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Ce premier film de la réalisatrice July Jung (...) décrit, avec un grand sens du détail et un savoir-faire très sûr dans la montée des émotions, le complexe jeu d’emprise entre des personnages déboussolés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'intolérance, l'alcoolisme, la violence, l'homosexualité (un sujet quasiment inédit dans le cinéma coréen) sont au menu épicé de ce premier film prometteur qui oscille entre l'introversion et l'hystérie pour dessiner les portraits insolites d'une Jean Valjean flic et d'une Cosette pas causante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
"A Girl at My Door" fait preuve d'une grande maîtrise : la narration, bien contrôlée, dévoile peu à peu la profondeur des relations entre les personnages. La mise en scène sait donner le relief nécessaire à tous les éléments (...).
Voilà sans doute le polar le plus singulier qu’on puisse voir actuellement, film noir et lumineux à la fois où l’homosexualité féminine, les préjugés de la société sud-coréenne, la solitude de chacun, mais aussi la cruauté des rapports familiaux et l’innocence bafouée sont autant de lignes de force traitées avec une grande délicatesse.
(...) un premier long-métrage de haute volée grâce à un scénario riche, des acteurs talentueux interprétant avec finesse des rôles complexes et une mise en scène habile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Au-delà du portrait à charge et un brin caricatural qui est fait de l’entourage proche de Dohee (...), ce qui fait tout le sel de "A Girl at My Door" est le caractère insaisissable des deux personnages principaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On applaudit lorsque le premier film d'une jeune réalisatrice donne vie à d'aussi beaux personnages et aborde avec une telle intelligence des thèmes délicats.
July Jung livre une histoire profonde, aux rebondissements éprouvants (...) la mise en scène n'est pas toujours à la hauteur du propos, s'attardant un peu trop longuement sur des moments de transition.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L’intelligence de la mise en scène réside dans ce dosage ; July Jung maintient un climat de normalité parallèlement à la montée de l’horreur dont l’adolescente est la proie.
(...) un film coréen soutenu par deux actrices épatantes et courageux dans sa volonté d'aborder l'homosexualité, tabou au pays du Matin Calme. Mais cette témérité, incontestable, ne masque pas l'impression contradictoire et tenace de regarder un film policier assez banal dans ses enjeux (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Ce premier film, réalisé par une protégée de Lee Chang-dong (Poetry), démarre bien. (...) La suite est plus convenue (...) mais la réalisatrice sait passer avec aisance de la violence à une grande délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
July Jung ne révèle qu’un talent naturaliste bien trop peu affirmé pour sortir A Girl at My Door de l’ornière des premiers longs métrages polis et sans éclat.
Malgré l'attachement qu'on peut éprouver pour les personnages (...), les situations de ce film, très lent, sont bien trop cousues de fil blanc pour qu'on y croie vraiment. Dommage.
Charlie Hebdo
Au-delà du drame intimiste, on peut donc aussi voir dans "A Girl At My Door" un portrait subtil mais peu aimable d'une Corée du Sud rurale (...).
Le Dauphiné Libéré
Une plongée intense et pénétrante dans la Corée profonde.
Le Journal du Dimanche
(...) ce premier film accroche par ses personnages inquiétants et poisseux (...).
Libération
Ce premier film de la réalisatrice July Jung (...) décrit, avec un grand sens du détail et un savoir-faire très sûr dans la montée des émotions, le complexe jeu d’emprise entre des personnages déboussolés.
Paris Match
L'intolérance, l'alcoolisme, la violence, l'homosexualité (un sujet quasiment inédit dans le cinéma coréen) sont au menu épicé de ce premier film prometteur qui oscille entre l'introversion et l'hystérie pour dessiner les portraits insolites d'une Jean Valjean flic et d'une Cosette pas causante.
Positif
"A Girl at My Door" fait preuve d'une grande maîtrise : la narration, bien contrôlée, dévoile peu à peu la profondeur des relations entre les personnages. La mise en scène sait donner le relief nécessaire à tous les éléments (...).
Sud Ouest
Voilà sans doute le polar le plus singulier qu’on puisse voir actuellement, film noir et lumineux à la fois où l’homosexualité féminine, les préjugés de la société sud-coréenne, la solitude de chacun, mais aussi la cruauté des rapports familiaux et l’innocence bafouée sont autant de lignes de force traitées avec une grande délicatesse.
aVoir-aLire.com
(...) un premier long-métrage de haute volée grâce à un scénario riche, des acteurs talentueux interprétant avec finesse des rôles complexes et une mise en scène habile.
20 Minutes
Pour son premier long-métrage, la Coréenne July Jung fait montre d'une belle nature de cinéaste.
Critikat.com
Au-delà du portrait à charge et un brin caricatural qui est fait de l’entourage proche de Dohee (...), ce qui fait tout le sel de "A Girl at My Door" est le caractère insaisissable des deux personnages principaux.
Elle
On applaudit lorsque le premier film d'une jeune réalisatrice donne vie à d'aussi beaux personnages et aborde avec une telle intelligence des thèmes délicats.
La Croix
July Jung livre une histoire profonde, aux rebondissements éprouvants (...) la mise en scène n'est pas toujours à la hauteur du propos, s'attardant un peu trop longuement sur des moments de transition.
Le Monde
(...) si le trait manque parfois de nuances, la mise en scène est assez réussie. Les acteurs sont tellement formidables (...)
Les Fiches du Cinéma
Un film puissant et délicat, foisonnant de pistes.
Les Inrockuptibles
L’intelligence de la mise en scène réside dans ce dosage ; July Jung maintient un climat de normalité parallèlement à la montée de l’horreur dont l’adolescente est la proie.
Première
Ambitieux mais inabouti, le film se perd parfois en route, changeant de cap, de ton, et il dérange quand les salauds désignés sont punis.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
(...) un film coréen soutenu par deux actrices épatantes et courageux dans sa volonté d'aborder l'homosexualité, tabou au pays du Matin Calme. Mais cette témérité, incontestable, ne masque pas l'impression contradictoire et tenace de regarder un film policier assez banal dans ses enjeux (...).
Télérama
Ce premier film, réalisé par une protégée de Lee Chang-dong (Poetry), démarre bien. (...) La suite est plus convenue (...) mais la réalisatrice sait passer avec aisance de la violence à une grande délicatesse.
Cahiers du Cinéma
July Jung ne révèle qu’un talent naturaliste bien trop peu affirmé pour sortir A Girl at My Door de l’ornière des premiers longs métrages polis et sans éclat.
Le Parisien
Malgré l'attachement qu'on peut éprouver pour les personnages (...), les situations de ce film, très lent, sont bien trop cousues de fil blanc pour qu'on y croie vraiment. Dommage.