Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce conte sentimental et généreux prouve une nouvelle fois que le réalisateur (...) sait explorer la Carte du Tendre comme personne. Un trio de comédiens épatants l'a suivi pour raconter la belle aventure de Mélodie, Charlotte et Micha.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par La Rédaction
"A Trois on y va" est bel et bien un film d'aujourd'hui, qui montre un trio aussi fusionnel et complice que l'est parfois un couple.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Une merveille de comédie sentimentale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Metro
par Maryline Letertre
"A trois on y va " trouve le juste équilibre entre douce mélancolie et humour burlesque.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Jérôme Bonnell fait souffler un air nouveau et personnel sur un canevas dont le cinéma a maintes fois fait ses délices, à la mode "Jules et Jim".
Paris Match
par Alain Spira
Un marivaudage moderne aussi léger qu’une caresse (...) le film traverse la couche nuageuse des conventions sociales pour atteindre le septième ciel. Formidable en jeune avocate, Anaïs Demoustier est le centre vital de ce cercle non vicieux (...) Car cet amour à trois, c’est avant tout de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Après "Le Temps de l’aventure", Jérôme Bonnell, qui signe ici son meilleur film, poursuit son exploration de la libre circulation du désir (et du plaisir), en ajoutant un tiers au couple adultère.
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Sidy Sakho
"A trois on y va", prototype très abouti de comédie sentimentale à la française.
Télé 7 Jours
par Isabelle Manier
Une très jolie surprise, dont le charme opère longtemps.
CNews
par La rédaction
Avec "A trois on y va", Bonnell donne un coup de fouet au thème du triangle amoureux. Filmé comme un vaudeville, le long métrage repose sur des dialogues piquants et une mise en scène rebondissante. Après "Le temps de l’aventure", qui avait déjà séduit critique et public, le réalisateur confirme donc cette aisance qu’on lui connaissait.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La Rédaction
Entre vaudeville et romance, notre cœur balance, subjugué par ce "Jules et Jim" nouvelle manière. Un grand huit délicieux, pile dans l’air du temps.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un des atouts les plus réjouissants de "A trois on y va" est sa tonalité. Tout en légèreté, humour et gaité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Le plaisir que (Jérôme Bonnell) prend à raconter cette histoire de draps chauds se lit sur le visage des trois formidables comédiens,Anais Demoustier, Sophie Verbeeck et Félix Moati.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une variation malicieuse et actualisée sur le fameux triangle amoureux, où Marivaux rejoint Feydeau.
Le Monde
par Franck Nouchi
Inutile de chercher un point de vue moral dans tout ça, il n’y en a pas. Pas la peine non plus de se demander à quel genre appartient "A trois on y va". L’alchimie est subtile, composée de comédie, de burlesque même, mais aussi d’ingrédients plus graves, plus mélancoliques, donnant au film sa saveur douce-amère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Parfois rattrapé par ses envies de mimalisme (chassez le naturel), le réalisateur n'hésite cependant plus à briser la glace. Et "À trois on y va" de s'abandonner dans ses dernières minutes à une sensualité inédite et quasi mystique qui confine à l'ataraxie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Jérôme Bonnell est un cinéaste suffisamment délicat pour que son affaire ne flirte jamais avec la trivialité. Pas de cocus ici, ni de désirs bas, mais des jeunes gens pleins d'amour qui détestent se mentir et s'arrangent comme ils peuvent des assauts de leur cœur.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
TF1 News
par Yves Grosjean
Un marivaudage touchant, soutenu par des comédiens en état de grâce. Coup de coeur !
