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    Lion
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    benoitG80
    benoitG80

    3 412 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2017
    "Lion" biopic tiré d'une histoire extraordinaire, est en fait bien plus que cela !
    En effet, ce film peut se voir sous différents angles, différentes facettes et au delà de l'aspect unique et émotionnel qu'on pourrait juste retenir, c'est aussi bien d'autres sujets qui en suscitent l'intérêt...
    L'idée de montrer ce que le travail de quête quasiment obsessionnelle, ici la recherche de ses origines, peut déstabiliser celui qui le mène et par conséquent tout son entourage.
    Ce qui à travers le destin de Saroo, est formidablement illustré.
    La vie de cette famille qui a tout voulu donner à ces deux enfants recueillis et aimés, va basculer avec tout ce que cela implique et comporte en terme de réflexion sur l'adoption, quant à ses joies mais aussi ses difficultés.
    À ce titre, un superbe moment se détache du film lors de l'échange entre Saroo et sa maman australienne où les mots sont choisis sur le fil, où toute la souffrance des deux parties remontent inexorablement...
    Ce besoin récurent chez beaucoup, de rechercher ses parents biologiques coûte que coûte, prend une dimension humaine très forte par la presque folie dans laquelle tombe ce jeune homme de 25 ans dont Dev Patel donne toute sa persuasion !
    De même, que l'on retiendra aussi toute la problématique pourtant connue de ces enfants indiens laissés dans la rue, qui finissent par disparaître par milliers et dont les raisons multiples font froid dans le dos !
    L'Inde à ce propos est d'ailleurs filmée sans concession aucune, misère humaine et beauté des paysages cohabitent paradoxalement sous l'œil révélateur de la caméra et de ce petit bonhomme étonnant...
    Alors si l'on peut reprocher ou s'enthousiasmer du côté mélo de ce portrait sensible, ainsi que de l'incroyable vie de Saroo, c'est aussi bien autre chose que cette réalisation de Garth Davis nous apporte !
    En rester sur une seule impression serait réducteur et bien dommage...
    LeFilCine
    LeFilCine

