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    Ma vie avec John F. Donovan
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    289 critiques spectateurs

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    colombe P.
    colombe P.

    125 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2019
    Ce film est bien construit, bien raconté, hautement captivant et passionnant.
    La réalisation est de grande qualité, les acteurs jouent leur partition à la perfection.
    J'ai été émue, j'ai été bouleversée et ce film fait partie de mes préférés de ces dernières années.
    Je ne peux que recommander à tout un chacun de voir cette très belle oeuvre, en particulier aux personnes sensibles qui sauront elles apprécier ce bijou à sa juste valeur.
    Oui ce film est un bijou car il est bourré de sensibiité, de justesse et d'émotions et cela est très rare.
    Aussi, les quelques critiques négatives que j'ai pu lire, m'ont fait froid dans le dos, c'est terrifiant cette négativité à l'encontre d'un film si magnifique.
    Gko
    Gko

    34 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2019
    Un truc me pétrifie dans la vie: c’est constater l’accablante solitude de l’autre. Donovan est un film sur les ravages d’une vie solitaire.
    Je crois que de nombreux soi-disant cinéphiles prisent le confort que leur fournit un réalisateur populaire avec sa version annuelle d’un même film. Ces auteurs inventent une nouvelle histoire pour chaque film mais nous servent la même mécanique, les mêmes rouages et les mêmes ressorts.
    Aussi ne pardonnent-ils pas à Xavier Dolan de ne jamais faire le même film. Car lui c’est l’inverse, autour d’un même thème il explore à chaque fois une façon nouvelle d’écrire un film. En cela il déstabilise, il remet en jeu le confort de ces soi-disant cinéphiles. Et les critiques que je lis me font penser à ce type dans Amadeus qui reproche à Mozart d’employer trop de notes.
    C’est le premier film Américain de Xavier Dolan donc Xavier Dolan se paie le luxe de se tailler sur mesure un film classique hollywoodien. Nous avons ici à la fois une mise en abime et deux récits parallèles et je ne puis en dire plus car il faut se laisser prendre par ce film sans condition, sonder chaque plan, mesurer chaque silence, chaque retenue, tout aussi éloquents que les répliques ciselées des dialogues. J’ai jubilé lorsque Dolan interrompt ses récits pour une mise au point quant à l’importance de sa thématique comparée aux problèmes du monde. J’ai savouré l’apparition mystique d’un bien étrange vieil homme. Pardonnez moi de souvent dire JE au cours de cette critique mais je l’aime ce Xavier Dolan, je l’aime pour à chaque fois offrir un film que j’aurais adoré écrire, mais je n’ai ni ce talent ni ces ambitions ni ce goût de me remettre en question. Je suis d’ailleurs un peu jaloux qu’un personnage de fiction puisse entretenir une correspondance avec celui qu’il admire ( nudge nudge) Au demeurant, Dolan/Donovan nous décrit la pesanteur de sa solitude et cela me pétrifie.
    Greg A.
    Greg A.

    43 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2019
    Avec un beau travail de réalisation très appliqué et maîtrisé , un superbe casting dont on retiendra entre autre les très belles performances de Kit Harington et Jacob Tremblay , ainsi qu'une bande son variée accompagnant certaines scènes clefs du film de fort belle manière ; on suit cette étonnante et intime correspondance entre deux êtres que tout oppose mais qu'au final tout rassemble , ainsi que de son impact affiché lors d'une conclusion réussi , délivrant un jolie message d'humanité et d'espoir . Un drame mettant en scène deux individus liés par le combat et la peur qu’ils mènent afin de se faire acceptés tels qu’ils sont vraiment . Ma note : 7/10
    Laurent C.
    Laurent C.

    239 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Un film de Dolan est toujours un évènement. D'autant quand il reprend ses thèmes les plus chers : l'homosexualité, le refoulement du désir et de l'amour, la maternité, la solitude des artistes. Mais non seulement, il les reprend, mais il en crée une variation absolument stupéfiante de maîtrise et de beauté. Dolan quitte l'esprit confidentiel des familles en France et du Canada, pour créer une œuvre totalement américaine, où l'exubérance, le bruit dominent.

    Mais heureusement, le cinéaste n'a pas perdu une miette de sa faconde. On retrouve son soin inimitable pour les costumes (dont il est le créateur dans tous ses films), l'intrusion permanente de musiques bruyantes et relevées qui endiablent son récit, et cette façon d'annoncer ses personnages grâce aux pas de côté de sa caméra. Les dialogues sont très écrits.

