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    Housebound
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    3,1
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    55 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 février 2015
    Housebound, le premier long métrage de Gerard Johnstone, réalisateur néo-zélandais, sortira en France directement en DVD, faute de n’avoir pas pu trouver de distributeur en salle, le 16 février 2015. C’est pourtant ce genre de production originale que nous aurions besoin de voir arriver dans nos salles pour supplanter les Paranormal Activity et autres Annabelle qui n’inventent plus rien et ne se réinvente même pas elle-même. La Nouvelle-Zélande continue à nous offrir une petite production horrifique dont émerge chaque année quelques petites perles.

    Kylie Bucknell (Morgana O’Reilly) est une petite délinquante à qui la chance sourit rarement. Après un braquage qui tourne au ridicule, elle est condamnée à porter un bracelet électronique et à purger une peine chez sa mère, insupportable bavarde raciste à tendance bar du commerce, Myriam Bucknell (Rima Te Wiata) et son beau-père atone, Graeme (Ross Harper). Cette dernière est persuadée que la maison est hantée. Sa fille doute, mais des phénomènes bizarres vont peu à peu la convaincre tandis que son agent de probation Amos (Glen-Paul Waru), passionné de paranormal va leur prêter maint-forte. Cependant, le psychologue Dennis (Cameron Rhodes) pense que les deux femmes perdent la tête.

    Gerard Johnstone mélange pêle-mêle plusieurs styles, l’horreur avec l’usage de quelques « jump scare » lorgnant davantage vers la suggestion et l’épouvante, mais surtout vers l’humour nimbé de fantastique, sur les traces de Peter Jackson (retrouvez notre article sur le dernier chapitre du Hobbit). Les deux actrices jouant la mère et la fille sont tout bonnement excellentes dans le registre comique. Par certains aspects, Kylie Bucknell rappelle le personnage de Sarah dans l’excellente série canadienne Orphan Black. Sa désinvolture et ses moues dégoûtées en font d’emblée un personnage au second degré que personne, en conséquent, ne veut croit. L’agent de sécurité Amos se mue en véritable geek ambulant, contre toute attente, dès qu’il entend parler d’ectoplasme.Le psychiatre, censé représentait la raison au milieu de tout ce capharnaüm, semble également avoir besoin d’une bonne thérapie.

    Le scénario glisse lentement mais sûrement, décalant progressivement son propos, naviguant avec une certaine virtuosité entre les genres, et réussissant, apanage le plus important du thriller, à ne pas nous laisser une seule seconde devinait le dénouement et tous les fils de l’intrigue. On retrouve dans Housebound, le brin de folie qui faisait le sel des premières réalisations de Peter Jackson, qui a perduré avec des réalisateurs comme Jonathan King et son Black Sheep ou bien Greg Page (Bad Trip). Il existe bel et bien, une école néo-zélandaise reconnaissable parmi les autres. Le personnage d’Eugen (Ryan Lampp) rétréci la frontière entre la réalité et le fantastique, agissant comme une projection de notre propre peur de l’inconnu. Une fois son rôle dévoilé, et malgré son look burlesque à souhait, on ne sait pas si, d’un moment à l’autre, il ne deviendra pas une menace.

    Nous n’en dirons pas plus sur cette sympathique péloche fauchée qui prouve une fois de plus qu’un manque sévère de moyen n’est en aucun cas, un frein à la créativité. Nous vous laisserons la découvrir à sa sortie dans les bacs. Sachez toutefois que le film est déjà disponible avec le dernier numéro de Mad Movies.

    Retrouvez nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot :
    FaRem
    FaRem

    8 781 abonnés 9 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2014
    Un film surprenant je ne m'attendais pas à un film si décalé surtout avec une telle affiche c'est un film qui explore plusieurs registres puisqu'on passe de l'horreur au thriller en passant par la comédie et au début c'est ce dernier point qui m'a gêné car je ne m'y attendais pas mais finalement c'est ce qui fait tout le charme du film et après 40/50 minutes de flottement (oui c'est quand même long...) je me suis laissé prendre au jeu et j'ai passé un bon moment avec une histoire qui devient vraiment prenante elle est bien menée en plus on s'éloigne des histoires de maisons hantées en faite c'est un peu toute l'histoire de ce film on nous donne jamais ce que l'on attend et c'est ce qui fait sa force avec son coté décalé vraiment efficace et son humour qui fait bien souvent mouche.
    MC feely
    MC feely

