Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
La grande beauté de cette figure d’avocat tient précisément à cette absence totale d’épanchements, à la pudeur très fordienne que lui inspire le costume de sa fonction: ce refus des affects devient paradoxalement la preuve de son humanité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un grand Spielberg humain et sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
"Le Pont des espions", chef-d’œuvre tranquille, prouve une fois de plus que Spielberg est aujourd’hui un vieux maître au sommet de son art, un cinéaste mature qui n’a pourtant rien perdu de son regard d’enfant ébahi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Laurent Pécha
Un vrai film à l’ancienne qui nous plonge dans une période trouble et charnière du 20ème siècle sans jamais oublier le signifiant sur notre époque actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Gala
par Jean-Christian Hay
On n’est pas loin du chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Positif
par Grégory Valens
En vrai cinéaste classique, Spielberg a offert à notre vue trois films en un. En vrai cinéaste moderne, il a aussi inclus dans son dispositif le commentaire de ces trois films.
Transfuge
par Maud Antigna
Une histoire vraie servie par une très belle photo et un casting de rêve.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Une histoire vraie prenante de bout en bout qui trouve son climax, comme tout film d’espionnage qui se respecte, sur un pont de la ville. Du boulot d’orfèvre(s).
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Passionnante, pleine de rebondissements, cette plongée, à hauteur d'homme, dans les coulisses de l'Histoire, captive de bout en bout. La perfection de la reconstitution d'époque s'accompagne d'une interprétation en mode majeur, d'une bonne dose d'humour toujours teintée d'émotion (...)
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans le cinéma américain, Steven Spielberg et Tom Hanks incarnent désormais la tradition. Ils s'en accommodent très bien, à en juger ce film d'une sobre élégance, favorisée par une atmosphère rétro années 1950, et d'une facture aussi classique que magistrale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par La Rédaction
Ce suspense haletant brillamment mis en scène retrouve l’atmosphère pesante des grands films noirs.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Quel curieux édifice ! (…) Le film vaut davantage par ses fêlures que par ses moulures ; en réponse à l’art de la guerre, il déploie ainsi un véritable art de la brèche.
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Un thriller politique et film d'espionnage efficace, haletant et sans temps mort.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Spielberg fait vibrer avec élégance sa fibre patriotique. Un film fort, sobre, élégant, mais parfois à la limite du conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
(...) un film teinté d'un humanisme amer (le beau personnage de l'espion russe) : l'ambiguité de l'Histoire même.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan et Ghislain Benhessa
En racontant avec une clarté exemplaire une histoire à priori complexe, en s’attachant aux péripéties d’un individu ordinaire pris dans la nasse de l’histoire, Spielberg réalise un film populaire au sens le plus noble, à la fois fédérateur et puissamment symbolique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La virtuosité de la mise en scène de Spielberg et un grand rôle pour Tom Hanks.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Classique et ultra efficace.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Steven Spielberg signe un chant d'amour virtuose au cinéma classique américain, sur fond de négociations géopolitiques.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
(...) le cinéaste ne peut s’empêcher de faire un faux pas dans les toutes dernières minutes : par un plan au mieux naïf sinon stupide, il absout in fine l’Amérique, comme s’il voulait, dans un geste œcuménique, reconquérir la frange la plus conservatrice du public. La faute ne remet cependant pas en cause la beauté du film, ni la pertinence politique de ce qui la précède.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jérôme Vermelin
[POUR] De ce pan méconnu de la Guerre Froide, Steven Spielberg tire un long-métrage original, du moins sur le fond, qui mélange espionnage et satire politique avec l'envie manifeste de tendre un miroir à l'Amérique actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
On se laise pourtant embarquer dans cette aventure bien enlacée dans ses énigmes et rebondissements.
Première
par François Grelet
Passé au tamis de la lisibilité spielbergienne, ce récit ultracomplexe, peuplé d’agents doubles et échafaudé par la plume virtuose des Coen, devient une épopée humaniste qui sacrifie tous les codes du film d’espionnage pour mieux faire résonner sa petite musique sensible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Tom Hanks magistral dans un Spielberg maîtrisé sur les coulisses de la Guerre Froide.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Outre la mécanique à la fois élaborée et limpide du scénario - à laquelle les frères Coen ont apporté leur touche, « leur poudre magique », dixit Tom Hanks -, ce qui visiblement intéresse Spielberg se trouve là, dans cette amitié à peine exprimée entre deux hommes de cultures opposées qui sont pourtant de la même étoffe.
