampleur, faisant jeu égal avec les questions éthiques.
20 Minutes
Puisqu’il s’agit aussi de cinéma, la présence des deux stars charismatiques Robert Redford et Cate Blanchett compte pour beaucoup dans l’attrait du film.
Charlie Hebdo
Là où Mann se tournait aussi vers le citoyen contemporain et sa baisse d'appétence pour la vérité des événements, Vanderbilt se contente de réduire la responsabilité de ce nouvel état des choses à de stricts effets de collusions et d'intérêts économiques.
Critikat.com
Malgré de gros défauts formels, avec derrière la caméra un James Vanderbilt particulièrement empoté, le film séduit par son dernier tiers en forme d’interrogation sur l’erreur humaine.
L'Express
On ne va pas se mentir, ce premier long métrage doit beaucoup au charisme d'un casting composé, outre ses deux têtes d'affiche, d'une pluie de seconds rôles croustillants tenus par des gloires passées ou des valeurs montantes.
La Croix
Assez amer sur la capacité du journalisme à faire face, aujourd’hui, à la récupération de la démocratie par de puissants intérêts, Truth, en dépit de ses faiblesses, marque un tournant dans le genre.
Le Dauphiné Libéré
Un film solide à la gloire du journalisme d’investigation, mais un peu long et déjà vu.
Le Journal du Dimanche
Ce récit à valeur d’exemple un peu daté manque de rythme, pourtant porté par le charisme de Cate Blanchett.
Les Fiches du Cinéma
Premier film, très amer, de James Vanderbilt, “Truth” réévalue, à la baisse, la puissance de la presse. Non sans un relatif panache.
Studio Ciné Live
Là où "Spotlight" restait concentré sur son sujet, "Truth" se révèle bancal jusque dans son interprétation. Où Redford, tout en sobriété, contraste avec Cate Blanchett, toujours tentée d'en faire un peu trop.
Télé 7 Jours
Sans réels défauts, le film souffre cependant de sortir quelques semaines après le formidable "Spotlight" (...). Les fans de films hollywoodiens solides et classiques, à la mode des années 70, y trouveront leur compte.
Voici
Ambitieux et sincère, le réalisateur, fort de son expérience de scénariste ("Zodiac") rêvait d'un grand film de presse, qui existe déjà ("Révélations", "Spotlight")...
CinemaTeaser
La preuve que de bons acteurs, un bon sujet et des intentions louables ne suffisent pas toujours.
La Voix du Nord
Par qui ont-ils été manipulés, ça l’histoire ne le dit pas, le scénario préférant se lamenter sur le sort d’une journaliste obsédée par la vérité qu’incarne Cate Blanchett avec conviction. De son côté, Robert Redford, plutôt ramollo, fait de la figuration dans ce téléfilm platounet, filmé façon série volubile et pleurnicharde.
Le Monde
(...) ce film aurait dû être le pendant négatif de "Spotlight", la relation détaillée et sobre d'une débâcle journalistique. Mais l'affrontement entre une équipe de journalistes (...) et l'establishment républicain (...) est traité comme un quelconque mélodrame hollywoodien.
Les Inrockuptibles
Pour une leçon de journalisme, mieux vaut se tourner vers le récemment oscarisé "Spotlight", et pour une leçon de cinéma vers l’inoxydable "Révélations" de Michael Mann.
Libération
Sans autre horizon qu’une ambition factuelle, James Vanderbilt, pourtant scénariste de l’autrement plus trouble "Zodiac" de David Fincher, signe ici cette enquête platounette qui s’en tient à son dispendieux casting (Robert Redford en justicier, Cate Blanchett en martyre) et à son titre grandiloquent.
Première
L’histoire (...) devrait flanquer le vertige, mais Vanderbilt n’en tire qu’un film-dossier patapouf. La diva Cate Blanchett, qui en fait des caisses, est, elle, de tous les plans ou presque (...).
TF1 News
A la rigueur, l'interaction entre les comédiens peut faire illusion et sauver l'ensemble, certes intéressant dans son discours, mais aussi tragiquement daté et banal dans sa facture. Dans le genre, préférez "Spotlight".
VSD
Une histoire édifiante sapée par des boursouflures formelles irritantes.
aVoir-aLire.com
L’académisme est de rigueur dans un récit rigoureux de retranscrire les faits, mais qui en oublie l’essentiel, son existence en tant qu’objet de cinéma.
L'Humanité
Cette nouvelle fiction consacrée au journalisme est loin de faire oublier le haletant Spotlight.