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Time Out Paris
par Céleste Lafarge
Très proche des corps et des visages de ses personnages, la caméra de Jérôme Bonnell les suit avec délicatesse, érotisme, et se saisit fort habilement de leur fragile individualité.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Sans emphase, Jérôme Bonnell caresse une nouvelle fois avec justesse la beauté d’une histoire d’amour. Un coup d’éclat qui vaut aussi pour la sensualité maladroite de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
S’il est fort possible de trouver du charme au film, il reste difficile de trouver au film un enjeu quelconque. Au moins la légèreté de trait s’avère ici bien réelle, quitte à ce que tout entier à son anecdote, le film s’avère aussi franchement anecdotique.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Un film au romantisme délicatement conservateur, en forme de grande preuve d'amour, résolument irréductible à l'esprit du temps.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Gala
par La rédaction
Un vertige que Jérôme Bonnell traduit avec beaucoup de sensualité, mais aussi d’humour, sans menacer jamais la crédibilité de son récit. Seule la fin nous laisserait (un peu) sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est bien dosé et ça ne mange pas de pain mais ça manque de caractère et d'intensité.
Le Journal du Dimanche
par Danièle Attali
C’est simple, délicat, léger, presque volatil. Touchant aussi, en dépit d’une histoire ténue, qui se distend parfois. Jérôme Bonnell, cinéaste du "Temps de l’aventure" en 2013, y parle de la jeunesse différemment, positivement, sans clichés, avec des acteurs justes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Pourtant, on n’adhère pas pleinement, comme si la retenue de Bonnell se transmettait au spectateur, comme si le penchant parfois trop appliqué de sa mise en scène filtrait les émotions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
Jérôme Bonnell ressuscite le motif du triangle amoureux cher à la Nouvelle Vague dans une idylle scandée par d'inévitables quiproquos boulevardiers, qui se veut intemporelle et allégée du fardeau de l'époque. C'est à la fois son charme et sa faiblesse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Un triangle amoureux porté par ses comédiens.
Télérama
par Jacques Morice
Entre jubilation et frustration.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
De la légèreté à la gravité, l'exercice, porté par trois charismatiques comédiens, est plutôt réussi avec quelques savoureux épisodes. Malheureusement, le film manque de densité (...).
Critikat.com
par Morgan Pokée
Ce qui frappe le plus, c’est de ressentir la timidité (certains diront la pudeur) de Jérôme Bonnell à bousculer ses personnages, de peur sans doute de perdre de vue la candeur recherchée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Ce conte sentimental et généreux prouve une nouvelle fois que le réalisateur (...) sait explorer la Carte du Tendre comme personne. Un trio de comédiens épatants l'a suivi pour raconter la belle aventure de Mélodie, Charlotte et Micha.
Elle
"A Trois on y va" est bel et bien un film d'aujourd'hui, qui montre un trio aussi fusionnel et complice que l'est parfois un couple.
L'Obs
Une merveille de comédie sentimentale.
Metro
"A trois on y va " trouve le juste équilibre entre douce mélancolie et humour burlesque.
Ouest France
Jérôme Bonnell fait souffler un air nouveau et personnel sur un canevas dont le cinéma a maintes fois fait ses délices, à la mode "Jules et Jim".
Paris Match
Un marivaudage moderne aussi léger qu’une caresse (...) le film traverse la couche nuageuse des conventions sociales pour atteindre le septième ciel. Formidable en jeune avocate, Anaïs Demoustier est le centre vital de ce cercle non vicieux (...) Car cet amour à trois, c’est avant tout de l’amour.
Positif
Après "Le Temps de l’aventure", Jérôme Bonnell, qui signe ici son meilleur film, poursuit son exploration de la libre circulation du désir (et du plaisir), en ajoutant un tiers au couple adultère.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
"A trois on y va", prototype très abouti de comédie sentimentale à la française.
Télé 7 Jours
Une très jolie surprise, dont le charme opère longtemps.
CNews
Avec "A trois on y va", Bonnell donne un coup de fouet au thème du triangle amoureux. Filmé comme un vaudeville, le long métrage repose sur des dialogues piquants et une mise en scène rebondissante. Après "Le temps de l’aventure", qui avait déjà séduit critique et public, le réalisateur confirme donc cette aisance qu’on lui connaissait.
Femme Actuelle
Entre vaudeville et romance, notre cœur balance, subjugué par ce "Jules et Jim" nouvelle manière. Un grand huit délicieux, pile dans l’air du temps.
Franceinfo Culture
Un des atouts les plus réjouissants de "A trois on y va" est sa tonalité. Tout en légèreté, humour et gaité.