TF1 News
par Romain Le Vern
Hollywood a perdu l'habitude de produire un cinéma aussi ambitieux. Du directeur de la photo aux interprètes en passant par Spielberg qui se livre comme jamais et ce dès le plan inaugural, tous ont donné leur meilleur. Le bémol, c'est que si la partition est nickel, elle manque un peu de spontanéité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La rédaction
Old school, sobre, intelligent, élégant, avec un casting impeccable, un brin de suspense et un humour chaleureux.
CNews
par La Rédaction
Académique dans sa mise en scène, le thriller historique "Le Pont des espions" montre comment le destin va révéler un homme de génie.
La Croix
par Arnaud Schwartz
D’une facture très classique, ce nouveau film se regarde sans déplaisir, mais aussi sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron
"Le Pont des espions" reprend avec talent la figure de l’homme intègre et énigmatique, au prix d’une relecture ultraclassique de la guerre froide, clichés compris.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Alexandre Gefen
Triste paradoxe de ce film : capable de mettre en scène avec brio l'altérité fantasmatique la plus radicale, Spielberg peine une fois de plus à figurer l'Histoire européenne dans ses cruautés bien réelles.
VSD
par Olivier Bousquet
Spielberg sait raconter une histoire. Mais pour l’émotion, on repassera.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Après une scène d’ouverture remarquable, Steven Spielberg oscille entre le film d’espionnage sérieux et le divertissement popcorn, dans un long-métrage propre sur lui qui devrait plaire à l’Académie des Oscars.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par La Rédaction
Mais le film, très dialogué, hésite entre les moments de poésie (la nuit, les rues, le pont), les explications, l’aventure et le didactisme, et cherche son rythme. C’est long, trop.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Pas davantage de palpitations à attendre d’un casting auto-satisfait dominé par Tom Hanks, époux irréprochable et père de famille idéal, archétype momifié de ce cinéma moribond.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Metro
par Jérôme Vermelin
[CONTRE] A la croisée des chemins, "Le Pont des Espions" est trop classique dans la forme pour réellement passionner. Comme si l'envie de "faire crédible" avait tué dans l'œuf les petits morceaux de bravoure qui font les chefs-d’œuvre, même inégaux.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Chronic'art.com
La grande beauté de cette figure d’avocat tient précisément à cette absence totale d’épanchements, à la pudeur très fordienne que lui inspire le costume de sa fonction: ce refus des affects devient paradoxalement la preuve de son humanité.
CinemaTeaser
Un grand Spielberg humain et sophistiqué.
Critikat.com
"Le Pont des espions", chef-d’œuvre tranquille, prouve une fois de plus que Spielberg est aujourd’hui un vieux maître au sommet de son art, un cinéaste mature qui n’a pourtant rien perdu de son regard d’enfant ébahi.
Ecran Large
Un vrai film à l’ancienne qui nous plonge dans une période trouble et charnière du 20ème siècle sans jamais oublier le signifiant sur notre époque actuelle.
Gala
On n’est pas loin du chef-d’œuvre.
Positif
En vrai cinéaste classique, Spielberg a offert à notre vue trois films en un. En vrai cinéaste moderne, il a aussi inclus dans son dispositif le commentaire de ces trois films.
Transfuge
Une histoire vraie servie par une très belle photo et un casting de rêve.
Télé 2 semaines
Une histoire vraie prenante de bout en bout qui trouve son climax, comme tout film d’espionnage qui se respecte, sur un pont de la ville. Du boulot d’orfèvre(s).
Télé 7 Jours
Passionnante, pleine de rebondissements, cette plongée, à hauteur d'homme, dans les coulisses de l'Histoire, captive de bout en bout. La perfection de la reconstitution d'époque s'accompagne d'une interprétation en mode majeur, d'une bonne dose d'humour toujours teintée d'émotion (...)
Télérama
Dans le cinéma américain, Steven Spielberg et Tom Hanks incarnent désormais la tradition. Ils s'en accommodent très bien, à en juger ce film d'une sobre élégance, favorisée par une atmosphère rétro années 1950, et d'une facture aussi classique que magistrale.
20 Minutes
Ce suspense haletant brillamment mis en scène retrouve l’atmosphère pesante des grands films noirs.
Cahiers du Cinéma
Quel curieux édifice ! (…) Le film vaut davantage par ses fêlures que par ses moulures ; en réponse à l’art de la guerre, il déploie ainsi un véritable art de la brèche.
Femme Actuelle
Un thriller politique et film d'espionnage efficace, haletant et sans temps mort.
