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    Ready Player One
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 avril 2018
    Je viens de le voir. Le film fait 2H20, je mettrai beaucoup moins de temps à l'oublier.
    Ce que j'ai pu apprécier du film :
    spoiler: - la course au début du film - la scène référence à Shinning qui est absolument géniale - les effets spéciaux/visuels qui sont de très bonne facture.

    Tout le reste c'est à jeter.
    Alors je ne connais pas toutes les références mais pour toutes celles que j'ai reconnues c'est déjà trop pour moi, que ça m'en a fait décrocher du film. Il n'y a aucune utilité réelle aux références, on remplace la Dolorean par n'importe quelle voiture stylée ça n'a pas d'impact sur le dénouement de l'histoire.
    spoiler: Les acteurs sont clichés, la romance j'y ai pas cru une seconde. Ça aurait été moins cliché d'avoir un début de romance vers la fin de film mais la il connait la meuf depuis moins d'une journée et il l'aime et elle aussi O_O mes couilles sur ton front putain de film. Le méchant est bidon et les scènes sont pas crédibles putain. Le méchant débarque devant une foule en colère, il est facilement à 1 contre 200 et il sort un gun et tout le monde flippe et le laisse passer ! Mais WHAAAAAT ?! La foule peut le maitriser en 2-2. ET la cerise sur ce gâteau à la merde, et pour moi je crois que c'est le top de la génance, c'est quand même le traitement des personnages asiatiques. Non mais putain de merde c'est quoi leur problème ? Dans un monde où n'importe qui peut être derrière un avatar, il fallait absolument que ce soit un asiat derrière le robot Gundam sérieux ?! Et pire putain, dans le monde réel, Toshiro il butte des drones avec un sabre dans la vraie vie putain ! Et quand ils se font courser en voiture par la IOI et qu'ils risquent leurs vies, il se met dans le fond du van en tailleur et il médite ! Bien que l'action semble se dérouler aux USA, quand il rencontre l''héroïne qui vient de s’échapper de l'entreprise ennemie (et qu'ils la reconnaissent par le plus grand des hasard dans la rue alors qu'ils ne connaissent pas leurs visage respectifs dans la vrai vie), il se présente en lui faisant ... un salut japonais ! Si le film avait un peut plus fouillé sa vie on lui aurait mis quoi comme métier ? Serveur/cuisinier dans un restau asiat ? Vendeur au rayon informatique ou bien hacker de génie qui pirate plus vite que son ombre tout en mangeant des ramen ?!!! Sérieusement ?! Non mais il passé où le respect dans ce film sérieux ? Je tiens à préciser que je ne suis pas asiatique, mais ça ma quand même gêné de ouf. L'histoire est bidon, les personnages sont caricaturaux au possible et n'ont aucun charisme et sont creux. Et les énigmes pour trouver les clés, les persos se cassent pas le cul pour les trouver. Il y a une corporation ultra riche de centaines de salariés qui cherchent à les résoudre et ils on rien trouvé pendant 5 ans ! Alors soit les persos principaux sont des génies soit leurs adversaires sont des demeurés total ! Mais je pense qu'ils sont demeuré en fait. Non mais sérieux le big boss d'une compagnie technologique qui vaut des milliards, il est : - assez stupide pour laisser un postit avec son mot de passe à la vue de tout le monde - assez stupide pour le laisser alors qu'il est en conversation holographique avec son ennemi - assez stupide (et/ou aveugle) pour ne pas voir que le gars a vu le postit - assez stupide pour ne pas avoir changé le mot de passe après avoir remarqué le piratage et compris que c'était à cause du postit ce qui à permis à la meuf d'utiliser son compte une deuxième fois dans son propre bureau.


    Globalement j'ai trouvé le film putassier de la pop-culture : un peu comme Gamer (de Zak Fishman avec Saïd Taghmaoui/Bruno Salomone) mais avec des moyens financier et un vrai réalisateur. Mais ce film ne valait pas la place de ciné que j'ai payé, il ne valait pas d'être réalisé par Steven Spielberg spoiler: (excepté la scène de Shinning).