    78 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 avril 2015
    Une réalisation beaucoup plus axée comédie tout de même,alors j'ai vu que l'humour a marché sur beaucoup de spectateurs et malheureusement ça n'a pas été mon cas,j'ai trouvé le tout bordélique et tellement grotesque qu'au final j'ai décroché très rapidement!même les mimiques et grimaces étonnées de la jolie Kylie n'ont pas fait mouche…tant pis il en faut pour tout les gouts comme on dit!1,5/5
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    190 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Film moyen qui renouvelle pas le genre, ça oscille entre humour et épouvante. Mais ça trouve difficilement un équilibre. Les acteurs sont bons et convaincants, mais l'histoire est assez prévisible.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 février 2015
    Avec un pareil scénario et une certaine volonté de bien faire, Gerard Johnstone (son seul long-mètrage pour l'instant) dose sur plusieurs genres (fantastique, humour horrifique, troubles psycho-sexuels, éléments surnaturels et imaginaires...), mais ne rèussit qu'à livrer un produit standard, souvent fade dans son interprètation! Sans avoir recours à des effets spèciaux mirobolants, le cinèaste se permet de raconter une histoire de maison hanté, dont la curiositè du coin est cette maison dans un trou perdu au milieu de nul part comme le nez au milieu de la figure et peuplè de crèatures velues tapies dans le noir le plus obscur! Très ètrange! Gageons que beaucoup se laisseront quand même tenter par la photo amusante de la jaquette qui a su garnir les rayons des vidèo-clubs d'antan, d'un petit film d'horreur néo-zélandais qui n'est cependant pas dèsagrèable à reluquer! Une mention spèciale à la jeune femme incomprise (mal aimée et tête à claques surtout) qui vient de débuter sa carrière et surtout à la pirouette finale qui laisse planer une certaine ambiguïtè (pris au second degrè, ce serait plutôt une certaine forme d’hilaritè). Une espèce de film méconnu déjà en voie de disparition! Sauvons le (ou non) de l’oubli...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 440 abonnés 4 462 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2017
    Housebound est un film audacieux et curieux, que je n’ai pas craint, mais qui reste souvent maladroit.
    Ce qui retient l’attention, c’est bien sûr le mélange des genres, les hésitations entre le fantastique, le thriller, le polar peut-être même, la comédie, le drame social (si, si !), un mélange qui peut faire peur sur le papier, mais qui n’est pas mauvais au final. En tout cas les différents éléments s’harmonisent honorablement entre eux, avec des petites touches de chaque, notamment la comédie qui s’insinue toujours de façon parcimonieuse et bien vus. Le film sait être accrocheur aussi, même si dans le genre il est difficile de faire franchement original. En revanche, il y a des incohérences, des invraisemblances aussi, et des ellipses à la crédibilité discutable. Je peux difficilement les exposer sans révéler des moments importants du film, mais je dirai que la plupart concernent le personnage de Graeme, et dans une moindre mesure celui d’Amos. Même si le film se prend souvent au second degré, ça m’a gêné malgré tout. Et je ne parle pas de certaines ficelles scénaristiques, sans doute erreur d’un débutant.
    Le casting est composé d’acteurs peu connus, mais globalement pertinents. Morgana O’Reilly trouve le ton juste, même si les évolutions de son personnage sont un peu brusques. Pour autant elle est solide et son rôle intéressant dans le genre. Elle est entourée de bons interprètes, notamment un Cameron Rhodes très remonté, et Rima Te Wiata séduit par son jeu sobre et percutant à la fois. J’ai beaucoup aimé l’interprétation dans l’ensemble, avec des personnages pour certains très classiques du genre (le voisin), mais écrits avec suffisamment de solidité, et avec des interprètes suffisamment pertinents pour n’en rien laisser paraître !
    Formellement Housebound est un métrage qui recourt à l’esthétique du cinéma d’horreur, là c’est évident. Décors gothiques, photographie sombre mais avec un côté un peu trop lisse et passe-partout, musique d’ambiance assez neutre, Housebound semble prendre peu de risques, ce qui est le cas en fait. Néanmoins la mise en scène est convaincante, c’est propre, c’est un premier film qui recycle des formules un peu usées, mais qui le fait avec suffisamment d’application pour ne pas décevoir, c’est déjà cela. Il y a tout de même de vraies bonnes idées de réalisation par moment, ce qui dénote un talent en émergence ! Niveau horreur il n’y a en réalité que deux scènes qui sont vraiment sanglantes, donc il ne faut pas trop attendre niveau graphique.
    Housebound n’est donc pas un grand film d’horreur, mais c’est un premier film propret, suffisamment bien fait et bien interprété pour combler une soirée d’un public pas trop initié au genre. Même si j’ai été quelque peu agacé des trous scénaristiques, je reconnais qu’il y a une franche volonté de bien faire, et surtout d’innover par le mélange des genres, ce qui comble partiellement l’impression de déjà-vu. 3.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    999 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2015
    Pour son premier long-métrage, le réalisateur néo-zélandais Gerard Johnstone, auteur de la série The Jaquie Brown Diaries, pond une grosse surprise horrifique avec le talent que l'on connait des néo-zélandais pour le genre. Peter Jackson, Jonathan King, les Frères Spierig (OK ils sont Australiens)... Tous ont ce petit quelque chose qui fait que leurs films d'horreur se démarquent : d'abord un sens aigu de la mise en scène et de la narration mais aussi l'ajout d'un humour presque british des plus désopilants qui ne casse pas le rythme du film mais au contraire lui apporte une dimension plus agréable. Et Housebound déborde de cet humour succulent qui contraste avec un scénario machiavélique... Une ado rebelle essuyant tous les clichés possibles (hardeuse fumeuse qui se goinfre devant la télé et répond mal à sa mère) est obligée de revenir à la demeure familiale pour cambriolages répétés, un bracelet électronique à la cheville. Sa mère croit dur comme fer que la maison est hantée par un ou des revenants ayant habité la demeure tandis que notre héroïne commence à imaginer un scénario tordu comme quoi c'est son voisin bizarre qui aurait tué les anciens occupants de sa baraque. Jusqu'ici, nous sommes devant le remake de Paranoïak, on est d'accord. Sauf que Johnstone va aller plus loin, beaucoup plus loin, dans son idée en poussant l'investigation de la jeune femme, aidée d'un policier rigolo, jusqu'à une succession de fausses piste et donc de révélations toutes plus folles les unes que les autres. Certes, l'enchainement peut donner mal au crâne et la déception peut aisément s'emparer du spectateur qui croyait avoir affaire à un nouveau film de fantômes (comme le laisse suggérer d'ailleurs l'affiche du film). Pourtant, agrémenté de pointes d'humour noir décadent, de passages terriblement dingues et d'autres touches de gore bienvenues, Housebound s'avère rafraichissant et ce même si certaines séquences frôlent le ridicule (l'infiltration chez le voisin). Exploitant avec brio tous son décor pourtant restreint et filmant avec une certaine maestria ses protagonistes, Gerard Johnstone fait fort pour un premier film, délivrant une vraie puissance narratrice contrôlée de A à Z, ajoutant quelques sursauts et autres passages humoristiques pour un cocktail détonant.
    cocolapinfr
    cocolapinfr

