Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Pas un plan qui ne transmette une puissante expressivité, une envolée de sens, la densité d'une dramaturgie qui embrasse tous les conflits de la condition humaine.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Les conflits divisant les êtres humains, ce combat éternel dans lequel sont engagés l'homme et la nature, les liens intenses noués entre les uns et les autres, autant de thèmes sur lesquels sont bâtis cette œuvre envoûtante qui utilise à bon escient toutes les ressources du langage cinématographique. Des partis pris capables d'enchanter un cinéaste comme Terrence Malick.
L'Express
par Sophie Bénamon
Peu de mots, du labeur, de la sueur et la peur, sourde, au passage des militaires en canot à moteur. Des petits riens d'une beauté lancinante et rugueuse pour conter des vies minuscules, fétus dérisoires ballottés au gré des éléments et de l'Histoire.
L'Obs
par François Forestier
Comme naguère Ermanno Olmi ("L'Arbre aux sabots") ou Dovjenko ("La Terre"), George Ovashvili capte le lyrisme amer d'une époque avec une sensualité délicate. C'est son deuxième film, après "L'Autre rive", en 2010. On sort de là émerveillé par tant de douceur dans ce monde de brutes...
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le cinéaste géorgien signe une fable aussi sobre qu'intense sur la terre des hommes, forcément morcelée.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un bel hymne à la nature, à la fois ode à la beauté et conte cruel.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le temps s’égrène, les saisons passent, et le film se conclut d’une façon des plus poétiques. Cette ode à la nature, tournée en 35 mm, fascine par son rythme volontairement lent, son économie de dialogues, son esthétisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Pierre Fornerod
Du cinéma venu d'ailleurs, dans une démarche contemplative et généreuse. Ca fait du bien.
Paris Match
par Alain Spira
Ce film taiseux à la photographie somptueuse possède la même noblesse poétique que "L'île nue" de Kaneto Shindô.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
L'île, le petit nombre de personnages, les gestes archétypaux (...), la rareté du dialogue et de la musique composent une oeuvre bachelardienne, qui magnifie les éléments, l'eau (...), la terre, la boue, le feu, le bois, tout en les situant dans un cadre géographique précis et précisément contemporain. "La Terre éphémère" s'inscrit avec maestria dans la tradition du Buñuel de "La Jeune fille", de "Dura Lex" de Koulechov et des premiers films de King Vidor, comme "The Jack-Knife Man" et "Capricciosa".
Première
par Isabelle Danel
On est au-delà du cinéma, dans une métaphore de la vie sous la forme d'un poème incantatoire presque sans paroles, mais d'une subjuguante beauté.
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Choisissant de créer des personnages dont l’identité se dérobe, le film lui-même reste à la surface de son propos, les personnages bientôt engloutis à leur tour dans le silence, sans qu’on ait vraiment su quoi que ce soit sur eux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Noémie Luciani
(...) George Ovashvili filme magnifiquement un grand- père et sa petite-fille tentant de faire pousser du maïs, dans un conte silencieux sur la nature, féconde et capricieuse, et la féminité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une fable sans fioritures aux résonances bibliques, avec notamment la création d’un monde puis sa perturbation et sa disparition, un peu magiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Guillemette Odicino
Les images sont splendides et le message finalement plus doux qu'amer : face à la nature qui donne et reprend (...), comme face à la guerre, l'homme est tout petit, mais l'espoir renaît à chaque saison.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Éric Loret
Un film académique sans regard, cousu de fausses sensations et enfilant les clichés visuels de l’incommunicabilité façon Nature & Découvertes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Pas un plan qui ne transmette une puissante expressivité, une envolée de sens, la densité d'une dramaturgie qui embrasse tous les conflits de la condition humaine.
La Voix du Nord
Les conflits divisant les êtres humains, ce combat éternel dans lequel sont engagés l'homme et la nature, les liens intenses noués entre les uns et les autres, autant de thèmes sur lesquels sont bâtis cette œuvre envoûtante qui utilise à bon escient toutes les ressources du langage cinématographique. Des partis pris capables d'enchanter un cinéaste comme Terrence Malick.
L'Express
Peu de mots, du labeur, de la sueur et la peur, sourde, au passage des militaires en canot à moteur. Des petits riens d'une beauté lancinante et rugueuse pour conter des vies minuscules, fétus dérisoires ballottés au gré des éléments et de l'Histoire.
L'Obs
Comme naguère Ermanno Olmi ("L'Arbre aux sabots") ou Dovjenko ("La Terre"), George Ovashvili capte le lyrisme amer d'une époque avec une sensualité délicate. C'est son deuxième film, après "L'Autre rive", en 2010. On sort de là émerveillé par tant de douceur dans ce monde de brutes...
La Croix
Le cinéaste géorgien signe une fable aussi sobre qu'intense sur la terre des hommes, forcément morcelée.
Le Dauphiné Libéré
Un bel hymne à la nature, à la fois ode à la beauté et conte cruel.
Le Journal du Dimanche
Le temps s’égrène, les saisons passent, et le film se conclut d’une façon des plus poétiques. Cette ode à la nature, tournée en 35 mm, fascine par son rythme volontairement lent, son économie de dialogues, son esthétisme.
Ouest France
Du cinéma venu d'ailleurs, dans une démarche contemplative et généreuse. Ca fait du bien.
Paris Match
Ce film taiseux à la photographie somptueuse possède la même noblesse poétique que "L'île nue" de Kaneto Shindô.
Positif
L'île, le petit nombre de personnages, les gestes archétypaux (...), la rareté du dialogue et de la musique composent une oeuvre bachelardienne, qui magnifie les éléments, l'eau (...), la terre, la boue, le feu, le bois, tout en les situant dans un cadre géographique précis et précisément contemporain. "La Terre éphémère" s'inscrit avec maestria dans la tradition du Buñuel de "La Jeune fille", de "Dura Lex" de Koulechov et des premiers films de King Vidor, comme "The Jack-Knife Man" et "Capricciosa".
Première
On est au-delà du cinéma, dans une métaphore de la vie sous la forme d'un poème incantatoire presque sans paroles, mais d'une subjuguante beauté.
Critikat.com
Choisissant de créer des personnages dont l’identité se dérobe, le film lui-même reste à la surface de son propos, les personnages bientôt engloutis à leur tour dans le silence, sans qu’on ait vraiment su quoi que ce soit sur eux.
Le Monde
(...) George Ovashvili filme magnifiquement un grand- père et sa petite-fille tentant de faire pousser du maïs, dans un conte silencieux sur la nature, féconde et capricieuse, et la féminité.
Les Inrockuptibles
Une fable sans fioritures aux résonances bibliques, avec notamment la création d’un monde puis sa perturbation et sa disparition, un peu magiques.
Télérama
Les images sont splendides et le message finalement plus doux qu'amer : face à la nature qui donne et reprend (...), comme face à la guerre, l'homme est tout petit, mais l'espoir renaît à chaque saison.
Libération
Un film académique sans regard, cousu de fausses sensations et enfilant les clichés visuels de l’incommunicabilité façon Nature & Découvertes.