    177 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2017
    La mésaventure qu’a connu le jeune Saroo Brierley est renversante. En 1987, alors âgé de seulement 5 ans, le jeune indien prend par mégarde un train qui le fait traverser une grande partie de cet Etat-continent qu’est l'Inde. Ne connaissant que son prénom et le nom approximatif de son village, il se retrouve perdu dans l’immensité de Calcutta. Après bien des péripéties il est finalement adopté par une famille aimante australienne, mais il gardera à jamais en mémoire quelques souvenirs et images de son enfance perdue. Garth Davis, réalisateur inconnu jusqu'alors, s’empare de cette incroyable histoire et nous livre un film d'une justesse de ton parfaite et d'une grande délicatesse. On peut difficilement rester insensible à une histoire aussi effarante, mais encore faut-il arriver à sublimer le récit. Ce que réussi à faire le réalisateur australien, parfaitement inspiré à tous les niveaux. Dans la première partie du long-métrage qui se déroule en Inde, ce pays des contradictions, la beauté des paysages s’oppose à une pauvreté omniprésente. Et on se sent perdu avec ce petit garçon courageux réclamant son frère et sa maman au milieu d’une foule oppressante. Le jeune Sunny Pawar est vraiment exceptionnel dans le rôle de cet enfant désorienté. La seconde partie du film qui nous conduit en Tasmanie vingt ans plus tard est très différente mais tout aussi passionnante. On y retrouve Dev Patel habité par la force de son personnage et une Nicole Kidman épatante. Le récit gagne encore en profondeur lorsque le jeune homme se lance dans une recherche de ses racines, via des images satellites, basée sur de menus souvenirs visuels d'enfance. C’est d'une poésie et d'une force géniale. Quand un jeu de piste à si grande échelle vise à retrouver sa famille et ses origines, les enjeux deviennent abyssaux. Le final, beau et amer à la fois, arrive à être émouvant sans être larmoyant. Et les cris d'appel du petit Saroo à son frère Guddu restent longtemps dans les têtes.
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 février 2017
    Avant d’aller voir "Lion", je savais qu’il était en course pour 6 statuettes lors de la cérémonie aux Oscars à venir. Et bizarrement, après deux heures d’émotion intense, j’aurai cité exactement les mêmes catégories. J’en aurai même rajouté une, mais j’y reviendrai plus tard. En tout premier lieu, la musique signée par Dustin O’Halloran : dès le générique du début, elle est associée à de superbes images dignes des plus grands reportages sur les merveilles naturelles que sont les sites restés sauvages qui nous entourent, et déjà les premiers frissons se font ressentir. Des premiers frissons qui seront rapidement suivis par une scène post-générique anodine montrant un instant de vie superbe de simplicité, par le biais d’un plan se contentant de contempler avec beaucoup de poésie un petit garçon au beau milieu d’une nuée de papillons dorés que les rayons du soleil illuminent tels des lucioles virevoltantes. Suite à ces deux séquences, le spectateur sait qu’il va vibrer et qu’il va vivre un grand moment de cinéma. Et il ne va pas être déçu. Ni par les émotions, ni par le voyage (sur lequel je reviendrai là aussi plus tard). Parce que les premiers frissons ressentis ne sont rien comparés à ce qui va suivre. Aussi je ne saurai que trop vous conseiller de ne pas partir au cinéma sans mouchoirs ! Vous risquez fort d’être littéralement essorés, aussi prévoyez le stock ! Car la réalisation, l’interprétation des acteurs, et la photographie, en plus de la musique, rendent cette incroyable histoire vraie particulièrement émouvante. Et je commencerai par l’interprétation époustouflante de vérité de la part des acteurs. D’abord Nicole Kidman, pour qui le retour dans son pays natal a été source d’inspiration, au même titre que le sujet : elle est plus expressive que jamais, allant jusqu’à accepter une certaine ressemblance physique avec la personne de la vraie histoire (que nous pourrons constater lors du générique de fin par le biais de quelques clichés photographiques venus authentifier cette belle histoire). Je pense qu’elle mérite cette nomination. Quant à Dev Patel, il nous émeut des tourments de son personnage, torturé par de vagues souvenirs surgis brutalement de son enfance, secoué par la douleur des questions existentielles malheureusement sans réponse. Grâce à son jeu d’acteur, le spectateur va ressentir ce besoin de retrouver ses origines, un besoin qui ne s’annonce pas simple à assouvir. S’il est si convaincant, c’est parce que, de son propre aveu, il a été confronté au meilleur scénario qu’il lui a été permis de lire. Ayant eu vent du projet, il a fait des pieds et des mains pour obtenir le rôle, poussant le vice jusqu’à se rendre directement chez le scénariste alors que le scénario n’en était encore qu’au stade de l’écriture. Après, ça a été des mois de préparation, dont la touche finale a été d’intégrer l’accent australien dans son élocution. Son interprétation est à la hauteur de celle qu’il nous avait servie dans "Slumdog millionnaire", aussi lui non plus n’a pas volé sa nomination. Mais avant tout, et c’est là que j’aurai rajouté une nomination de plus pour ce film, je crois qu’on ne peut que saluer ce petit bonhomme, Sunny Pawar, lui qui ne savait pas parler un mot d’anglais avant le tournage, et qui n’avait même jamais tourné le moindre film. Il est tout bonnement incroyable, emportant l’adhésion totale affective et artistique de Dev Patel et Nicole Kidman, ce qui fut souligné par les deux stars lors de différentes interviews. Je trouve injuste que son nom ne figure pas en haut de l’affiche avec les autres, de la même façon qu’il ne se retrouve pas cité aux Oscars. Avec son esprit à la fois entêté et obéissant, méfiant et téméraire, il est si naturel, si gentil avec ses grands yeux noirs innocents qu’on ne peut lui résister. On se surprend même à vouloir lui crier de fuir quand il est en passe d’être pris en