    J'ai plus l'impression que le film a voulu faire des références aux 80s pour surfer sur la vague rétro qui fonctionnent dans les Gardiens de la galaxie ou plus particulièrement dans Stranger Things. Mais c'est fait sans subtilité et sans justifications scénaristique. Dans Stranger Things l'action se déroule dans les 80s donc c'est normal et dans les Gardiens le protagoniste principal avait son walkman et 2 K7 lors de son abduction dans le vaisseau spatial. Dans Ready Player One, ils sont dans le turfu alors pourquoi de la musique rétro. spoiler: D'où ça sort que le gars il va te faire de la dance rétro sur Saturday Night Fever alors que le disco c'était dans les 70s. L'action se déroule quasiment 70 ans après cette période. Non c’est juste pour gratter encore une référence de plus au public pour jouer sur l’émotion.


    Toute la communication qui a été faite autour de ce film est gigantesque et a porté ses fruits. Les gamers, les nostalgiques des 80s,90s sont clairement la cible de ce produit.
    Mais voilà, pour moi ce film est une escroquerie. Jouer sur la nostalgie est un superbe coup car cela joue sur l’émotion du public et ça fédère le public autour du film, ce qui explique l'engouement que suscite ce film.

    Oui, mais un film vide.
    pleasant
    pleasant

    8 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 février 2019
    Alors que les villes étasuniennes ressemblent de plus en plus à des bidonvilles en 2045, la plupart des habitants ont tout de même suffisamment de ressources pour se payer un casque de réalité virtuelle afin de s'échapper dans un monde numérique partagé par tous appelé OASIS. OASIS est comme un bon gros jeu vidéo au sein duquel chacun participe grâce à un avatar. Évidemment, il y a un super vilain qui veut s'approprier totalement le jeu (qui doit générer un cash dingue dans le monde réel – on ne sait pas trop comment) – ce qui, suggère le film, s'apparenterait à une sorte de fin de monde. Il s'agit donc de l'en empêcher. Quoi de mieux lors qu'un jeune geek un peu looser, très malin et féru de "culture" des jeux vidéo (depuis les premiers Atari – ce qui est un exploit vu son âge), pour contrecarrer le méchant ? Bien sûr, il rencontrera une sympathique petite bande de rebelles, et trouvera même l'amour.

    Blindé à outrances de référence à la "culture" du divertissement visuel (cinéma et jeux vidéo), les références fusent en permanence au point qu'il est difficile de toutes les saisir. La Doloréane d'Emet Brown, le Rosebud de Welles, une course folle de voiture directement piquée eu remake du Death Race 2000 de Corman par PWS Anderson (2008)… Mais qui aura reconnu l'incantation (ridicule) de Merlin dans l'Excalibur de John Boorman (1981), nécessaire pour actionner le bouclier de la forteresse maléfique de la planète Doom ? On a connu un hommage semblable avec le Klatou verata niktou prononcé par Ash dans Evil dead 3, tout droit tiré du "jour où la terre s'arrêta" de Robert Wise en 1951. Mais Sam Raimi était drôle. Le gros problème avec ce film de Spielberg, c'est que le second degré est absent. Le ton est grave. Sauver le jeu est plus important que sauver le monde réel, au bord de la ruine. Le monde réel… où l'emprisonnement et même la justice sont confiés à une société privée (celle du méchant bien sûr), où les gens préfèrent dilapider leur maigres revenus dans des gadgets leur permettant d'être plus performants dans le jeu… où des hordes de zombies se promènent en gesticulant dans la rue, les yeux couverts de leur casque de réalité virtuelle. Aucune véritable condamnation de tout ceci. Par contre, le jeu est si excitant: d'un réalisme bluffant, votre avatar peut en gros tout se permettre. Vous tuez des gens par dizaines, et les corps démembrés des avatars saignent des flots de pièces d'or que vous aspirez pour accroitre votre richesse et votre pouvoir. Cétipabo ?

    Alors à la fin, spoiler: des flics surgissent quand même (il y en a encore des vrais, apparemment) pour mettre le méchant en prison, juste avant qu'il se fasse lyncher et
    , tenez-vous bien, le gentil (qui a gagné) instaure une nouvelle règle et débranche le jeu tous les mardis et jeudis pour obliger les gens à passer un peu de temps dans le monde réel. On croît rêver. Ne vous méprenez pas, ce film est très important car c'est un révélateur magistral: qu'autant de critiques et qu'une part si importante de son public soit aussi prompte à l'encenser est véritablement inquiétant, car on peut y voir le quasi renoncement de notre société à vouloir remédier aux catastrophes écologiques et sociales en pleine expansion… dans le monde réel.
    Vareche
    Vareche