L'Express
Le plaisir que (Jérôme Bonnell) prend à raconter cette histoire de draps chauds se lit sur le visage des trois formidables comédiens,Anais Demoustier, Sophie Verbeeck et Félix Moati.
Le Dauphiné Libéré
Une variation malicieuse et actualisée sur le fameux triangle amoureux, où Marivaux rejoint Feydeau.
Le Monde
Inutile de chercher un point de vue moral dans tout ça, il n’y en a pas. Pas la peine non plus de se demander à quel genre appartient "A trois on y va". L’alchimie est subtile, composée de comédie, de burlesque même, mais aussi d’ingrédients plus graves, plus mélancoliques, donnant au film sa saveur douce-amère.
Première
Parfois rattrapé par ses envies de mimalisme (chassez le naturel), le réalisateur n'hésite cependant plus à briser la glace. Et "À trois on y va" de s'abandonner dans ses dernières minutes à une sensualité inédite et quasi mystique qui confine à l'ataraxie.
Sud Ouest
Jérôme Bonnell est un cinéaste suffisamment délicat pour que son affaire ne flirte jamais avec la trivialité. Pas de cocus ici, ni de désirs bas, mais des jeunes gens pleins d'amour qui détestent se mentir et s'arrangent comme ils peuvent des assauts de leur cœur.
TF1 News
Un marivaudage touchant, soutenu par des comédiens en état de grâce. Coup de coeur !
Time Out Paris
Très proche des corps et des visages de ses personnages, la caméra de Jérôme Bonnell les suit avec délicatesse, érotisme, et se saisit fort habilement de leur fragile individualité.
aVoir-aLire.com
Sans emphase, Jérôme Bonnell caresse une nouvelle fois avec justesse la beauté d’une histoire d’amour. Un coup d’éclat qui vaut aussi pour la sensualité maladroite de ses personnages.
Cahiers du Cinéma
S’il est fort possible de trouver du charme au film, il reste difficile de trouver au film un enjeu quelconque. Au moins la légèreté de trait s’avère ici bien réelle, quitte à ce que tout entier à son anecdote, le film s’avère aussi franchement anecdotique.
Chronic'art.com
Un film au romantisme délicatement conservateur, en forme de grande preuve d'amour, résolument irréductible à l'esprit du temps.
Gala
Un vertige que Jérôme Bonnell traduit avec beaucoup de sensualité, mais aussi d’humour, sans menacer jamais la crédibilité de son récit. Seule la fin nous laisserait (un peu) sur notre faim.
L'Humanité
C'est bien dosé et ça ne mange pas de pain mais ça manque de caractère et d'intensité.
Le Journal du Dimanche
C’est simple, délicat, léger, presque volatil. Touchant aussi, en dépit d’une histoire ténue, qui se distend parfois. Jérôme Bonnell, cinéaste du "Temps de l’aventure" en 2013, y parle de la jeunesse différemment, positivement, sans clichés, avec des acteurs justes.
Les Inrockuptibles
Pourtant, on n’adhère pas pleinement, comme si la retenue de Bonnell se transmettait au spectateur, comme si le penchant parfois trop appliqué de sa mise en scène filtrait les émotions.
Libération
Jérôme Bonnell ressuscite le motif du triangle amoureux cher à la Nouvelle Vague dans une idylle scandée par d'inévitables quiproquos boulevardiers, qui se veut intemporelle et allégée du fardeau de l'époque. C'est à la fois son charme et sa faiblesse.
Télé 2 semaines
Un triangle amoureux porté par ses comédiens.
Télérama
Entre jubilation et frustration.
Le Parisien
De la légèreté à la gravité, l'exercice, porté par trois charismatiques comédiens, est plutôt réussi avec quelques savoureux épisodes. Malheureusement, le film manque de densité (...).
Critikat.com
Ce qui frappe le plus, c’est de ressentir la timidité (certains diront la pudeur) de Jérôme Bonnell à bousculer ses personnages, de peur sans doute de perdre de vue la candeur recherchée.