charge pour la première fois. Je dois dire que la qualité d’interprétation est portée par la formidable mise en scène. Logiquement nominé, Garth Davis signe son premier long métrage avec une maîtrise confondante, bien épaulé par les notes musicales de Dustin O’Halloran et l’œil du photographe Greig Fraser. De ce fait, sa réalisation se retrouve parfaitement imbriquée avec le jeu des acteurs, la musique et la photo pour devenir indissociables. Ainsi les phases de réflexion par lesquelles passe Saroo (Dev Patel) avec (par exemple) ses yeux perdus dans le lointain de l’horizon rougeoyant, se suffisent à elles-mêmes, se passant aisément de dialogues quelconques, y compris en voix off. Mais là où Garth Davis parvient à exprimer tout son art de réalisateur, c’est lorsque le gamin est emporté encore un peu plus loin de chez lui, vers une terre dont il n’avait jamais entendu parler auparavant : l’Australie. En effet, alors que l’avion prend de la vitesse pour son envol, ce qui est de nouveau un véritable choc pour le gamin, il a été superposé en bruit de fond l’entêtant "tac tac ! tac tac ! tac tac !", bruit caractéristique des roues d’un serpent d’acier sur les joints de rails, glissant irrésistiblement à travers l’interminable campagne. Cette superposition trahit le souvenir traumatisant encore tout frais de son voyage impromptu. Je ne sais si vous l’avez remarqué, car c’est discret, et pourtant… C’est peut-être le moment qui m’a le plus marqué. Le talent du réalisateur ne s’arrête pas là : il a un vrai regard de cinéaste, ce qui lui a permis de donner une immense ampleur esthétique aux images. La photographie n’est est que plus sublime. Ainsi, il parvient à faire ressortir beaucoup de charme de la pauvreté indienne : les illuminations de nuit données par les fébriles flammes de bougies, les lieux de recueillement improvisés, les fleurs à la couleur orange flottant dans le fleuve sacré, et des scènes de vie que nous ne voyons plus chez nous, comme ces femmes qui lavent leur linge dans le Gange. Et puis il y a ces formidables contrastes avec une exposition de lieux tour à tour grouillant de monde et déserts. Visuellement, le spectateur vit un vrai dépaysement. Si le spectateur est embarqué sans concession dans cette belle histoire, c’est aussi parce que le film a été tourné à hauteur d’enfant. Un film parfait, alors ? Dans le sens que le spectateur toujours plus exigeant veut du rêve, du voyage et des émotions, "Lion" remplit parfaitement bien son contrat. C’est déjà en soi une retentissante réussite. Cependant "Lion" comporte quelques petites faiblesses, comme le fait qu’on a prêté à la population indienne la langue occidentale ! Un non-sens lorsque les enfants entonnent une chanson dans leur langue maternelle, alors qu’ils parlent parfaitement le… français, puisque je l’ai vu en version doublée pour notre hexagone. J’ignore si la version originale a fait la même erreur en prêtant la langue de Shakespeare aux indiens... Si la langue maternelle avait été conservée du côté des indiens, cela aurait permis d’exploiter les difficultés de l’adoption apportées par les différences de culture et linguistique, mais après tout, là n’était pas le sujet principal du film, alors on pardonnera aisément cette "lacune", si toutefois ça en est une. Pour preuve, des ellipses ont été aménagées pour éviter un film fleuve, qui s’en serait retrouvé cependant plus complet. En revanche, prenez la peine de rester assis lorsque le générique de fin arrive. Car le spectateur ignore encore pourquoi ce long métrage s’appelle "Lion". Faites-donc preuve d’un peu de patience, cela va vous être expliqué par l’intermédiaire d’informations complémentaires sur l’histoire de Saroo lors de ce même générique, que je vous invite à suivre jusqu’à son ultime fin, d’abord pour réécouter les notes enchanteresses du compositeur, mais aussi pour vivre un joli petit hommage sobre mais dont la simplicité est d’une efficacité à toute épreuve. Comme quoi, la sortie du tunnel (vu en début de film) n’était pas si anecdotique que ça. "Lion" fera donc partie de ces œuvres incontestables que le spectateur n’est pas près d’oublier.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 février 2017
    Un paquet de kleenex qui traîne dans votre manteau depuis le début de l'hiver ? Très bien. Gardez le et allez voir LION ! La bande annonce m'avait pourtant mis en garde mais comme j'aime confirmer une impression, j'ai foncé à la séance de 9h15, tellement plus discrète quand on prévoit de verser une larme! Une larme? Allons, pas de fausse modestie ni de fausse pudeur!!! Tu as pleuré comme une madeleine !
    Madeleine...celle de Dev Patel prend ici la forme d'un Jelabi! Même effet que pour Proust. Elle renvoie en enfance et réveille les souvenirs. on ne peut qu'admirer l'abnégation du jeune homme et s'incliner devant les prouesses de la mémoire humaine. Imaginez la difficulté pour un réalisateur de filmer une scène que tout le public attend! Elle existe, elle va arriver et ca va être beau !!! Et bien oui c'est beau, sans mièvrerie, sans glucose qui donne la nausée! Les protagonistes sont filmés avec justesse, en plan serré quand il le faut. Patel à une telle intensité dans ses yeux noirs! Les scènes clés sont accompagnées d'une musique classique qui vient gentiment vous chatouiller le canal lacrimal. Du très beau travail!
    L'affiche du film prévient que votre cœur sera rempli de bonheur. Elle ne dit pas que vos joues seront emplies de larmes et surtout, surtout...elle ne met pas en garde contre le côté introspectif du film. Car après le premier acte on ne peut s'empêcher de se demander ce qu'on fait concrètement pour contrer la misère humaine. Et pour ma part, continuer de se poser cette question plusieurs heures après la fin du film, devant une pizza et un verre de Montepulcciano, voilà la grandeur de ce film!
    Aux futurs spectateurs qui liront ce poste, je ne peux pas vous dépanner en mouchoirs. J'ai tout épuisé ce matin!
    MediaShow
    MediaShow