    70 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Le cinéma Néo-zélandais cache de véritables perles. Housebound est une comédie horrifique aussi excellente que son genre est difficile. Drôle, frais, démontant un par un tous les clichés sur les maisons hantées. Le film commence lentement pour finir en pure jubilation cinématographique, mention spéciale aux acteurs tous remarquables.
    Marvelll
    Marvelll

    88 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2015
    Housebound est une comédie horrifique dans la lignée des premiers Peter Jackson. Pas exempts de défauts, mais possédant suffisamment de qualités pour mériter au moins un visionnage.

    Lisez la critique complète sur le blog de Marvelll.
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2015
    Un film d'horreur Néo-Zélandais reposant sur une intrigue convenue, manquant de jump-scares et parfois prévisible mais interprétée par de bons acteurs. Sympa mais pas exceptionnel non plus.
    Mi-k B
    Mi-k B

    3 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2021
    Comment ne pas craquer devant cette petite merveille de trouvailles ! J'ai eu la très agréable surprise de voir un film qui réunit les deux genres avec brio, l'épouvante et le comique.

    L'épouvante somme toutes classique, mais toujours efficace : l'héroïne qui cherche à comprendre ce qui se passe dans une maison qui semble habitée par des forces obscures.

    Le comique, véritable bijou de gags, de répartis et de dialogues percutants qui nous arrache quelques rires spoiler: (notamment le passage ou le tueur menace l'un des personnages avec un couteau, ce dernier lui arrachant des mains sans se sentir menacé pour essayer de l'utiliser pour ouvrir une porte


    Là ou le film est réussi, c'est que le comique ne prend pas le dessus sur l'épouvante ; nous ressentons la pression habituelle des films de ce genre, les gags ne nous mettant pas plus à l'aise.