Franceinfo Culture
Spielberg fait vibrer avec élégance sa fibre patriotique. Un film fort, sobre, élégant, mais parfois à la limite du conventionnel.
GQ
(...) un film teinté d'un humanisme amer (le beau personnage de l'espion russe) : l'ambiguité de l'Histoire même.
La Septième Obsession
En racontant avec une clarté exemplaire une histoire à priori complexe, en s’attachant aux péripéties d’un individu ordinaire pris dans la nasse de l’histoire, Spielberg réalise un film populaire au sens le plus noble, à la fois fédérateur et puissamment symbolique.
Le Dauphiné Libéré
La virtuosité de la mise en scène de Spielberg et un grand rôle pour Tom Hanks.
Le Journal du Dimanche
Classique et ultra efficace.
Le Monde
Steven Spielberg signe un chant d'amour virtuose au cinéma classique américain, sur fond de négociations géopolitiques.
Les Inrockuptibles
(...) le cinéaste ne peut s’empêcher de faire un faux pas dans les toutes dernières minutes : par un plan au mieux naïf sinon stupide, il absout in fine l’Amérique, comme s’il voulait, dans un geste œcuménique, reconquérir la frange la plus conservatrice du public. La faute ne remet cependant pas en cause la beauté du film, ni la pertinence politique de ce qui la précède.
Metro
[POUR] De ce pan méconnu de la Guerre Froide, Steven Spielberg tire un long-métrage original, du moins sur le fond, qui mélange espionnage et satire politique avec l'envie manifeste de tendre un miroir à l'Amérique actuelle.
Ouest France
On se laise pourtant embarquer dans cette aventure bien enlacée dans ses énigmes et rebondissements.
Première
Passé au tamis de la lisibilité spielbergienne, ce récit ultracomplexe, peuplé d’agents doubles et échafaudé par la plume virtuose des Coen, devient une épopée humaniste qui sacrifie tous les codes du film d’espionnage pour mieux faire résonner sa petite musique sensible.
Studio Ciné Live
Tom Hanks magistral dans un Spielberg maîtrisé sur les coulisses de la Guerre Froide.
Sud Ouest
Outre la mécanique à la fois élaborée et limpide du scénario - à laquelle les frères Coen ont apporté leur touche, « leur poudre magique », dixit Tom Hanks -, ce qui visiblement intéresse Spielberg se trouve là, dans cette amitié à peine exprimée entre deux hommes de cultures opposées qui sont pourtant de la même étoffe.
TF1 News
Hollywood a perdu l'habitude de produire un cinéma aussi ambitieux. Du directeur de la photo aux interprètes en passant par Spielberg qui se livre comme jamais et ce dès le plan inaugural, tous ont donné leur meilleur. Le bémol, c'est que si la partition est nickel, elle manque un peu de spontanéité.
Voici
Old school, sobre, intelligent, élégant, avec un casting impeccable, un brin de suspense et un humour chaleureux.
CNews
Académique dans sa mise en scène, le thriller historique "Le Pont des espions" montre comment le destin va révéler un homme de génie.
La Croix
D’une facture très classique, ce nouveau film se regarde sans déplaisir, mais aussi sans surprise.
Libération
"Le Pont des espions" reprend avec talent la figure de l’homme intègre et énigmatique, au prix d’une relecture ultraclassique de la guerre froide, clichés compris.
Marianne
Triste paradoxe de ce film : capable de mettre en scène avec brio l'altérité fantasmatique la plus radicale, Spielberg peine une fois de plus à figurer l'Histoire européenne dans ses cruautés bien réelles.
VSD
Spielberg sait raconter une histoire. Mais pour l’émotion, on repassera.
aVoir-aLire.com
Après une scène d’ouverture remarquable, Steven Spielberg oscille entre le film d’espionnage sérieux et le divertissement popcorn, dans un long-métrage propre sur lui qui devrait plaire à l’Académie des Oscars.
L'Obs
Mais le film, très dialogué, hésite entre les moments de poésie (la nuit, les rues, le pont), les explications, l’aventure et le didactisme, et cherche son rythme. C’est long, trop.
La Voix du Nord
Pas davantage de palpitations à attendre d’un casting auto-satisfait dominé par Tom Hanks, époux irréprochable et père de famille idéal, archétype momifié de ce cinéma moribond.
Metro
[CONTRE] A la croisée des chemins, "Le Pont des Espions" est trop classique dans la forme pour réellement passionner. Comme si l'envie de "faire crédible" avait tué dans l'œuf les petits morceaux de bravoure qui font les chefs-d’œuvre, même inégaux.