Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Un magnifique suspense métaphysique et physique sur l’amour, la perte et la perception.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Surprenant, touchant, y compris la "montagne" Depardieu, filmé avec tendresse. Deux comédiens en état de grâce.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film fragile et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
En résulte une intrigue aux dialogues incisifs. Outre le jeu impeccable de Huppert, formidable de naturel et de spontanéité, on retient un Depardieu dans un rôle à la lumière non coutumière.
Critikat.com
par Arnaud Hée
Cette alchimie des corps a quelque chose de fascinant, de monstrueux – avec la question sous-jacente de la « monstration », du cinéma comme mise à nue, exhibition.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Il y a du silence et de la tension, de la transpiration et de la retenue, du vide qui se remplit de frissons.Les fantômes rôdent. Ils ont passé le pont et viennent à notre rencontre. C'est un rêve, un cauchemar. Dernière image. Les lumières de la salle se rallument.
La Voix du Nord
par La rédaction
Un Gérard Depardieu monumental et une Isabelle Huppert gracile se retrouvent dans La Vallée de l’amour, film qui les voit errer sous une chaleur écrasante dans la vallée de la Mort à la recherche de leur fils disparu.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
A la fois très fictionnel et semé de vérités saisissantes, ce voyage laisse une sensation unique d'être à la fois au bord d'un précipice et au coeur d'un amour qui se trouve être, aussi, celui du cinéma et de ses acteurs.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'ombre (lumineuse) de Guillaume Depardieu plane sur cette histoire que Duras n'aurait pas reniée. « Valley of Love » est à la fois un mirage et un vertige. Un film qui dit que, de toute façon, bien plus que la mort, la vie nous échappe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une histoire d'amour initiatique sur la parentalité, la culpabilité et la spiritualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean Marc Lalanne
Entre le rituel morbide de cet enfant de fiction qui continue à adresser des lettres à ses parents pour les mettre en scène dans la vallée de la Mort, et le désir du cinéphile de prolonger à jamais les mythes de son enfance, une même pulsion démiurgique et mortifère est à l’œuvre. La force de "Valley of Love" est de ne pas chercher à raconter plus que ça.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
On va suivre la déambulation endeuillée des parents orphelins de leur enfant, obéissant à ses injonctions précises. Dérivant peu à peu vers le fantastique, elle réussit à ne pas être morbide. Et puis, étrangement, renforçant une émotion inédite, on quitte la fiction sans abandonner pour autant tout à fait les personnages.
Metro
par Jérôme Vermelin
Si Huppert est impeccable, Depardieu épate, Gargantua tragicomique suant son mal-être. Leur improbable duo tient en haleine jusqu'au final, énigmatique et touchant, à la lisière du fantastique. Une vraie surprise.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Palpitant et égocentrique.
Paris Match
par Yannick Vely
Très belle, la fin ébranle les protagonistes et le spectateur, non-résolution qui évite le piège de la signification appuyée, qui laisse planer le doute comme dans les meilleures nouvelles fantastiques.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Prenons le désert, lâchons-y deux stars et voyons ce qui se produit, tel est le postulat. (...) Quête de résonances et de signes venus d'outre-tombe, il évite bien des écueils. Pour atteindre quelque chose que l'on ne révélera pas, mais qui vaut assurément le voyage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Dounia Georgeon
Guillaume Nicloux réunit à l'écran Isabelle Huppert et Gérard Depardieu pour la première fois depuis 30 ans, dans un film aussi minimaliste que profond.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L'amour, la mort, le deuil et l'illusion sont au centre du nouveau film de Guillaume Nicloux. Manque juste l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans ce désert scénaristique, rien à voir. On regarde passer le temps en savourant. Ou pas.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si la mise en scène n'est pas la grande réussite du film, "Valley of Love" vaut le déplacement pour ses personnages, ce qu'ils vivent, et ceux qui les incarnent.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengas
A partir d'un argument intéressant, original, Guillaume Nicloux ("La Religieuse") ne parvient pas à sauver son film, brûlé par le soleil et la vacuité ultime de l'épilogue.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Non, décidément, nous sommes peut-être touchés mais pas émus. Car à ce voyage en Californie manquent la foi et la grâce qui faisaient trembler "Le Voyage en Italie" (Rossellini, 1954). Reste un beau geste cinématographique (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Loin de se complaire dans un regard défaitiste sur la déchéance de l'icône, il fait de son film, dès le titre, une pure déclaration d'amour, avec ce qu'elle peut avoir de maladroite et d'inaboutie dans sa sincérité.
