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Philippe G.
121 abonnés
509 critiques
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1,0
Publiée le 6 mars 2019
Ce faux "Slumdog millionnaire" vise à faire pleurer les foules, avec de gros sabots : musique romantique quand c'est émouvant, regards éperdus, etc. Nicole Kidman est enlaidie, véritable exploit technique. Seul le héros enfant est réellement bouleversant. À regarder si on a épuisé son stock de films de baston.
Comment dire ! L'histoire de ce garçon est riche d'idée .... Mais pour cela il faut du talent ! Plein de bon sentiments de grosse ficelles, aucune finesse, aucun parti pris.... Les comédiens font de leurs mieux ....même Nicole Kidmann si si .....mais sans direction d'acteurs....ça va pas loin! Une mention spéciale pour le comédien du jeune Saroo il est lumineux et très authentique ! C'est long et sans intérêt ! Ca demarre par c'est une histoire vraie et ça se termine par la preuve voici les vrais gens! La vacuité de ce cinéma là racoleur et vide de sens!
Par ce commencement de l'histoire par une tragédie indienne, la grande misère sociale couverte par une couverture immense dans cette réalisation sur son scénario qui se repose sur ses lauriers. Alors utilise beaucoup de boîte à mouchoirs pour faire fondre des larmes qui recouvrirait une rivière pathétique, le milieu se réchauffe, puisse être séché automatiquement amenant vers cette fin heureuse.
Notre petit indien malheureux soit une intrigue à quiproquo connaît le fin mot de son histoire fraternelle, ce n'est pas Slumdog Millionaire qui veut, merci.
Larmoyant, sensible et touchant, mais au final peu intéressant, lent, et souffrant d'un manque d'originalité accrue. Très moyen, sans être catastrophique car quelques bonnes choses, mais globalement pas terrible.
Du tire larme sans intérêt qui a essayé de refaire une slumdog Millionair sans le talent de Dany Boyle. Les séquences avec les enfants en Inde restants les seules qualités du film qui n’est Le que pour faire pleurer les mères de famille.
Une étoile pour la bande original qui porte plusieurs scènes. À part ça, rien qui affirme être un grand film. Des scènes et un scénario faciles qui pousse les acteurs à sur jouer parfois.
Vendu comme le nouveau "Slumdog Milionnaire, "Lion" n'a rien à voir avec ce grand film oscarisé, de part le sujet et de par sa qualité. Ce long-métrage devrait même être vendu dans une pharmacie en tant que somnifère tellement la charge soporifique est puissante devant le visionnage de ce film où l'émotion est totalement désagrégée par la mollesse de sa réalisation. Dommage pour les acteurs, investis.
Lion avait franchement de quoi faire peur, notamment par sa bande-annonce, emmenée par le fameux label "based on a true story" faisant penser à un film conçu et taillé pour les oscars, ce qui est confirmé par l'affiche où l'information relatant les nominations (c'est dire si on va loin, ce n'est même plus les récompenses) prend la moitié de la place.
L’œuvre évoque donc un gamin loin de chez lui, élevé hors de ses racines assez jeune et qui va, 25 ans plus tard, se mettre en tête de retourner dans son village natal après avoir découvert Google Earth et retrouver d'où il vient vraiment et ses origines. L'histoire est intéressante mais contient malheureusement tous les défauts ou presque de ce genre de film, tombant dans le mimétisme et la maladroite imitation du réel (ponctuée par un final allant dans ce sens) où les producteurs ont juste ajouté des ficelles larmoyantes qui n'ont que peu de sincérités.
La subtilité n'est jamais vraiment au rendez-vous, à l'image de la bande-originale omniprésente, larmoyante et forte, évidement pour le réalisateur mais aussi pour les acteurs, dont le jeu, se limitant aussi à de la pale imitation, n'est jamais émouvant ou même convaincant (mention à Nicole Kidman qui pleure chaque fois qu'elle apparaît à l'écran ,ou presque). Le problème, c'est que les producteurs ne se limitent pas à ça et le manque de subtilité, ainsi que le discours douteux, se trouve aussi dans les propos, à l'image des portraits psychologiques des enfants adoptés, où celui parfait et soucieux du bonheur de ses chères parents adoptifs est opposé au mauvais fils camé... On est en plein manichéisme et Lion en devient très vite énervant.
C'est aussi dans la description de la vie indienne que l’œuvre prend un virage décevant, où chaque millimètre de pellicule devient propice à nous montrer la pauvreté et dangerosité des rues et l'enfer vécu par ces gens. Enfin, c'est tout le scénario qui sert ce qui se rapproche du degré zéro du cinéma, tout est attendu et caricatural, tous les événements de ce type de film sont bien là et évidemment mal amenés et mis en scène. Tout est simpliste et toute once d'espoir est à chaque fois effondré par le manque de subtilité, d'intelligence et de talent qui se cache derrière cette production hypocrite. Effectivement, les rares bonnes choses que l'on peut trouver (la reconstitution, quelques passages intéressants...) ne sort malheureusement jamais Lion de sa médiocrité.
Rares sont les films qui m'ont autant énervé lors de leur vision tant tout sonne faux dans ce pale et maladroit jeu de l'imitation et dont l'absence de talent et subtilité sert une production aussi médiocre qu'hypocrite. Tout est à jeter...
Nul , sujet très très mal traité ... nul nul nul. Que de mièvrerie . Quand on connait Le succès que Le film a eu , on se demande qu'est ce qui plaît actuellement...
Le parcours du petit Indien, au début, nous le montre comme le crève-la-faim idéalisé, c'est-à-dire celui qui parvient à se nourrir sans argent, tout en restant dans le cadre légal (ou presque). Remarquable prouesse quand on sait qu'il n'a que 5 ou 6 ans, qu'il est cerclé par un trafic d'enfants, qu'il ne parle pas la langue et que la quasi-totalité des êtres qu'il rencontre semble malintentionnée.
Et c'est encore plus gros lorsque, spoiler: des années plus tard, chanceux d'être parvenu à se sortir de la misère, il constitue la plus grande fierté de sa nouvelle famille, contrairement à son frère d'adoption, présenté comme le fils ingrat, en proie à des crises de colère .
Puis on clôt cette fable "inspirée de faits réels" par une succession de séquences, aucunement cinégéniques, spoiler: où le jeune homme sillonne Google Earth, et trace des lignes géométriques dans le but de retrouver son village natal. Il doute, requiert le soutien de sa petite amie et de ses parents, mais finit – contre toute attente ! – à géolocaliser sa maison .
Difficile de croire qu'une telle histoire pouvait dépasser le stade de l'anecdote, et pourtant…