    41 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 avril 2018
    Real Player one, c'est une oscillation permanente entre deux monde qui se découpent dans la seule filmographie de Steven Spielberg, le survival horror et son muséum de monstres (War of World, La list de Schindler, Duel, Les dents, Jurrasik park, Munich...) et le portrait de l'individu triomphant de la vieille morale conservatrice/dominante (AMistad, ET, The Panama Papers, The terminal, War Horse, Lincoln...). Ces deux rives n'offrent pas un pont très large aux passages d'idées neuves, alors Spielberg recycle les cartes qu'il a lui même distribué depuis si longtemps qu'on se pique devant l'épuisante litanie de refoulé que le réalisateur empile avec bien peu d'esprit. A force de mettre en scène des films magnifiquement écrits (ce n'est pas le cas de celui-ci), avec une pate d'Ours, on est en droit de comparer l'effort gigantesque et si apprent (qu'est ce qu'elle est spectaculaire Michael Bay ma poursuite en voiture!!) de ce Real Player One avec ces références. De WOrld Of Warcraft, à Final Fantasy en passant par Gon, DARRYL, ou Sword Art Online, que nous raconte ce curieux monsieur qui met en abîme un musée de la pop culture comme moteur de la psyché du vrai héro de son film, le geek blond qui fournissait des infos secrètes à Mulder dans X files (ou dans Indépendance Day) ? Et bien l'effet est triple. SPielberg pas fatigué de monumentaliser son Amérique et consorts (Panama Papers, Lincoln, Le Bon Gros ...) avait ce talent de faire surchaufffer le réel (les rapports familliaux de WoW, ET ou AI, mère hystérique je te hais, ou les scènes Dame du Vendredi d'Indianna Jones), se contente ici de le désactiver. Ici le réel ne représente rien, et là dès le début SPielberg rame pour croire à sa disotopie. Enjeux inexistants, rapports familiaux sacrifiés, et postiches d'adolescents révoltés jamais incarnés (ni peut être désirés). Prenez ET et l'identité très forte de ces jeunes héros et comparés les à ceux de celui-ci et on ne peut qu'être sidéré. Et à mesure que le réel est censé réapparaître, mollement, s'achemine les pires poncifs du cinéma de série B (sauver la princesse, se faire des potes révolutionnaires et benêts, punir le méchant et s'infilter chez lui, baiser la princesse (pas en groupe cette fois-ci), et regarder le Citizen Kane du film faire mystère de la réalité de sa disparition). Ainsi Naïvement deux héros se disputent le film sans jamais se contredire, puisqu'ils forment à peu près la même personne, il n'est pas fait mystère que ces deux être ne sont qu'un, et qu'il s'agit simplement de modifier le destin de l'un pour qu'il ne devienne pas l'autre, mais pourquoi ? Pour baiser la princesse voyons et gagner de la thune (mais pas trop) ! Les geeks, tonton Steven vous le dit de son imprenable Mur du Nord, le monde virtuel c'est cool mais James Bond riche c'est mieux qu'un Max Payne virtuel et maudit car à la fin tu tires ton coup. Cette morale formidable éclaire parfaitement les enjeux posés par l'infra monde qui est la (seule) pièce maîtresse du puzzle. Et là ça fait mal et c'est long, puisqu'on a le droit aux enigmes de Harry Potter, aux course poursuites d'Advent Children, à un remake caca pipi prout de Shining (cette oscillation entre déssaroi gêne -oulala Shining était donc un si grand film ???- et qu'est ce que fait mon voisin de salle en ce moment ? est pénible) et à des scènes de combats calqués sur FF12 ou Warcraft pimenté de guitare éléctrique. Pendant ce temps les gens réels qui incarnent ce combat d'avatars se battent dans la rue ou dans leur salle de bain ou en train de conduire, on pense aux nombres de mort que celà a du occasioner. L'articulation réel monde fantasmé est ici un gadget répétitif dont les enjeux ne sont ni claires ni cohérents (pourquoi les années 80/90 sont-elles si représentées, comme si le présent n'avait rien créer du passé que sa récupération, comme si l'imaginaire collectif était mort. Pourquoi sauver ce monde d'un entrepreneur pas très effrayant alors qu'il est déjà le monopole d'un steve job matiné de Mike Meyers plutôt effrayant ?), le récit pretexte recréer du ringard à la pelle, pire il permt à SPielberg d'en rajouter une couche (était-ce possible ?) dans le manièrisme mécanique, mal presque absolu d el'image de synthèsé qui imite le cinéma (et du cinéma qui imite le cinéma), devenu le mal du cinéma qui imite l'image de synthèse en la réintériorisant comme cinéma. Sacralisation de l'image dont le fond n'est qu'une autre image, elle même echo de l'image à laquelle elle est censée donnée sens, La subordination du monde physique par le monde numérique et les virtualités qu'elle concédent ne donnent lieu qu'à des scènes de vaudeville, ou chacun change de culotte et se cache dans celle du voisin. Désactivation, mais pas de réactivation. Real Player One aurait pu se terminer sur son pixel caché pour faire un peu le ménage et introduire son nouveau monde comme avènement du premier, où la vie ne se réinvente pas mais où elle se fait mystère. Il n'en est rien et au fond il n'en sera jamais ainsi, il faut eduquer les mauvaises ouailles à la bonne parole, et condamner ce monde à la loi et à la mémoire puisque l'éthique y est impossible. Le pragmatsime est un humanisme en somme. En Marche !!!
    ZOC
    ZOC

