Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Cplanet.com
par Jean Christophe Derrien
Minghella n'hésite pas à prendre son temps pour installer les relations, nous faire apprécier le cadre de cette dolce vita…pour ensuite nous faire basculer dans un thriller psychologique des plus fascinants.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
Certains effets sont certes un peu trop appuyés, (...) mais le film reste quoiqu'il en soit un thriller psychologique honorable, plutôt plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Jean-Dominique Quinet
Sous ses dehors de film classique, The Talented Mr. Ripley se laisse agréablement visionner. Et suscite la réflexion. Que peut-on vouloir de plus?
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Olivier Rajchman
Voir la critique sur www.cinelive.fr
FHM
par Laurent Djian
Ce Plein Soleil à la sauce hollywoodienne est une agréable surprise. (...) La mayo prend plutôt bien. De plus, les décors idylliques nous font rêver, la musique nous fait swinguer. Bref, ce film ne manque pas de glamour.
L'Evénement
par François Jonquet
Choisissant une tonalité hitchcokienne, Minghella se révèle infiniment plus convaincant que dans le trop bien ficelé Patient anglais. L'ambiguïté, le dédoublement, la fascination pour autrui, l'immortalité, sont déclinés avec maestria (...)
Le Parisien
par Eric Leguèbe
(...) la mise en scène adroite d'Anthony Minghella peine à rivaliser avec la perfection de celle de René Clémént. Cela dit, on passe un bon moment avec ce nouveau Monsieur Ripley.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Mr Ripley tient curieusement, via la caméra de Minghella, du feuilleton hollywoodien et du brûlot britannique. Le tout dans une Italie un peu cliché, plage de rêve et vieux palais romains.Délicieusement amoral, il réunit, surtout un affiche... à oscars
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
par Alexandra Borsari
(...) le film n'accède pas au statut d'œuvre d'art seulement par la mise bout à bout de jolis plans. Il manque l'étincelle qui aurait fait de cette deuxième adaptation une œuvre à part entière.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce goût du pittoresque donne au film un aspect lisse et agréale qui édulcore la noirceur du sujet. On reste à la surface des choses, en évitant les abîmes dangereux. Baignade plutôt que noyade. Mais les comédiens nagent bien (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Très bien réalisé, avec un académisme de rigueur qui sied bien à cette histoire glacée (...), ce film ressemble à ses personnages : élégant de l'extérieur ; roublard de l'intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Si le film sonne souvent juste (...), la mise en scène, chichiteuse et touristique ainsi que l'interprétation fade transforment ce faux film tourmenté en polar décoratif, avec des dérapages du côté kitsch le plus ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François-Guillaume Lorrain
Intrusion, identification, schizophrénie, tous ces jeux d'identité, ambigus dans le roman de Patricia Highsmith, manquent ici de subtilité. Ses partis pris (...) alourdissent et font regretter « Plein soleil » (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Première
par Christian Jauberty
(...) Minghella s'attarde sur un Damon épais comme un lard (et monolithique comme un monolithe). Lourdeur renforcée par le romantisme un peu ostentatoire (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Après "Le Patient anglais", Anthony Minghella persiste dans le lyrisme et l'ambiguïté en adaptant le roman de Patricia Highsmith.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Baptiste Piégay
(...) un mou et interminable pensum empruntant les habits élégants du thriller psychologique, mais en ne renonçant pas aux pulsions sentimentalo-emphatiques qui faisaient sombrer Le Patient anglais au fond du gouffre de la niaiserie.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film a la lourdeur des pires superproductions hollywoodiennes où, avant les personnages et le récit, ce sont la reconstitution historique, les foules de figurants et l'arrière-plan exotique qui priment. Belles cartes postales et acteurs fades.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Didier Péron
(...) peu importe à l'arrivée puisque cette version à la mode dopée Miramax (chaque plan dégouline de vulgarité nouveau riche) ne va pas de toute façon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cplanet.com
Minghella n'hésite pas à prendre son temps pour installer les relations, nous faire apprécier le cadre de cette dolce vita…pour ensuite nous faire basculer dans un thriller psychologique des plus fascinants.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Chronic'art.com
Certains effets sont certes un peu trop appuyés, (...) mais le film reste quoiqu'il en soit un thriller psychologique honorable, plutôt plaisant.