    Naturellement, Dolan en fait des tonnes et c'est proprement jouissif. Toutefois, on ressent d'un bout à l'autre de cette œuvre majeure une douleur puissante, celle de Xavier Dolan lui-même. Est-il cet acteur des faux semblants ? Est-il cet écrivain comédien qui se raconte à travers le fantasme du poète maudit ? Est-il cette journaliste agacée et critique sur le monde feutré des artistes de Hollywood ? On ne saura pas sinon cette tristesse profonde qui hante le récit.

    "Ma vie avec John F. Donavan" est sans doute l'œuvre la plus aboutie du jeune Dolan qui démontre une fois de plus qu'il est le cinéaste qui comptera dans l'histoire du septième art au 21ème siècle.
    Véronique P.
    Véronique P.

    38 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mars 2019
    Bons interprètes, histoire tirée par les cheveux, il faut s’accrocher, bon dénouement, bon esprit sur la fin.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    594 abonnés 2 780 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2019
    Il est des réceptions critiques qui, par un consortium tacite, décident d’enterrer une œuvre en raison des difficultés inhérentes à sa réalisation et à son montage, en raison d’une divergence d’opinion à l’égard d’un artiste qu’on refuse de voir délaisser son Québec natal pour les États-Unis, en raison de son ambition d’affronter le récit biographique mythifié et mythologique, de s’essayer au romanesque dramatique. Ma Vie avec John F. Donovan fait un pied-de-nez aux bulles colorées qui constituaient l’une des caractéristiques du cinéma de Xavier Dolan pour se concentrer sur l’envers du décor. Aller voir au-delà de l’écran, derrière les paillettes. S’agriffer à la solitude d’un acteur qui, en vendant du rêve à des millions de spectateurs, semble s’être perdu en chemin. Si nous traversons les flashs des photographes, si nous dépassons les néons d’une boîte de nuit branchée, c’est dans des îlots de solitude que nous nous engouffrons, à l’instar de la chambre d’hôtel qui raccorde l’individu aux solitudes environnantes. L’hôtel comme somme de pièces et de portes, de solitudes aussi. Donovan recouvre là le sentiment d’appartenir à une communauté. Il y a la baignoire pleine de mousse, souvenir de l’enfance. Ou cette table placée au beau milieu de la cuisine d’un petit restaurant. Ces lieux isolés obsèdent et inspirent l’artiste qui, par l’intermédiaire de l’écriture épistolaire, trouve le moyen de se dire, de s’inventer pour mieux s’explorer. Car l’essentiel ne réside pas dans la véracité d’une correspondance entre John et Rupert, davantage dans la relation de synchronicité qui se construit entre deux personnages unis par les pouvoirs de la fiction à exprimer la souffrance. En multipliant les focalisations et les ellipses, en suturant des lieux et des âges, Xavier Dolan change son montage en art du rapiéçage nostalgique où le souvenir ainsi revivifié explose en bouche et dans l’esprit de l’auditrice. C’est également l’occasion pour le cinéaste de se dire, de projeter ses fantasmes, ses espoirs et ses angoisses comme au carrefour d’une pluralité de chemins tant spatiaux que temporels. Dès lors, le film épouse la structure muable et amovible de la restitution d’une mémoire : tout repose sur l’acte de transmission, sur la puissance figurative de la parole enregistrée sur cassette avec ses mots et les images qu’elles façonnent. Œuvre sur le langage verbal et cinématographique – ou la capacité imagogène de la parole à engendrer de la fiction – Ma Vie avec John F. Donovan embrasse l’humain dans sa polyphonie et sa complexité fondamentales. Ce faisant, il touche au cœur. Et bouleverse à jamais.
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mars 2019
    Le septième long-métrage de Xavier Dolan confirme la régression du cinéaste québécois, dont les ambitions formelles ne sont plus réduites qu'à de simples gimmicks. On ne s'attardera pas sur la banalité du discours sur l'adoration et sur les conséquences de la starisation, les personnages étant d'une inconsistance effarante et les acteurs sans imagination; ce qui pose surtout problème dans "Ma vie avec John F. Donovan", c'est la faiblesse inouïe d'une mise en scène qui n'est plus qu'une suite d'effets de signature : on retrouve une musique omniprésente (on doit subir la composition lacrymale de Gabriel Yared et les tubes sont balancés dans leur intégralité), des ralentis sans grâce sur des visages désespérés ou encore quelques monologues se voulant profonds mais qui se révèlent au contraire profondément immatures. Alors, pourquoi a-t-on pu aimer certains films de Dolan contenant déjà ces effets et l'on abandonne maintenant le "prodige québécois" ? Deux raisons majeures : d'une part, la fadeur d'une photographie autrefois étincelante, inspirée de publicités, de clips et de magazines de modes, qui témoignait d'une volonté d'incarnation esthétique pop et singulière; de l'autre, une intensité folle qui passait par une rigueur d'écriture et de montage, et une certaine subtilité dans la manière de laisser exprimer grandement ses personnages tout en maintenant des non-dits et du hors-champ. Depuis deux films, la photographie est devenue terne, presque académique, et le rythme d'une indolence désespérante, si bien que la fameuse scène inondée de ralentis et assommée par une reprise de "Stand by me" où Natalie Portman court sous la pluie pour embrasser le petit Jacob Tremblay, tout en étant ratée sur le plan formel, mériterait presque d'être défendue tant elle porte en elle un peu de vie et contraste avec la platitude de l'ensemble. Qu'ils semblent loin le trouble et l’ambiguïté générés par "Tom à la ferme", la générosité et la douleur de "Mommy"; qu'il est triste de voir un jeune cinéaste dynamique chuter si vite ! Mais Xavier Dolan a-t-il encore des idées pour se renouveler, pour relancer son cinéma qui aujourd'hui s’essouffle ?
    Loïck G.
    Loïck G.

