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29 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Stéphane Brizé adapte Une vie de Maupassant, en puise l’essence sensible et signe un film d’une grande modernité, doté d’un travail sonore, visuel, et d’une interprétation remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Stéphane Brizé signe un très beau film et fait de l’héroïne de Maupassant une femme criante de dignité jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation forte et sensible du roman de Maupassant, à la fois fidèle dans l’esprit et très personnelle dans la forme, et d’une finesse rare, à l’image d’une Judith Chemla étonnante.
Positif
par Franck Garbarz
Rarement aura-t-on senti avec une telle force le passage des saisons, la douceur d'un soleil de printemps ou la morsure du froid hivernal.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Stéphane Brizet filme le roman tel qu'il lui est apparu à sa première lecture il y a plus de 20 ans. Un enfermement, une sidération lente. (...) Son récit a la beauté d'un songe dont Judith Chemla est la somnambule extraordinaire. Délicate et poignante comme une mémoire qui vibre une dernière fois avant de s'éteindre.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Non seulement Stéphane Brizé est resté fidèle et humble, mais il a su apporter la qualité de sa «patte ». À ne pas rater.
20 Minutes
par Caroline Vié
On verrait bien Judith Chemla remporter un César pour "Une vie" (...).
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une magnifique adaptation, sensible et poignante, servie par de brillants comédiens.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Peu à peu, l’émotion s’installe. Presque absente des premières séquences, elle s’empare du film à mesure que s’exprime cette réalité intangible selon laquelle les choix d’hier, effectués ou consentis, modèlent l’existence bien longtemps après qu’ils sont oubliés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Cette superbe adaptation du roman de Maupassant, irradiée par l’interprétation de Judith Chemla, est l’œuvre majeure de Stéphane Brizé, au sommet de son art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Judith Chemla – si lumineuse déjà dans "De vrais mensonges", de Pierre Salvadori, et "Ce sentiment de l’été", de Mikhaël Hers – prête sa peau diaphane, ses traits singuliers et sa sensibilité écorchée à cette œuvre troublante vouée à la mélancolie.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au fil de longues scènes silencieuses, montées au cordeau et restituées sur une image carrée, Stéphane Brizé livre un grand film d’atmosphère délibérément trempé dans un romantisme sombre, parfaitement incarné au bord de falaises battues par les vents.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
En adaptant Maupassant, Stéphane Brizé livre une œuvre exigeante et minimaliste, mais également humaniste et habitée par Judith Chemla.
Marianne
par Grégoire Chertok
Le film (est) fidèle au roman (...).
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Trente ans de vie que Judith Chemla incarne de façon somptueuse dans un film austère mais envoûtant où on sent l'odeur de la pluie et les années qui passent.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Dans le rôle principal, il a choisi Judith Chemla, joyau venu du theâtre encore trop peu appelé par le cinéma La profondeur de son regard et l'intensité de son jeu font vibrer l'écran.
Critikat.com
par Axel Scoffier
La mise en scène de Brizé modernise, par sa photographie et son montage, le regard sur son personnage candide tout en l’enfermant, par ces procédés même, dans sa bêtise de classe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Le scénario mériterait d'être moins long, mais le talent est là.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Heureusement, il y a cette construction impitoyable qui rend au récit sa gravité, l’engagement des interprètes, qui croient dur comme fer à ce malheur façonné aussi bien par les carcans de la société féodale finissante que par les erreurs des individus.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un beau film, dont l'aridité est adoucie par le jeu délicat mais intense de Judith Chemla.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le réalisateur pèche par excès de tact, et l’accumulation des malheurs de l’héroïne ne donne finalement accès à rien d’autre qu’à un fatalisme dénué d’émotion.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Brizé semble rechercher un certain naturel, mais ce faisant il dilue le propos au lieu de le concentrer. Si l’héroïne est touchante, l’anti-académisme appuyé du film en émousse le potentiel dramatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Marilyne Letertre
Tout était réuni pour passionner. Tout. Sauf l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Adapté du livre de Maupassant, le long-métrage de Stéphane Brizé déçoit par sa confusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Une vie" est traversé par de belles variations d'intensité, porté par un effort louable de sécheresse de trait, mais au final on s'interroge sur la portée d'un tel film aujourd'hui. (...) En restant fidèle à Maupassant, Brizé reste coincé dans une vision du féminin forcément datée.
Première
par Christophe Narbonne
(une) adaptation très personnelle (...) dont le maniérisme nous a laissés sur notre faim.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Non sans talent mais sous couvert d’un formalisme soporifique, Stéphane Brizé séquestre ses personnages et le regard du spectateur. Peu de place dès lors laissée dans ce système à l'émotion et au romanesque...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cette adaptation du roman de Maupassant est empâtée. Surprenant de la part de Stéphane Brizé ("La Loi du marché"). Judith Chemla a beau être prodigieuse, elle n'en reste pas moins une âme séparée du corps du film qui passe au travers de l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
Stéphane Brizé livre une adaptation de Maupassant affectée et ringarde qui n’atteint pas ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Stéphane Brizé adapte Une vie de Maupassant, en puise l’essence sensible et signe un film d’une grande modernité, doté d’un travail sonore, visuel, et d’une interprétation remarquables.