    Je conseille donc de se ruer voir cette très bonne idée, par contre, faites l'effort de le voir en V.O. sinon vous serez fatalement déçus.
    brianpatrick
    brianpatrick

    85 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2020
    C'est un film new zélandais, qui sont très rares d'ailleurs. Des films de l'autre bout de la planète. Là il s'agit de l'histoire d'une femme qui doit être confinée chez elle, enfin chez sa mère, et qui habite dans une maison hantée. Enfin la femme ne l'a découvre pas cette maison car apparemment elle y a passé son enfance, donc et par conséquent, c'était pas une découverte cette maison hanté. Mais non, apparemment elle découvre des armoires. Elle découvre des nounours et des poupées qui lui ont toujours appartenus et qui ont toujours été là, dans cette maison hantée. Après il y a son agent d'approbation et qui est aussi chamane, chasseur de fantômes à ses heures perdues. Ben cela tombe bien, car il habite dans le quartier et de plus sa cliente est harcelée par un fantôme. Pis il y a sa mère, encore plus bizarre que la fille. Mais c'est un bon film néanmoins.
    Nicothrash
    Nicothrash

    378 abonnés 3 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2015
    Unique réalisation pour Gerard Johnstone, ce "Housebound" fleure bon le cinéma Néo-zélandais dans tout ce qu'il y a de plus décalé et amusant. On ne comprend pas de suite les références au "Bad Taste" de Peter Jackson mais ça devient beaucoup plus clair une fois la bobine terminée, l'esprit y est en tout cas. Dès le départ on sent le film débridé avec une entrée en matière originale et assez drôle, par la suite on s'enlise un peu dans l'aspect psycho de la relation mère/fille avec tout de même quelques passages tirant sur le fantastique. Et c'est après divers rebondissements bien pensés que la vérité éclate et que l'on laisse place au délire sanglant du réal, une bonne tranche de rigolade, bien foutue et avec un zeste de gore pour un final franchement réussi. Ce n'est pas franchement original concernant le scénario, les amateurs du genre l'auront déjà vu plus d'une fois mais c'est plutôt dans la façon singulière d'amener le twist que la mise en scène fait mouche, l'ensemble restant plutôt surprenant avec en prime des acteurs concernés et efficaces. Une bonne trouvaille pour ma part, à découvrir.
    videoman29
    videoman29

    251 abonnés 1 835 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    « Housebound » est un film hybride qui, une fois n'est pas coutume, mélange efficacement horreur et comédie. Le réalisateur Néo-Zélandais Gérard Johnstone (dont il semble que c'est le premier film) parvient à raconter une histoire vraiment effrayante en y mêlant des scènes de franche comédie totalement délirantes. Le résultat fonctionne bien car aucun des deux genres ne prend le dessus sur l'autre. Au contraire, ils se marient parfaitement et de manière très homogène. Du coup on sursaute souvent mais on rit aussi beaucoup avec, en prime, quelques scènes gores bien « craspouettes ». Certes, on ne peut pas dire que l'histoire soit d'une grande originalité, mais l'ambiance glauque et inquiétante est parfaitement soutenue par des acteurs efficaces et visiblement concernés. Les références à la filmographie de Peter Jackson (un autre Néo-Zélandais) sont nombreuses et plutôt bien vues ; Les cinéphiles s'amuseront beaucoup à les reconnaître ! Un beau succès d'estime, que je conseille aux amateurs de cinéma décalé et qui sort de l'ordinaire.
    Aurore SCHACH
    Aurore SCHACH

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2015
    Je m'attendais à un Film d'Horreur ! Mais non, c'est plus un Film Humoristico-Fantastique. Très actuel avec beaucoup de répartie, c'est pour ma part une EXCELLENTE SURPRISE. Je vous le recommande chaudement :) Synopsie : Kylie Bucknell a mal tourné après une adolescence difficile... Assignée à résidence pour les 8 prochains mois chez sa mère & son beau-père, l'enfer commence ! Supporter sa famille, entendre des bruits étranges dans cette vieille maison, avoir un voisin dépeceur d'opossum… Il n’en fallait pas plus commencer l’enquête sur la mort de la jeune ‘Leslie’ qui a vécu autrefois dans ces lieux.
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