    299 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2019
    Alors de quoi parle-t-il, de quoi veut-il parler ? Dans un brouillon de mise en scène au nombrilisme affiché, Xavier Dolan parait vouloir remettre à niveau les compteurs d’une célébrité qui semble lui peser. Par ses artifices, ses devoirs et ses obligations. Deux cerveaux pour illustrer le propos, deux personnages qui ne se rencontreront jamais et toute la difficulté d’assurer sinon la liaison, du moins la symbiose entre nos protagonistes. C’est là que Dolan devient pénible et laborieux et dans l’oubli de l’inédit, quelques scènes fulgurantes ( sous la pluie ) nous rappellent à son bon souvenir. Qu’il retrouve sérénité, repos et bien-être avant de reprendre le cours de ses investigations personnelles.
    POUR EN SAVOIR PLUS : lheuredelasortie.com
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2019
    Le petit génie canadien a encore frappé; Il pourrait servir d'étalon au cinéma mondial et notamment français. On ne peut que se lamenter - en général, certes, car il y de rares exceptions - quand on doit affronter les premiers films des réalisateurs de notre pays, la pauvreté de leur inspiration souvent et l'absence d'innovations dans la forme. Dolan a disposé ici d'un budget à la hauteur de son talent, mais d'aucuns au niveau de la production semblent considérer qu'il en a abusé et que le produit fini ne vaut pas grand chose. Ce n'est pas mon avis. Brodant à nouveau sur les thèmes qui lui sont chers, ceux de l'homosexualité (ses joies et ses tourments) et du rapport du fils avec sa mère, le réalisateur (et scénariste) Xavier Dolan nous entraine dans une histoire à double évolution, celle d'un jeune acteur, Rupert, qui a entretenu une relation épistolaire quand il était enfant avec une star de la télévision au destin tragique, le fameux John F. Donovan. C'est l'occasion d'un jeu subtil de miroirs entre passé et présent, entre les mères respectives des deux principaux protagonistes - les sublimes Susan Sarandon et Natalie Portman -, entre la chute de John F. Donovan et l'ascension de Rupert, devenu lui aussi un artiste reconnu. L'interprète du jeune Rupert, Jacob Tremblay, n'est pas pour rien dans l'émotion qui jaillit à chaque instant de ce film. La forme, comme toujours chez Dolan, est très travaillée, mais le réalisateur qui a enfin perdu la manie de chercher à démontrer sa dextérité et son expertise technique,verse presque dans la sagesse et la sobriété. J'ai dit presque. Un film ambitieux, sincère qui ne dépare pas dans l'œuvre de Xavier Dolan.
    joelle g
    joelle g

    78 abonnés 845 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2019
    Le nouveau Dolan laisse un sentiment mitigé....un début un peu confus....et sans s’en rendre compte on rentre dans cette histoire..de ce petit garçon de 11 ans qui a entretenu pendant 5 ans une relation écrite avec une star du cinéma américain.....petit garçon brillamment interprété....
    Une bande son parfaite...
    Des images fortes , parfois gênantes.....
    nicolas t.
    nicolas t.