Première
par Christophe Narbonne
L’ambition du film est évidente : les personnages s’appellent Isabelle et Gérard, un enfant est mort, le réalisateur se prénomme Guillaume... En résulte une œuvre en roue libre, à la fois subjugante et grotesque, qui capitalise un peu trop facilement sur l’imaginaire du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Depardieu en état de grâce, dans un film qui traite du deuil avec subtilité. (...). Ecrin idéal pour un tel joyau, la mise en scène ultra-maîtrisée de Nicloux traduit incroyablement la pesanteur du lieu - oppressant et libérateur -, comme celle des corps.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Jérémy Ponthieux
Si Huppert démontre toujours autant de sensibilité, c'est le corps monstrueux et l'amertume cachée de Depardieu qui percutent l'âme avec une certaine délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Gérard Depardieu et Isabelle Huppert campent un couple d'acteurs divorcé qui se donnent rendez-vous dans la vallée de la Mort où leur fils, mort six mois avant, leur a donné rendez-vous. Une mise en abyme troublante de la vie de l'ogre du cinéma français.
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Film-pitch et film-casting à l’état pur.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
36 ans après “Loulou”, le couple Depardieu - Huppert se reforme : mais, malgré leur talent réciproque, l’émotion ne passe guère.
Le Point
par Thomas Mahler
Déjà organisateur de "L'enlèvement de Michel Houellebecq", Guillaume Nicloux a voulu faire du sur mesure pour ces deux icônes. (...) Hélas, ce dispositif de fiction-réalité, s'il offre des moments émouvants, s'avère un peu frêle.
Libération
par Didier Péron
L’idée de réunir, après trente-cinq ans de séparation, le casting du Loulou de Maurice Pialat et de leur imaginer un rendez-vous fantomatique avec un fils suicidé quelque part dans la Vallée de la mort peut sembler théorique et trop maligne pour être aimable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Guillaume Nicloux dit avoir eu envie de réaliser ce film en découvrant la Vallée de la Mort, ce parc national situé à l'est de la Sierra Nevada où la température avoisine celle de l'enfer. Il a du mal pourtant à transmettre son émotion et à bâtir une œuvre à la hauteur de son décor.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE: On peut, évidemment, négliger ce fatras pseudo-religieux pour ne voir qu'une sorte de documentaire sur Gérard Depardieu. Il est grandiose, en effet : montagne de chair exhibée avec une indifférence feinte et une fragilité permanente. Rend-il le film passionnant à lui seul ? Non.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Un magnifique suspense métaphysique et physique sur l’amour, la perte et la perception.
Télé 7 Jours
Surprenant, touchant, y compris la "montagne" Depardieu, filmé avec tendresse. Deux comédiens en état de grâce.
20 Minutes
Un film fragile et émouvant.
CNews
En résulte une intrigue aux dialogues incisifs. Outre le jeu impeccable de Huppert, formidable de naturel et de spontanéité, on retient un Depardieu dans un rôle à la lumière non coutumière.
Critikat.com
Cette alchimie des corps a quelque chose de fascinant, de monstrueux – avec la question sous-jacente de la « monstration », du cinéma comme mise à nue, exhibition.
L'Express
Il y a du silence et de la tension, de la transpiration et de la retenue, du vide qui se remplit de frissons.Les fantômes rôdent. Ils ont passé le pont et viennent à notre rencontre. C'est un rêve, un cauchemar. Dernière image. Les lumières de la salle se rallument.
La Voix du Nord
Un Gérard Depardieu monumental et une Isabelle Huppert gracile se retrouvent dans La Vallée de l’amour, film qui les voit errer sous une chaleur écrasante dans la vallée de la Mort à la recherche de leur fils disparu.
Le Journal du Dimanche
A la fois très fictionnel et semé de vérités saisissantes, ce voyage laisse une sensation unique d'être à la fois au bord d'un précipice et au coeur d'un amour qui se trouve être, aussi, celui du cinéma et de ses acteurs.
Le Parisien
L'ombre (lumineuse) de Guillaume Depardieu plane sur cette histoire que Duras n'aurait pas reniée. « Valley of Love » est à la fois un mirage et un vertige. Un film qui dit que, de toute façon, bien plus que la mort, la vie nous échappe.
Les Fiches du Cinéma
Une histoire d'amour initiatique sur la parentalité, la culpabilité et la spiritualité.
Les Inrockuptibles
Entre le rituel morbide de cet enfant de fiction qui continue à adresser des lettres à ses parents pour les mettre en scène dans la vallée de la Mort, et le désir du cinéphile de prolonger à jamais les mythes de son enfance, une même pulsion démiurgique et mortifère est à l’œuvre. La force de "Valley of Love" est de ne pas chercher à raconter plus que ça.
Marianne
On va suivre la déambulation endeuillée des parents orphelins de leur enfant, obéissant à ses injonctions précises. Dérivant peu à peu vers le fantastique, elle réussit à ne pas être morbide. Et puis, étrangement, renforçant une émotion inédite, on quitte la fiction sans abandonner pour autant tout à fait les personnages.
