Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"J’arrête quand je veux" de Sydney Sibilia fait vraiment mouche en prouvant que la comédie italienne est toujours capable de faire éclater de rire tout en donnant à réfléchir sur les dérives d’une société malade.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
(Cela) fait de ce Smetto quando voglio, au-delà de la saine et pertinente tranche de rigolade qu'il nous offre, un objet cinématographique inattendu, augurant du meilleur pour la suite de la carrière de son réalisateur.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Hubert Lizé
On retrouve la trace des grandes heures de la satire sociale italienne, avec un zeste d'esprit trash à l'américaine, dans cette comédie acide et gentiment immorale portée par des acteurs talentueux et des gags assez poilants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean A. Gili
"J'arrête quand je veux" témoigne d'une grande fraîcheur stylistique, et le brio des acteurs réunis pour les besoins de l'entreprise ne compte pas peu dans la réussite de l'ensemble.
Public
par Florence Roman
Syndney Sibilla ressuscite l'esprit de la comédie italienne des années 70, avec cette satire d'une société en crise emmenée par une troupe à la verve communicative.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Vu le niveau d'humour et la qualité de l'interprétation, impossible de résister à cette bande de Pieds Nickelés italiens (...).
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Une comédie où le rire ne cache pas pour autant la réalité de la crise terrible que subissent des universitaires brillants en Italie. A inscrire dans la même veine qu’Ocean’s Eleven et The Big Bang Theory !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si "J'arrête quand je veux" demeure un film mineur, il n’en reste pas moins très original, dans la lignée d’un "Very Bad Trip", mais nettement plus mature par son message social, avec un esprit de comédie typiquement italien. Contemporain, divertissant et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Sans être déplaisante, la réalisation syncopée est un peu trop dans l'air du temps mais sert un humour porté par d'excellents interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Damien Leblanc
Sydney Sibilia vise un humour à la Tarantino et réussit une décapante satire sociétale. Mais sous le rythme effréné et les effets psychédéliques, les sept membres de la troupe ont du mal à acquérir du caractère et à susciter de l’attachement. Difficile de rivaliser sur ce terrain avec Walter White.
Critikat.com
par Marianne Fernandez
La comédie ne nous épargne aucun atome d’une formule bien carrée, censée recouvrir ses quelques bonnes et inventives idées sous le vernis de ce qui est convenable pour tous, partout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le jeune réalisateur Sydney Sibilia, (...), relève en partie le défi. (...) Mais sa bande-son assourdissante et ses couleurs criardes finissent par perdre le spectateur dans un univers psychédélique pas toujours de très bon goût.
Libération
par Gilles Renault
(...) le propos lorgne sans vergogne en direction de la série américaine "Breaking Bad" passé au filtre "Trainspotting".
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) un goût de la cocasserie hystérique dont l’absurdité est exacerbée par des dialogues relevés et un final joliment amoral.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Voici
par La rédaction
[...] cette comédie noire, plutôt maladroite, visant un rythme et un humour décalés à la Tarantino, vaut finalement plus pour son caractère de satire de la société italienne que pour son côté comédie farfelue.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une situation qui ne manque ni de pertinence sociologique ni de potentialités comiques, mais qui souffre d’une réalisation et d’une interprétation bien fades.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mais si le film fait mine d'égratigner le népotisme institutionnel, c'est surtout pour se vautrer dans une vulgarité crasse et contre-productive.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Sympathique, facile et impersonnel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
"J’arrête quand je veux" de Sydney Sibilia fait vraiment mouche en prouvant que la comédie italienne est toujours capable de faire éclater de rire tout en donnant à réfléchir sur les dérives d’une société malade.
Charlie Hebdo
(Cela) fait de ce Smetto quando voglio, au-delà de la saine et pertinente tranche de rigolade qu'il nous offre, un objet cinématographique inattendu, augurant du meilleur pour la suite de la carrière de son réalisateur.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Parisien
On retrouve la trace des grandes heures de la satire sociale italienne, avec un zeste d'esprit trash à l'américaine, dans cette comédie acide et gentiment immorale portée par des acteurs talentueux et des gags assez poilants.
Positif
"J'arrête quand je veux" témoigne d'une grande fraîcheur stylistique, et le brio des acteurs réunis pour les besoins de l'entreprise ne compte pas peu dans la réussite de l'ensemble.
Public
Syndney Sibilla ressuscite l'esprit de la comédie italienne des années 70, avec cette satire d'une société en crise emmenée par une troupe à la verve communicative.
Télé 7 Jours
Vu le niveau d'humour et la qualité de l'interprétation, impossible de résister à cette bande de Pieds Nickelés italiens (...).
aVoir-aLire.com
Une comédie où le rire ne cache pas pour autant la réalité de la crise terrible que subissent des universitaires brillants en Italie. A inscrire dans la même veine qu’Ocean’s Eleven et The Big Bang Theory !
Franceinfo Culture
Si "J'arrête quand je veux" demeure un film mineur, il n’en reste pas moins très original, dans la lignée d’un "Very Bad Trip", mais nettement plus mature par son message social, avec un esprit de comédie typiquement italien. Contemporain, divertissant et drôle.
Les Fiches du Cinéma
Sans être déplaisante, la réalisation syncopée est un peu trop dans l'air du temps mais sert un humour porté par d'excellents interprètes.
Première
Sydney Sibilia vise un humour à la Tarantino et réussit une décapante satire sociétale. Mais sous le rythme effréné et les effets psychédéliques, les sept membres de la troupe ont du mal à acquérir du caractère et à susciter de l’attachement. Difficile de rivaliser sur ce terrain avec Walter White.
Critikat.com
La comédie ne nous épargne aucun atome d’une formule bien carrée, censée recouvrir ses quelques bonnes et inventives idées sous le vernis de ce qui est convenable pour tous, partout.
Le Journal du Dimanche
Le jeune réalisateur Sydney Sibilia, (...), relève en partie le défi. (...) Mais sa bande-son assourdissante et ses couleurs criardes finissent par perdre le spectateur dans un univers psychédélique pas toujours de très bon goût.
Libération
(...) le propos lorgne sans vergogne en direction de la série américaine "Breaking Bad" passé au filtre "Trainspotting".
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
(...) un goût de la cocasserie hystérique dont l’absurdité est exacerbée par des dialogues relevés et un final joliment amoral.
Voici
[...] cette comédie noire, plutôt maladroite, visant un rythme et un humour décalés à la Tarantino, vaut finalement plus pour son caractère de satire de la société italienne que pour son côté comédie farfelue.
Le Dauphiné Libéré
Une situation qui ne manque ni de pertinence sociologique ni de potentialités comiques, mais qui souffre d’une réalisation et d’une interprétation bien fades.
Le Monde
Mais si le film fait mine d'égratigner le népotisme institutionnel, c'est surtout pour se vautrer dans une vulgarité crasse et contre-productive.
Télérama
Sympathique, facile et impersonnel.