Elle
Stéphane Brizé signe un très beau film et fait de l’héroïne de Maupassant une femme criante de dignité jusqu’au bout.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation forte et sensible du roman de Maupassant, à la fois fidèle dans l’esprit et très personnelle dans la forme, et d’une finesse rare, à l’image d’une Judith Chemla étonnante.
Positif
Rarement aura-t-on senti avec une telle force le passage des saisons, la douceur d'un soleil de printemps ou la morsure du froid hivernal.
Sud Ouest
Stéphane Brizet filme le roman tel qu'il lui est apparu à sa première lecture il y a plus de 20 ans. Un enfermement, une sidération lente. (...) Son récit a la beauté d'un songe dont Judith Chemla est la somnambule extraordinaire. Délicate et poignante comme une mémoire qui vibre une dernière fois avant de s'éteindre.
Télé 2 semaines
Non seulement Stéphane Brizé est resté fidèle et humble, mais il a su apporter la qualité de sa «patte ». À ne pas rater.
20 Minutes
On verrait bien Judith Chemla remporter un César pour "Une vie" (...).
Femme Actuelle
Une magnifique adaptation, sensible et poignante, servie par de brillants comédiens.
L'Obs
Peu à peu, l’émotion s’installe. Presque absente des premières séquences, elle s’empare du film à mesure que s’exprime cette réalité intangible selon laquelle les choix d’hier, effectués ou consentis, modèlent l’existence bien longtemps après qu’ils sont oubliés.
La Croix
Cette superbe adaptation du roman de Maupassant, irradiée par l’interprétation de Judith Chemla, est l’œuvre majeure de Stéphane Brizé, au sommet de son art.
La Voix du Nord
Judith Chemla – si lumineuse déjà dans "De vrais mensonges", de Pierre Salvadori, et "Ce sentiment de l’été", de Mikhaël Hers – prête sa peau diaphane, ses traits singuliers et sa sensibilité écorchée à cette œuvre troublante vouée à la mélancolie.
Le Journal du Dimanche
Au fil de longues scènes silencieuses, montées au cordeau et restituées sur une image carrée, Stéphane Brizé livre un grand film d’atmosphère délibérément trempé dans un romantisme sombre, parfaitement incarné au bord de falaises battues par les vents.
Les Fiches du Cinéma
En adaptant Maupassant, Stéphane Brizé livre une œuvre exigeante et minimaliste, mais également humaniste et habitée par Judith Chemla.
Marianne
Le film (est) fidèle au roman (...).
Ouest France
Trente ans de vie que Judith Chemla incarne de façon somptueuse dans un film austère mais envoûtant où on sent l'odeur de la pluie et les années qui passent.
Studio Ciné Live
Dans le rôle principal, il a choisi Judith Chemla, joyau venu du theâtre encore trop peu appelé par le cinéma La profondeur de son regard et l'intensité de son jeu font vibrer l'écran.
Critikat.com
La mise en scène de Brizé modernise, par sa photographie et son montage, le regard sur son personnage candide tout en l’enfermant, par ces procédés même, dans sa bêtise de classe.
L'Express
Le scénario mériterait d'être moins long, mais le talent est là.
Le Monde
Heureusement, il y a cette construction impitoyable qui rend au récit sa gravité, l’engagement des interprètes, qui croient dur comme fer à ce malheur façonné aussi bien par les carcans de la société féodale finissante que par les erreurs des individus.
Télé 7 Jours
Un beau film, dont l'aridité est adoucie par le jeu délicat mais intense de Judith Chemla.
Cahiers du Cinéma
Le réalisateur pèche par excès de tact, et l’accumulation des malheurs de l’héroïne ne donne finalement accès à rien d’autre qu’à un fatalisme dénué d’émotion.
L'Humanité
Brizé semble rechercher un certain naturel, mais ce faisant il dilue le propos au lieu de le concentrer. Si l’héroïne est touchante, l’anti-académisme appuyé du film en émousse le potentiel dramatique.
LCI
Tout était réuni pour passionner. Tout. Sauf l’émotion.
Le Figaro
Adapté du livre de Maupassant, le long-métrage de Stéphane Brizé déçoit par sa confusion.
Les Inrockuptibles
"Une vie" est traversé par de belles variations d'intensité, porté par un effort louable de sécheresse de trait, mais au final on s'interroge sur la portée d'un tel film aujourd'hui. (...) En restant fidèle à Maupassant, Brizé reste coincé dans une vision du féminin forcément datée.
Première
(une) adaptation très personnelle (...) dont le maniérisme nous a laissés sur notre faim.
aVoir-aLire.com
Non sans talent mais sous couvert d’un formalisme soporifique, Stéphane Brizé séquestre ses personnages et le regard du spectateur. Peu de place dès lors laissée dans ce système à l'émotion et au romanesque...
Le Parisien
Cette adaptation du roman de Maupassant est empâtée. Surprenant de la part de Stéphane Brizé ("La Loi du marché"). Judith Chemla a beau être prodigieuse, elle n'en reste pas moins une âme séparée du corps du film qui passe au travers de l'émotion.
Libération
Stéphane Brizé livre une adaptation de Maupassant affectée et ringarde qui n’atteint pas ses ambitions.