Metro
Si Huppert est impeccable, Depardieu épate, Gargantua tragicomique suant son mal-être. Leur improbable duo tient en haleine jusqu'au final, énigmatique et touchant, à la lisière du fantastique. Une vraie surprise.
Ouest France
Palpitant et égocentrique.
Paris Match
Très belle, la fin ébranle les protagonistes et le spectateur, non-résolution qui évite le piège de la signification appuyée, qui laisse planer le doute comme dans les meilleures nouvelles fantastiques.
Télérama
POUR : Prenons le désert, lâchons-y deux stars et voyons ce qui se produit, tel est le postulat. (...) Quête de résonances et de signes venus d'outre-tombe, il évite bien des écueils. Pour atteindre quelque chose que l'on ne révélera pas, mais qui vaut assurément le voyage.
aVoir-aLire.com
Guillaume Nicloux réunit à l'écran Isabelle Huppert et Gérard Depardieu pour la première fois depuis 30 ans, dans un film aussi minimaliste que profond.
CinemaTeaser
L'amour, la mort, le deuil et l'illusion sont au centre du nouveau film de Guillaume Nicloux. Manque juste l'émotion.
Femme Actuelle
Dans ce désert scénaristique, rien à voir. On regarde passer le temps en savourant. Ou pas.
Franceinfo Culture
Si la mise en scène n'est pas la grande réussite du film, "Valley of Love" vaut le déplacement pour ses personnages, ce qu'ils vivent, et ceux qui les incarnent.
La Croix
A partir d'un argument intéressant, original, Guillaume Nicloux ("La Religieuse") ne parvient pas à sauver son film, brûlé par le soleil et la vacuité ultime de l'épilogue.
Le Monde
Non, décidément, nous sommes peut-être touchés mais pas émus. Car à ce voyage en Californie manquent la foi et la grâce qui faisaient trembler "Le Voyage en Italie" (Rossellini, 1954). Reste un beau geste cinématographique (...)
Positif
Loin de se complaire dans un regard défaitiste sur la déchéance de l'icône, il fait de son film, dès le titre, une pure déclaration d'amour, avec ce qu'elle peut avoir de maladroite et d'inaboutie dans sa sincérité.
Première
L’ambition du film est évidente : les personnages s’appellent Isabelle et Gérard, un enfant est mort, le réalisateur se prénomme Guillaume... En résulte une œuvre en roue libre, à la fois subjugante et grotesque, qui capitalise un peu trop facilement sur l’imaginaire du spectateur.
Studio Ciné Live
Depardieu en état de grâce, dans un film qui traite du deuil avec subtilité. (...). Ecrin idéal pour un tel joyau, la mise en scène ultra-maîtrisée de Nicloux traduit incroyablement la pesanteur du lieu - oppressant et libérateur -, comme celle des corps.
TF1 News
Si Huppert démontre toujours autant de sensibilité, c'est le corps monstrueux et l'amertume cachée de Depardieu qui percutent l'âme avec une certaine délicatesse.
Télé 2 semaines
Gérard Depardieu et Isabelle Huppert campent un couple d'acteurs divorcé qui se donnent rendez-vous dans la vallée de la Mort où leur fils, mort six mois avant, leur a donné rendez-vous. Une mise en abyme troublante de la vie de l'ogre du cinéma français.
Cahiers du Cinéma
Film-pitch et film-casting à l’état pur.
Le Dauphiné Libéré
36 ans après “Loulou”, le couple Depardieu - Huppert se reforme : mais, malgré leur talent réciproque, l’émotion ne passe guère.
Le Point
Déjà organisateur de "L'enlèvement de Michel Houellebecq", Guillaume Nicloux a voulu faire du sur mesure pour ces deux icônes. (...) Hélas, ce dispositif de fiction-réalité, s'il offre des moments émouvants, s'avère un peu frêle.
Libération
L’idée de réunir, après trente-cinq ans de séparation, le casting du Loulou de Maurice Pialat et de leur imaginer un rendez-vous fantomatique avec un fils suicidé quelque part dans la Vallée de la mort peut sembler théorique et trop maligne pour être aimable.
Sud Ouest
Guillaume Nicloux dit avoir eu envie de réaliser ce film en découvrant la Vallée de la Mort, ce parc national situé à l'est de la Sierra Nevada où la température avoisine celle de l'enfer. Il a du mal pourtant à transmettre son émotion et à bâtir une œuvre à la hauteur de son décor.
Télérama
CONTRE: On peut, évidemment, négliger ce fatras pseudo-religieux pour ne voir qu'une sorte de documentaire sur Gérard Depardieu. Il est grandiose, en effet : montagne de chair exhibée avec une indifférence feinte et une fragilité permanente. Rend-il le film passionnant à lui seul ? Non.