Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Mélanie Laurent joue à merveille des scènes nocturnes, de la route, des scènes de motel, en visitant une Amérique crépusculaire et en déroute, comme si elle en était partie prenante.
1988. Les temps sont durs pour Roy, petit gangster de la Nouvelle-Orléans. La maladie le ronge. Son boss lui tend un guetapens auquel il échappe de justesse. Une seule issue : la fuite, en compagnie de Rocky, une jeune prostituée. Deux êtres que la vie n’a pas épargnés. On aime.
Des comédiens convaincants, une mise en scène soignée et, au final, un honnête film noir. Dommage que l'on sorte de ce "Galveston", finalement assez désincarné, en ayant l'impression de l'avoir déjà vu mille fois.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Un récit mélancolique et vénéneux qui vaut pour ses personnages tourmentés, incarnés avec justesse par Ben Foster et Elle Fanning. De quoi oublier un scénario un peu trop balisé.
Mélanie Laurent signe un film noir au casting séduisant et au scénario très classique, que les efforts de mise en scène ne suffisent pas à sortir du lot.
Paradoxalement, Mélanie Laurent aurait profit à s’épargner les immodestes morceaux de bravoure qui la desservent et à croire davantage en la délicatesse de son brin de talent.
Elle Fanning émeut en biche blessée, outragée, courageuse malgré tout, accrochée à un semblant de joie. Mais c’est surtout Ben Foster, intense et subtil, qui hisse le film vers le meilleur. Juste après Leave no trace (à l’affiche), il confirme qu’il est l’un des acteurs américains du moment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mélanie Laurent prospecte dans les marécages du thriller américain sudiste, suivant à la lettre les conventions du genre, sans y apporter un regard féminin singulier qui aurait pu dégager une force supplémentaire en déboulonnant les codes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Un film impersonnel sans réelle direction artistique, comme si la majorité des séquences avaient été improvisées au fur et à mesure du tournage sans réflexion globale sur le sens à leur donner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Trop balisé et souvent complaisant, "Galveston" témoigne autant de la curiosité vivifiante de Mélanie Laurent que de son incompatibilité avec le récit approximatif de Nic Pizzolatto.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Si Roy Cody est un beau personnage dont la rédemption finit par émouvoir, il manque au film une véritable singularité pour s'extirper de la masse des polars ténébreux qui noircissent les écrans.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le résultat est embarrassant, entre poncifs du genre, dialogues explicatifs, violence caricaturale, mise en scène autosatisfaite et échappées poétiques sans étincelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Las, il manque surtout une boussole à cette histoire de cavale d’un gangster et d’une prostituée dans le Deep South américain. A la place, on tombe dans tous les panneaux du road-movie convenu, poussif dans les scènes d’action, primaire au point de ne jamais questionner le genre auquel il appartient.
Le Point
Le premier film américain de la réalisatrice française, adapté du livre de Nic Pizzolatto, est une bouleversante cavale dans le sud des États-Unis.
20 Minutes
Un thriller bouleversant.
CNews
[...] un road trip haletant.
Franceinfo Culture
Mélanie Laurent joue à merveille des scènes nocturnes, de la route, des scènes de motel, en visitant une Amérique crépusculaire et en déroute, comme si elle en était partie prenante.
Le Dauphiné Libéré
1988. Les temps sont durs pour Roy, petit gangster de la Nouvelle-Orléans. La maladie le ronge. Son boss lui tend un guetapens auquel il échappe de justesse. Une seule issue : la fuite, en compagnie de Rocky, une jeune prostituée. Deux êtres que la vie n’a pas épargnés. On aime.
Le Figaro
Dans des clairs-obscurs, des paysages de poussière, dans un Sud faulknérien, Mélanie Laurent filme cette cavale désespérée avec efficacité.
Le Parisien
Nerveux et émouvant.
Ouest France
Ben Foster et Elle Fanning sont aussi touchants que troublants.
Télé Loisirs
[...] un thriller noir et violent, sublimé par le duo Ben Foster et Elle Fanning.
L'Express
Des comédiens convaincants, une mise en scène soignée et, au final, un honnête film noir. Dommage que l'on sorte de ce "Galveston", finalement assez désincarné, en ayant l'impression de l'avoir déjà vu mille fois.
La Croix
Mélanie Laurent signe avec son premier film américain un polar de qualité mais sans originalité.
Le Journal du Dimanche
Un récit mélancolique et vénéneux qui vaut pour ses personnages tourmentés, incarnés avec justesse par Ben Foster et Elle Fanning. De quoi oublier un scénario un peu trop balisé.
Les Fiches du Cinéma
Mélanie Laurent signe un film noir au casting séduisant et au scénario très classique, que les efforts de mise en scène ne suffisent pas à sortir du lot.
Positif
Paradoxalement, Mélanie Laurent aurait profit à s’épargner les immodestes morceaux de bravoure qui la desservent et à croire davantage en la délicatesse de son brin de talent.
Première
Un beau polar romantique.
Télérama
Elle Fanning émeut en biche blessée, outragée, courageuse malgré tout, accrochée à un semblant de joie. Mais c’est surtout Ben Foster, intense et subtil, qui hisse le film vers le meilleur. Juste après Leave no trace (à l’affiche), il confirme qu’il est l’un des acteurs américains du moment.
Voici
Mélanie Laurent fait le job en respectant avec plaisir les codes balisés du film de genre, sans les dépasser.
aVoir-aLire.com
Mélanie Laurent prospecte dans les marécages du thriller américain sudiste, suivant à la lettre les conventions du genre, sans y apporter un regard féminin singulier qui aurait pu dégager une force supplémentaire en déboulonnant les codes.
Critikat.com
Un film impersonnel sans réelle direction artistique, comme si la majorité des séquences avaient été improvisées au fur et à mesure du tournage sans réflexion globale sur le sens à leur donner.
Ecran Large
Trop balisé et souvent complaisant, "Galveston" témoigne autant de la curiosité vivifiante de Mélanie Laurent que de son incompatibilité avec le récit approximatif de Nic Pizzolatto.
Libération
Les duos de misfits devraient nous toucher, mais ils flottent dans un bain de chromo plus qu’ils ne s’incarnent au gré de péripéties téléphonées.
Paris Match
Si Roy Cody est un beau personnage dont la rédemption finit par émouvoir, il manque au film une véritable singularité pour s'extirper de la masse des polars ténébreux qui noircissent les écrans.
Rolling Stone
A trop user d'effets de manche, Mélanie Laurent dépouille son scénario de son peu de solidité. Dommage.
L'Obs
Le résultat est embarrassant, entre poncifs du genre, dialogues explicatifs, violence caricaturale, mise en scène autosatisfaite et échappées poétiques sans étincelle.
Les Inrockuptibles
Las, il manque surtout une boussole à cette histoire de cavale d’un gangster et d’une prostituée dans le Deep South américain. A la place, on tombe dans tous les panneaux du road-movie convenu, poussif dans les scènes d’action, primaire au point de ne jamais questionner le genre auquel il appartient.