    142 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2017
    « Lion » est un biopic marquant ! Bien que l’intrigue ne soit pas révolutionnaire et soit présentée comme un « tire-larmes », le fond scénaristique fait preuve d’une grande maîtrise. Garth Davis semble vraiment inspiré par cette histoire, lui offrant une dimension émouvante, sincère et doté d’une grande humanité. Un voyage périlleux immersif, accompagné d’un excellent casting !

    Retrouvez ma critique intégrale sur le site mediashowbydk.com ou via le lien ci dessous.
    Guristorion
    Guristorion

    15 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Ce film fait vivre le destin si peu ordinaire du petit SAROO délaissé et livré à la misère du monde. Par une interprétation parfaite, SUNNY PAWAR parvient à toucher le spectateur de mille manières différentes en sublimant l’innocence, le courage et la bravoure du jeune SAROO.

    Quels que soient les reproches que l’on peut faire au réalisateur (une deuxième partie un peu moins dynamique que la première, une fin trop larmoyante, une pub pour google earth…), le film parvient à nous faire vivre une multitude d’émotions, et c’est bien là l’essentiel. Une belle leçon d’humilité.
    Alice025
    Alice025

    1 666 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2017
    Vu en avant-première en présence de Nicole Kidman et Dev Patel, ce film retrace l'histoire vraie et incroyable de Saroo, perdu à l'âge de 5 ans et qui retrouvera sa famille biologique 25 ans plus tard. Le film se divise en deux parties : la première, c'est son enfance, sa vie en Inde jusqu'au drame, puis une errance de plusieurs mois, l'orphelinat et enfin l'adoption par un couple d'Australiens. Le petit garçon qui incarne Saroo jeune est vraiment fabuleux, tant d'émotions passant par le regard. La deuxième partie nous montre Saroo adulte (incarné par Dev Patel), sa vie actuelle et son obsession constante de rechercher le lieu où il a vécu petit avec Google Earth dans le but de retrouver sa famille biologique. L'histoire est terriblement émouvante, allant crescendo jusqu'à la toute fin du film. Les acteurs sont fabuleux, sensibles, « Lion » est un très beau film qui nous touche directement en plein cœur. Il sensibilise également sur la disparition fréquente d'enfants en Inde, un fléau qui dure depuis trop longtemps.
    Soren.K
    Soren.K

    43 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2017
    "Lion" : le genre de film inévitablement lacrymal dont les larmes font le succès.
    En fait c'est tout simple. Le scénario est copié d'une histoire vraie et y ajoute simplement la dose d'émotion et de personnages utiles à celle-ci afin d'alimenter le propos. La caméra est exclusivement subjective et se compose de travellings immersifs. Bien sûr ce n'est pas tout simple, mais cela signifie simplement que la réalisation n'est pas extraordinaire et que les plans ne sont pas particulièrement géniaux, mais qu'on s'en fiche. On s'en fiche totalement en fait. Parce que ça réussit.
    C'est ce film où l'on ne prête pas attention au cinéma, on le vit.
    On ne regarde pas les acteurs, on n'analyse pas l'histoire, on ne fait que voir, entendre, imaginer : on partage les sensations des personnages, on se projette dans le film, dans cette réalité si puissante, si intense, si triste, si juste et injuste.
    C'est presque anecdotique que de mentionner la superbe performance des acteurs, bien qu'en fait ils forcent le trait (mais sur le moment on ne le voit pas), car ce ne sont plus des acteurs, ce sont des humains, ce sont nos parents, ce sont nos enfants.
    Voilà, le titre rugit, féroce, beau et majestueux. "Lion" bouleverse les sentiments et les réalités de chacun, il s'associe et s'approprie notre humanité à l'écran, il transforme le cinéma en vraisemblance, en existence.
    Shelby77
    Shelby77

    163 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2017
    Très beau film. Les hasards de la vie, le destin de ce petit garçon qui échappe au pire. Belles prises de vues, les acteurs sont tous au top, le petit garçon particulièrement. Une leçon d'espoir, de courage et d'amour.
    LaureP
    LaureP

