Note moyenne
2,9
13 titres de presse
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Le Figaroscope
L'Irlandais Stephen Bradley retrace l'histoire vraie de sa compatriote Christina Noble, gamine des quartiers déshérités de Dublin devenue militante pour les droits de l'enfant après sa rencontre avec deux petites orphelines au Vietnam. Un destin exceptionnel.
Paris Match
Ni longueur ni pathos outrageant ne viennent entacher l’affaire, même s’il faut sortir le mouchoir une ou deux fois. Il va cependant falloir inciter les spectateurs français à se déplacer dans les salles pour découvrir le destin de cette femme qu’ils ne connaissent pas.
Télé 7 Jours
Inspiré d'une histoire vraie, ce parcours exemplaire, sobrement mis en scène, évite les pièges du pathos pour se concentrer sur le destin hors du commun de son héroine, formidablement interprétée par Deirdre O'Kane. Issue de la télé, elle apporte à son personnage de femme d'exception une belle intensité dramatique.
L'Express
Une formidable leçon de courage et de générosité, tour à tour minée par des flash-back au misérabilisme appuyé et ravigotée par l'abattage de Deirdre O'Kane, humoriste à la ville, impeccable dans le rôle principal.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic plein de bons sentiments, parfois un peu complaisant, mais plutôt bien mené, en faisant alterner le passé et le présent.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic plein de bons sentiments, parfois un peu complaisant, mais plutôt bien mené, en faisant alterner le passé et le présent.
Le Journal du Dimanche
S'il ne brille pas par sa mise en scène un peu figée, le réalisateur Stephen Bradley jongle avec les flash-back dans ce biopic porté par des actrices généreuses et qui évite habilement le pathos.
Télé 2 semaines
Un mélo émouvant tiré d'une histoire vraie.
Télérama
Cet honnête biopic échappe à l'académisme grâce à sa construction en flash-back : les deux époques (la jeunesse de l'héroïne dans les quartiers pauvres de Dublin et son séjour au Vietnam à la fin des années 1980) se complètent harmonieusement.
Le Monde
Ce film biographique, aussi édifiant que dégoulinant de bons sentiments, relève d'une conception simplificatrice et illustrative d'un cinéma "pour la bonne cause", et fonctionne avant tout comme un prospectus.
Positif
Depuis les quartiers de misère dublinois jusqu'aux dédales du tourisme sexuel sous le soleil, avec de bonnes intentions, la mise en scène martelée vise les frissons d'horreur comme les élans du coeur jusqu'à l'épuisement.
aVoir-aLire.com
Mélodrame pénible, le long-métrage accumule les clichés. Ellipses incongrues, bande-sonore théâtrale, scènes larmoyantes, dialogues oiseux... Le cinéaste s’apitoie davantage sur Christina Noble qu’elle ne semble le faire elle-même.
Studio Ciné Live
On le sait, de belles intentions ne suffisent pas à faire un beau film. Surtout quand on confond, comme ici, sensibilité et sensiblerie, en ajoutant un côté larmoyant à un destin suffisamment unique pour s'en passer allègrement.