Cinopsis.com
Sous ses dehors de film classique, The Talented Mr. Ripley se laisse agréablement visionner. Et suscite la réflexion. Que peut-on vouloir de plus?
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
FHM
Ce Plein Soleil à la sauce hollywoodienne est une agréable surprise. (...) La mayo prend plutôt bien. De plus, les décors idylliques nous font rêver, la musique nous fait swinguer. Bref, ce film ne manque pas de glamour.
L'Evénement
Choisissant une tonalité hitchcokienne, Minghella se révèle infiniment plus convaincant que dans le trop bien ficelé Patient anglais. L'ambiguïté, le dédoublement, la fascination pour autrui, l'immortalité, sont déclinés avec maestria (...)
Le Parisien
(...) la mise en scène adroite d'Anthony Minghella peine à rivaliser avec la perfection de celle de René Clémént. Cela dit, on passe un bon moment avec ce nouveau Monsieur Ripley.
Les Echos
Mr Ripley tient curieusement, via la caméra de Minghella, du feuilleton hollywoodien et du brûlot britannique. Le tout dans une Italie un peu cliché, plage de rêve et vieux palais romains.Délicieusement amoral, il réunit, surtout un affiche... à oscars
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
(...) le film n'accède pas au statut d'œuvre d'art seulement par la mise bout à bout de jolis plans. Il manque l'étincelle qui aurait fait de cette deuxième adaptation une œuvre à part entière.
L'Express
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Le Figaroscope
Ce goût du pittoresque donne au film un aspect lisse et agréale qui édulcore la noirceur du sujet. On reste à la surface des choses, en évitant les abîmes dangereux. Baignade plutôt que noyade. Mais les comédiens nagent bien (...)
Le Monde
Très bien réalisé, avec un académisme de rigueur qui sied bien à cette histoire glacée (...), ce film ressemble à ses personnages : élégant de l'extérieur ; roublard de l'intérieur.
Les Inrockuptibles
Si le film sonne souvent juste (...), la mise en scène, chichiteuse et touristique ainsi que l'interprétation fade transforment ce faux film tourmenté en polar décoratif, avec des dérapages du côté kitsch le plus ridicule.
Première
Intrusion, identification, schizophrénie, tous ces jeux d'identité, ambigus dans le roman de Patricia Highsmith, manquent ici de subtilité. Ses partis pris (...) alourdissent et font regretter « Plein soleil » (...)
Première
(...) Minghella s'attarde sur un Damon épais comme un lard (et monolithique comme un monolithe). Lourdeur renforcée par le romantisme un peu ostentatoire (...)
Télérama
Après "Le Patient anglais", Anthony Minghella persiste dans le lyrisme et l'ambiguïté en adaptant le roman de Patricia Highsmith.
Cahiers du Cinéma
(...) un mou et interminable pensum empruntant les habits élégants du thriller psychologique, mais en ne renonçant pas aux pulsions sentimentalo-emphatiques qui faisaient sombrer Le Patient anglais au fond du gouffre de la niaiserie.
L'Humanité
Le film a la lourdeur des pires superproductions hollywoodiennes où, avant les personnages et le récit, ce sont la reconstitution historique, les foules de figurants et l'arrière-plan exotique qui priment. Belles cartes postales et acteurs fades.
Libération
(...) peu importe à l'arrivée puisque cette version à la mode dopée Miramax (chaque plan dégouline de vulgarité nouveau riche) ne va pas de toute façon.
Studio Magazine
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