Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L’histoire et ses détails construisent le film et son protagoniste ; les points d’intrigue propulsent le récit et chamboulent le héros. De cette tension constante naît un foisonnement romanesque.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
John Crowley, le réalisateur de Brooklyn, adapte avec élégance le best-seller de Donna Tart dans un film un peu trop lisse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La narration enchâsse différentes temporalités pour ménager le suspense, quitte à s’y perdre un peu en mêlant des actions simultanées et en provoquant des ellipses. On est malgré tout emporté par la photographie de Roger Deakins et la performance émouvante du jeune Ansel Elgort, tout en intériorité, et de Nicole Kidman, délicate et subtile.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Le film, qui bénéficie d'un très beau casting, comporte de jolies scènes, notamment celles dans le désert du Nevada, aussi enlevées qu'incarnées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Cette adaptation impossible du best-seller de Donna Tartt réserve de beaux moments de grâce, malgré une narration surchargée.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Pourtant, s'il se laisse voir sans déplaisir, le film s'étire en longueur, est trop souvent noyé sous sa musique et manque de véritables partis pris qui lui donneraient une personnalité propre.
Première
par Sylvestre Picard
Oui, d’accord, on se prend les pieds dans ce résumé, mais à notre corps défendant, le film aussi : c’est très romanesque, peut-être très cohérent sur le papier mais à l’écran, c’est d’une longueur infinie, et on ne sait absolument pas où tout cela nous mène. Ni à quoi Le Chardonneret rime. Reste une belle parenthèse au milieu du film (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par A.V.
Un drame de facture très hollywoodienne.
Critikat.com
par Thomas Lequeu
À force de vouloir trop en faire, John Crowley prive Le Chardonneret de toute épaisseur, préférant sans cesse l’immédiateté du coup de théâtre à la noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
John Crowley adapte de manière trop ramassée le roman de Donna Tartt, dont l’intrigue court sur des décennies entre l’Amérique et l’Europe.
Télérama
par Louis Guichard
Mais, hormis quelques scènes intenses, sur deux heures et demie de mélodrame, le réalisateur John Crowley (Boy A) n’apporte qu’une sage mise en images à ce scénario qui semblait tendre les bras à Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le scénario aligne les clichés de la psychanalyse pour nuls et le volte-face final, sorti comme un lapin fatigué du chapeau d’un mauvais magicien, achève de précipiter l’ensemble dans l’échec.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Traduire ces pages en images était une mission impossible. Un conseil : se rendre dans une librairie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
D'où un cinéma inhabité, qui n'émeut pas, qui semble ignorer le romanesque né d'une écriture, d'une stylisation, et préfère l'illustration paresseuse d'une histoire dont tous les clichés et toutes les invraisemblances étaient savamment dissimulés par l'écriture de Tartt.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tout ce qui faisait la beauté du roman de Donna Tartt, la virtuosité du récit, l’ampleur de l’histoire, la complexité de l’intrigue, se voient éclipsés par une adaptation où les effets de manche et le maniérisme de la mise en scène éteignent toute émotion.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
CinemaTeaser
L’histoire et ses détails construisent le film et son protagoniste ; les points d’intrigue propulsent le récit et chamboulent le héros. De cette tension constante naît un foisonnement romanesque.
La Croix
John Crowley, le réalisateur de Brooklyn, adapte avec élégance le best-seller de Donna Tart dans un film un peu trop lisse.
Le Journal du Dimanche
La narration enchâsse différentes temporalités pour ménager le suspense, quitte à s’y perdre un peu en mêlant des actions simultanées et en provoquant des ellipses. On est malgré tout emporté par la photographie de Roger Deakins et la performance émouvante du jeune Ansel Elgort, tout en intériorité, et de Nicole Kidman, délicate et subtile.
Le Parisien
Le film, qui bénéficie d'un très beau casting, comporte de jolies scènes, notamment celles dans le désert du Nevada, aussi enlevées qu'incarnées.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation impossible du best-seller de Donna Tartt réserve de beaux moments de grâce, malgré une narration surchargée.
Positif
Pourtant, s'il se laisse voir sans déplaisir, le film s'étire en longueur, est trop souvent noyé sous sa musique et manque de véritables partis pris qui lui donneraient une personnalité propre.
Première
Oui, d’accord, on se prend les pieds dans ce résumé, mais à notre corps défendant, le film aussi : c’est très romanesque, peut-être très cohérent sur le papier mais à l’écran, c’est d’une longueur infinie, et on ne sait absolument pas où tout cela nous mène. Ni à quoi Le Chardonneret rime. Reste une belle parenthèse au milieu du film (...).
Voici
Un drame de facture très hollywoodienne.
Critikat.com
À force de vouloir trop en faire, John Crowley prive Le Chardonneret de toute épaisseur, préférant sans cesse l’immédiateté du coup de théâtre à la noirceur.
Le Monde
John Crowley adapte de manière trop ramassée le roman de Donna Tartt, dont l’intrigue court sur des décennies entre l’Amérique et l’Europe.
Télérama
Mais, hormis quelques scènes intenses, sur deux heures et demie de mélodrame, le réalisateur John Crowley (Boy A) n’apporte qu’une sage mise en images à ce scénario qui semblait tendre les bras à Hollywood.
L'Obs
Le scénario aligne les clichés de la psychanalyse pour nuls et le volte-face final, sorti comme un lapin fatigué du chapeau d’un mauvais magicien, achève de précipiter l’ensemble dans l’échec.
Le Figaro
Traduire ces pages en images était une mission impossible. Un conseil : se rendre dans une librairie.
Les Inrockuptibles
D'où un cinéma inhabité, qui n'émeut pas, qui semble ignorer le romanesque né d'une écriture, d'une stylisation, et préfère l'illustration paresseuse d'une histoire dont tous les clichés et toutes les invraisemblances étaient savamment dissimulés par l'écriture de Tartt.
Sud Ouest
Tout ce qui faisait la beauté du roman de Donna Tartt, la virtuosité du récit, l’ampleur de l’histoire, la complexité de l’intrigue, se voient éclipsés par une adaptation où les effets de manche et le maniérisme de la mise en scène éteignent toute émotion.