    11 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2017
    La publicité dit "si vous avez aimé Slumdog millionnaire, allez-y, vous adorerez Lion"; je ne suis pas certaine de comprendre le lien.
    C'est une belle histoire, les acteurs sont magnifiques.
    Le début est un peu lent, on attend que l'histoire démarre.
    Un bon moment qui nous rappelle la réalité du monde
    Wilma P
    Wilma P

    11 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2017
    Un merveilleux film servi pat des acteurs criant de vérité en particulier les deux petits acteurs qui jouent avec une force et un naturel époustouflant. Dave Patel est comme d'habitude très juste, belle interprétation de Nicole Kidman . Une histoire touchante et bouleversante à voir absolument. Les images sont magiques et très belles
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2017
    L’affiche nous annonce que « votre coeur va exploser de bonheur » (et qu’il est le nouveau Slumdog Milionaire, bien sûr les deux films n’ont rien à voir, à part le fait de partager le même acteur). Déjà bien échaudé par l’accroche mensongère de La La Land, je craignais un peu le pire. Je rassure les cardiaques, ils peuvent venir voir Lion sans inquiétude. Si pour son premier long métrage Gareth Davis ne convainc pas vraiment sur le plan de la mise en scène (un peu long au début, manque de puissance, beaucoup trop de flash-backs, personnages sacrifiés, etc.), il se rattrape sur l’émotion qui monte crescendo pour une fin où...
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2017
    Je trouve très difficile de dire mon avis sur "Lion" car il y a si peu de choses à redire. La seule chose qui m'a freiné, c'est le message de fin où il manquait juste la phrase "Adoptez un enfant indien pour le sortir de la misère" pour aller au bout de leur pensée. Hormis ce détail moindre, "Lion" est une épopée, une quête d'identité et d'origine émouvante, bouleversante et très touchante. Pas une seule fois, on remet en question la mise en scène qui est d'une simplicité et d'une efficacité évidente. La première réalisation de Garth Davis relève du génie tant la narration est fluide et percutante. On suit le destin chronologique d'un jeune indien de 5 ans qui se perd et qui passe des années dans la rue à errer à la recherche de sa famille jusqu'au jour où on lui propose de rejoindre une nouvelle famille venue d'Australie. Son passé reste une empreinte forte et le hante jusqu'au jour où il décide de repartir sur les traces de ses origines. Les interprétations sont des vrais diamants à l'état brut ; sensibles, sincères et je pense très proches des réelles personnes de l'histoire vraie. Les acteurs indiens sont incroyables et on admire bien évidemment l'aura lumineuse du jeune Sunny Pawar qui nous submerge d'émotions. Les acteurs plus populaires n'en sont pas moins mauvais, bien au contraire. Nicole Kidman est grimée et s'efface totalement derrière le rôle de cette mère de famille dévouée et aimante et quant à Dev Patel, on ne l'a jamais vu aussi investi dans un rôle. Il mérite, selon moi, la statuette du meilleur acteur dans un second rôle. La bande originale, vibrante et originale, donne une véritable identité au film et fait écho à tout l'espoir et l'amour qui débordent des personnages. "Lion" réussit astucieusement à nous faire porter un regard différent sur les sans-abris, les gens qui n'ont pas de domicile fixe ; leur passé et leur histoire ne les rend pas moins humain que nous et cela, "Lion" nous le raconte d'une façon saisissante. Et je pense qu'on peut inscrire la scène de fin à la liste des scènes les plus touchantes et vibrantes du cinéma, non pas pour son côté larmoyant mais plutôt pour la pureté des acteurs qui nous offre un instant magique et réaliste de retrouvailles. Histoire de famille, d'amour, d'espoir, de quête d'identité, "Lion" se révèle comme un coup de cœur évident et une véritable baffe sur l'histoire que peut constituer une famille, l'amour d'une mère pour son fils et surtout la persévérance de ne jamais perdre espoir...
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2017
    Un très beau film sur deux enfants vivants dans un milieu défavorisé en Inde et qui tous les jours se confrontent aux dangers pour manger et vivre jusqu'au jour ou le plus jeune se perd dans cette grande ville et après bien des déboires il est adopté par une famille Australienne et tout va bien jusqu'au jour ou le passé resurgit dans sa tête et après 25 ans il ne pense qu'à retrouver sa vraie famille. Tous les acteurs sont excellents à voir absolument
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2017
    Un film extraordinaire. Une histoire extraordinaire qu'aucun scénariste n'aurait pu imaginer et mettre en scène avec autant de brio si elle n'avait été inspirée d'une histoire vraie (avec a priori très peu d'adaptations). L'interprétation est magistrale. Un très grand film humaniste qui restera dans les annales du cinéma.
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