    54 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Film insipide, acteurs sans charisme.
    Scenario minimaliste.
    Aucune surprise, aucune émotion.
    Le vide.
    Même les effets spéciaux sont ratés.
    J'ai connu des jeux plus beaux, plus enthousiasmant et plus intéressant que ce film.
    Film qui s'adresse plus aux pré-ado de 8 à 13 ans.
    Je vais me refaire la rencontre du 3eme type pour oublier ce navet.
    Cc IIe X
    Cc IIe X

    4 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2018
    Je n'ai que très rarement vu un film aussi risible. Un pur produit du cinéma américain et ce qui se fait de mieux en ce moment. Le scénario est vide avec des événements plus improbables les uns que les autres, un univers qui pourrait être sympa s'il ne décrédibilisait pas totalement le monde du jeu-vidéo. Les personnages, pour les "gentils" : Une bande de gogoles pseudo-anarchistes pas perspicaces pour un sou, qui se pensent exceptionnels parce que "gneugneu j'adore Shining, j'écoute du Joy Division et je sais provoquer un court-circuit". Quant aux méchants, pas besoin d'épiloguer dessus, même Dark Vador était plus crédible, c'est pour dire. Le seul point positif est l'aspect esthétique du film -et encore- avec de superbes images de synthèse .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2018
    Ce film m'a déçu alors que je m'attendais à peu.
    Le scénario est globalement convenu, plein d'incohérences et de facilités, les personnages clichés ( spoiler: et en plus ils habitent tous à moins de 5min les uns des autres.... pas crédible)
    .
    C'est un film qui prétend parler aux "geeks", tout en loupant des éléments complets de cette culture ( spoiler: Vraiment le coup d'aller en marche arrière à la première épreuve, que personne ne l'ait fait est juste inconcevable
    ). Je pense qu'il est plus fait pour les gens qui pensent connaitre la culture qui y est référencée.
    Quand à la qualité graphique, qui est loin de faire un bon film pour moi, elle est ok. Mais on se passerait bien des plans de caméras vomitifs dans certains passages qui sont juste là parce qu'ils peuvent l'être.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 avril 2018
    Fuyez pauvres fous ! Déjà vu, prévisible, niais, pas drôle, long.
    Je regrette et ne comprends pas mon achats, ce film est clairement sur-côté.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 août 2018
    Ce film se fout littéralement de la tronche des gamers. Les clins d'oeil qui citent chaque jeux sont remplis d'incohérences. Lorsque l'on fait un rappel on le fait bien... spoiler: Une sainte grenade sans "hallelujah" etc...
    Tout le monde a l'air idiot, c'est comme si on prenait les gamers pour des idiots. Le scénario est prévisible de A à Z. Aucun suspense, et pour couronner le tout, une fausse romance de gamin qui tombe amoureux d'un avatar dns le jeu et qui veut la voir IRL. Ça me rappelle les maboules qui aimaient vraiment Lara Croft, ou encore les mecs qui suivaient les avatars féminins dans les MMO... Le héro est un gamin vraiment pas futé, et une équipe qui veut se donner un air rebel dans un monde où tout le monde marche dans la même direction. Aucun autre marginal dans tout un univers ce qui est juste impossible. Alors, parlons un peu des "méchants", c'est une société privée qui a tous les droits. Les mecs outrepassent toute autorité sans aucune difficulté ou résistance. [spoiler] Ça ne dérange personne que cette société fasse des barrages filtrants, braque des gens, pose des bombes IRL... Mais vraiment n'importe quoi... [/spoiler ] Et on sent dans chaque rappel que le joueur est tourné au ridicule.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mars 2018
    C'est un grand mélange indigeste de références aux grands classiques des jeux vidéos et du cinéma. Les décors, les costumes et les effets spéciaux sont laids. On a à faire au côté simplet de Spielberg qui fait dans la caricature racoleuse pour plaire au plus grand nombre : une intrigue inintéressante, des adolescents prépubaires sans charisme en guise de héros qui vont sauver le monde, un guru autiste stupide en guise de dieu et un message des plus simplistes et politiquement correct (vivez votre vraie vie au lieu de jouer aux jeux vidéos). Je ne suis même pas sûr que les geeks et amateurs de pop culture y trouveront un quelconque intérêt.
    Prenez le message du film au pied de la lettre : allez prendre l'air au lieu de vous enfermer dans une salle sombre en regardant ce nanar.
    Rolling!
    Rolling!