    56 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2019
    Grosse déception. Dolan a les yeux plus gros que le ventre
    et son rêve américain se fracasse sur des ambitions trop grandes
    pour ses petites épaules. Best of des scènes de ces anciens films,
    la sauce ne prend pas. Trop d'hystérie, trop de musiques, trop de ralentis,
    trop de mères et de gros plans. Ce qui pouvait faire le charme de ses précédents films devient
    vite insupportable et dégoulinant de mièvrerie.
    Les personnages sont peu aimables (gamin et acteur gay dans le placard) seules les actrices
    s'en sortent, Susan Sarandon et Kathy Bates apportent un peu de maturité à ce pensum narcissique
    d'ado attardé sur les affres de la célébrité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 mars 2019
    A force de vouloir faire du film d auteur on finit par oublier le naturel et l histoire.. il y a comme un goût d histoire incomplète... l estherisarion de l image a outrance ne remplace pas un bon narratif. Cela reste toutefois un film a voir.
    Claudine G
    Claudine G

    181 abonnés 485 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mars 2019
    J'avoue qu'avec un tel panel d'excellents acteurs, je m'attendais à mieux. Certes Dolan reste Dolan, mais entre la réalité et le passé subsistent quelques longueurs qui nuisent au scénario. En fait, cet acteur qui vit dans le mensonge et qui voudrait être un autre que lui-même, ne s'assume nullement ni dans sa vie personnelle, ni professionnelle, ce qui finit par le ronger. J'ai été très déçue...
    Caine78
    Caine78

    6 105 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2019
    Bloqué dans de très nombreux pays pour des problèmes de droits et des critiques souvent assassines aux États-Unis, le nouveau film de Xavier Dolan débarque en France, où un distributeur indépendant lui a permis d'être présent dans pas moins de 300 salles. Résultat : les français ont-ils pu assister à un chef-d'œuvre incompris outre-Atlantique ? Sincèrement, je ne crois pas. En fait, « Ma vie avec John F. Donovan » est typiquement « dolanienne ». Même qualités, même défauts : en Amérique, l'homme ne change pas, sans que je sache si c'est une bonne nouvelle ou pas. Seulement, ici les défauts semblent accentués, la production chaotique de l'entreprise n'y étant sans doute pas pour rien : je veux bien que Dolan explique qu'il a supprimé Jessica Chastain du montage final par des choix artistiques, sauf que lorsqu'on voit le résultat, on est en droit d'avoir de sérieux doutes. Les dialogues sont parfois vraiment problématiques, la narration prenant l'eau à plusieurs reprises, mettant à mal la structure (ambitieuse) de l'œuvre. Il y a un manque de fluidité flagrant, quelques scènes frôlant même le grotesque tant elles sont forcées dans leur démonstration spoiler: (celle du dîner familial en premier lieu : comment celui-ci pouvait-il finir autrement au vu d'une volonté aussi manifeste de foutre la merde de part et d'autre?)
    , le rôle de l' « icône déchue » ne provoquant pas le trouble nécessaire, Kit Harington l'interprétant honnêtement mais sans ferveur. Enfin, je ne reviendrais pas sur l'utilisation de la musique, omniprésente de lourdeur. Maintenant, s'il y a donc des choses que je n'aime pas chez Xavier Dolan, il y en a d'autres que j'apprécie toujours autant. D'abord, il n'est pas tiède. Il fait son métier avec passion, intensité, voire fébrilité. On sent vraiment chez ce garçon une envie de raconter des histoires, d'offrir des personnages complexes, avec leur part d'ombre tout en gardant, du moins ici, une vraie dimension humaniste. Comme toujours, il réussit particulièrement certaines séquences : spoiler: l'échange final entre Harington et Kathy Bates, je l'ai notamment trouvé très juste. La réconciliation entre mère et fils sous forme de « course-poursuite », surtout avec l'élégante reprise de « Stand By Me » en fond sonore, aussi,
    la première étant d'assez loin la protagoniste la plus intéressante du récit, surtout qu'elle est interprétée par une merveilleuse Natalie Portman, dont la sensibilité transparaît à chaque apparition. Avec tout ça, pas évident de tirer des conclusions, à l'image de cette bande-originale toujours aussi « aléatoire » tout en proposant d'excellents morceaux spoiler: (ici Adele et The Verve, notamment)
    . Cette volonté de voir les choses en grand pour son histoire séduit également. Encore aurait-il fallu que cette énergie soit mise au service d'une rigueur narrative autrement plus grande (le jeune québécois a t-il eu le « Final Cut ? ») et de figures plus attachantes pour que « Ma vie avec » provoque l'émotion recherchée. Non, décidément : après ce film, je ne sais toujours pas quoi penser du cinéma de Xavier Dolan. Suite au prochain épisode...
    Sylvain M.
    Sylvain M.

    10 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2019
    Décevant ... Inutilement intellectualisé, assez bien filmé et joli mais c’est tout. On ne suit pas bien le fil rouge, les personnages sont bizarrement caricaturés. Vraiment un cran en-dessous des précédents !
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