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C’est époustouflant et visuellement bluffant : le cahier des charges du divertissement en surcharge est rempli par les affrontements entre Godzilla, Mothra, Rodan et son ultime ennemi, le roi à trois têtes.
Si la première partie prend le temps d’installer les enjeux et les personnages – notamment les Titans, inspirés des films de monstres japonais, formidables adversaires de notre iguane géant -, la seconde est un déferlement d’effets spéciaux qui aboutit à des images incroyables de destruction.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Que des images aussi grandioses surgissent en 2019 a de quoi rassurer quant à l'émerveillement que la machine hollywoodienne est encore capable de produire.
Plus d'action, plus de monstres, plus de bruit mais aussi plus de vide dans l'intrigue, l'univers et les personnages : "Godzilla II" écrase tout sur l'autel du spectacle pour offrir un arc-en-ciel de destruction et bastons. De quoi offrir un spectacle plus simple et grand public, et donc beaucoup moins inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les fans seront sans doute comblés. Les personnages n’ont guère d’épaisseur, la taille du scénario est inversement proportionnelle à celle des monstres, mais quel spectacle incroyable ! Près de 2 h 12 de destruction massive ! On regrette quand même l’onirisme visuel et mélancolique qui faisait le charme du précédent Godzilla.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Il a beau s'embrouiller dans son propos, Godzilla II : Roi des monstres se rattrape par son choc des titans qui nous offre l'adrénaline qui lui manquait auparavant
Après un reboot US inabouti mais formidablement pictural, "Godzilla II" se frotte au “kaiju movie” dans ses excès : un scénario inutilement alambiqué pour de l’action impressionnante.
Le fantasme mythologique du blockbuster Hollywoodien montre ici toutes ses limites, alors que le fracas des colères divines se retrouve réduit à une gesticulation de Pokémon géants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Boursouflé et malhonnête, le nouveau film autour de l'icône de la Toho se vautre dans les grandes largeurs, à force de ne pas assumer sa note d'intention.
Malheureusement, Godzilla II : Roi des monstres ne parvient pas à être même un agréable divertissement de destruction massive. La faute à son manque d'écriture, à tous les niveaux (enjeux, personnages, montage).
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est époustouflant et visuellement bluffant : le cahier des charges du divertissement en surcharge est rempli par les affrontements entre Godzilla, Mothra, Rodan et son ultime ennemi, le roi à trois têtes.
Le Figaro
Sans vouloir réinventer le genre, Godzilla II dépoussière avec splendeur ses nombreux codes. Et au passage, nous éblouit sans retenue.
Le Parisien
Si la première partie prend le temps d’installer les enjeux et les personnages – notamment les Titans, inspirés des films de monstres japonais, formidables adversaires de notre iguane géant -, la seconde est un déferlement d’effets spéciaux qui aboutit à des images incroyables de destruction.
Mad Movies
Que des images aussi grandioses surgissent en 2019 a de quoi rassurer quant à l'émerveillement que la machine hollywoodienne est encore capable de produire.
Ecran Large
Plus d'action, plus de monstres, plus de bruit mais aussi plus de vide dans l'intrigue, l'univers et les personnages : "Godzilla II" écrase tout sur l'autel du spectacle pour offrir un arc-en-ciel de destruction et bastons. De quoi offrir un spectacle plus simple et grand public, et donc beaucoup moins inspiré.
Femme Actuelle
C'est comme un punching ball : ça défoule.
La Voix du Nord
Les fans seront sans doute comblés. Les personnages n’ont guère d’épaisseur, la taille du scénario est inversement proportionnelle à celle des monstres, mais quel spectacle incroyable ! Près de 2 h 12 de destruction massive ! On regrette quand même l’onirisme visuel et mélancolique qui faisait le charme du précédent Godzilla.
Le Journal du Geek
Il a beau s'embrouiller dans son propos, Godzilla II : Roi des monstres se rattrape par son choc des titans qui nous offre l'adrénaline qui lui manquait auparavant
Les Fiches du Cinéma
Après un reboot US inabouti mais formidablement pictural, "Godzilla II" se frotte au “kaiju movie” dans ses excès : un scénario inutilement alambiqué pour de l’action impressionnante.
L'Ecran Fantastique
Entre deux scènes d'exposition interminables, les titans se battent enfin !
Critikat.com
Le fantasme mythologique du blockbuster Hollywoodien montre ici toutes ses limites, alors que le fracas des colères divines se retrouve réduit à une gesticulation de Pokémon géants.
Les Inrockuptibles
Boursouflé et malhonnête, le nouveau film autour de l'icône de la Toho se vautre dans les grandes largeurs, à force de ne pas assumer sa note d'intention.
Ouest France
Scénario indigent, réalisation brouillonne, personnages caricaturaux... l'apocalypse, le vrai, est à l'écran !
Positif
[...] bouillasse de pixels en guise de suite.
Première
Malheureusement, Godzilla II : Roi des monstres ne parvient pas à être même un agréable divertissement de destruction massive. La faute à son manque d'écriture, à tous les niveaux (enjeux, personnages, montage).