    52 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Au-dessus de quinze ans ne vous étonnez pas si vous avez des picotements pour quitter la salle dès le premier quart d’heure. La référence à quelques vrais films du passé est un tour de passe-passe destiné à ratisser large… Ce film a peut-être quelque chose à voir avec les jeux vidéo mais certainement pas avec le cinéma. Enfin j’espère. Mais j’ai bien peur que la pente soit déjà raide et que le port du casque soit bientôt obligatoire. Tout ça est flippant. S’il veut descendre encore un peu plus bas je conseillerai à Spielberg de s’associer avec Besson.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 avril 2018
    Franchement, ma note est à la hauteur de la déception. Je suis de la génération qui a grandi avec Spielberg, j'ai adoré Spielberg. Ce que j'ai vu là est un ramassis de technologie (superbe au demeurant) au service de...rien. Scénar totalement nul, intrigue inexistante, tributes à la génération 70-80 toutes les 2 images, bref, un vide sidéral à 200 images par seconde.
    Juste une machine à faire du fric, manichéenne et bien pensante. On dirait du Disney...
    Monsieur Spielberg : si c'est ça que vous prévoyez de nous mettre devant les yeux pour payer votre retraite, laissez tomber. Je préfère garder une autre image de vous.
    Merci d'avance
    Philippe
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    C'est du Spielberg, on ne peut donc pas demander que le niveau soit haut dans ce film conçu avec beaucoup trop d'images de synthèse ( personnages fictifs):détestable à mon goût.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 avril 2018
    Un "film" qui ne peut satisfaire que les geeks profonds et les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans.
    Les amateurs de Transformers et d'autres débilités américaines se gaveront, les autres feront mieux d'aller voir ailleurs pour ce film qui n'en est pas un et dont le scénario est calqué sur celui d'un jeux vidéo, c'est dire l'indigence du scénario. C'est de loin le pire film de Spielberg que j'ai vu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 juin 2018
    Épuisant de débilité... Spielberg est vraiment tombé bien bas. J’étais pourtant fan de ces films des années 80/90 mais là c’est juste un cauchemar visuel : les personnages sont affreux, les effets spécieux bidon et ce dès le plan d’ouverture. Ça va tellement vite que c’en est illisible et abrutissant. Quant au scénario, on dirait un mauvais jeu vidéo ennuyeux et incohérent. Le vieux Steven a beau nous sortir des références, ça ne cache pas la pauvreté d’adaptation d’un roman qui apparemment méritait mieux... il n’y a qu’à voir la saga jurassic World pour comprendre que Spielberg prend pour des veaux décérébrés. A fuir
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 avril 2018
    Une suite de scènes très agitées remplies d'armes, de bruits et d'objets hétéroclites où, par exemple, King Kong croise la DeLorean.
    Un bric à brac inconsistant, très long, très, très long. Spielberg n'a rien à raconter : il fait durer les scènes d'agitation des temps infinis, avec une complaisance obscène.
    Débauche d'effets répétés et répétés et répétés, avec un unique objet montrer des effets... "Masturbatoire" est le mot qui me vient à l'esprit...
    Bref un long pensum qui se termine en apothéose de bon sentiments : Roméo, plein de courage "franchit le pas", il embrasse Juliette...
    Allez-y si vous avez besoin vous ennuyer.*
    *La réalisation de ce machin a coûté 175 millions de $, un cauchemar...
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