Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Au Liberia, Miguel Leon, médecin humanitaire, et Wren Petersen, directrice d'une ONG, tombent amoureux. Mais ils devront surmonter leurs clivages sur la gestion des conflits qui ravagent le pays. Pas mal.
20 Minutes
par Caroline Vié
La pire faute de goût demeure cependant de placer sur un pied d’égalité les tromperies d’un couple de toubibs bien coiffés et un conflit sanglant dont les protagonistes ne s’incarnent jamais vraiment à l’écran. Tout cela souligné et surligné par une partition en mode archi pompier signée Hans Zimmer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Peut-être le plus mauvais film du monde.
L'Express
par Christophe Carrière
Une love story affligeante de naïveté et d'indigence. Si ce n'était pas du premier degré, ce serait à hurler de rire.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce mélodrame sur fond d’intervention humanitaire est une succession de clichés désolants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un monument d’indécence.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un casting haut de gamme, un réalisateur dont on connaît l’engagement, un sujet fort, et un ratage à la hauteur du projet, dans un film pathos passablement douteux.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Sean Penn commet ici une faute politique. S’il n’hésite pas à nous faire partager l’horreur, il plombe son film avec une voix off qui compare l’amour aux souffrances de l’Afrique avec une mièvrerie et une indécence qui frisent le ridicule.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ce pourrait n’être qu’une croûte boursouflée de plus, mais c’est bien pire : le cri hystérique d’une superstar en plein ego trip, qui instrumentalise la violence affolante de deux des pires conflits qui ont ravagé l’Afrique ces dernières années, pour en faire un spectacle gore, suintant de sentiments en toc.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ça sent la BA humanitaire pondue par une scénariste huppée dans le confort de sa villa cossue de Beverley Hills. Pour ne rien arranger, c'est Sean Penn qui est aux manettes : le réalisateur abuse de la parabole sur le conflit amoureux et la guerre en Afrique jusqu'à l'indécence.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un mélo navrant sur une sujet d’actualité passionnant.
Paris Match
par Alain Spira
Très maladroit, mais pas honteux, ce film a le tort de vouloir mêler deux univers incompatibles, la photo de guerre et le photo-roman. Et c'est le mielleux qui l'emporte...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Sean Penn semble contempler de haut ce monde ensanglanté. Comme s'il s'était perdu au point de renier ce qui le définit intimement. Un gâchis monumental.
Télérama
par Pierre Murat
Ralentis, zooms, effets musicaux incongrus, tout est si obstinément ridicule que le message humaniste se dissout dans le grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
un capharnaüm scénaristique hallucinant dans lequel Penn mélange ravages de la guerre (membres arrachés, geysers de sang, césarienne en gros plan) et ceux de l’amour (et je crie, et je pleure, et je t’aime).
Voici
par Jérôme Saunier
Le film, dont la meilleure scène délivre un message d'une naïveté confondante, s'achève avec Madame Dior qui, après avoir passé tout le film à leur caresser la tête comme à des lapins, explique en sanglotant que les réfugiés africains sont de vrais êtres humains...
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
"The Last Face" touche du doigt ce que le cinéma peut produire de plus répugnant et inacceptable. La vision normative de Sean Penn, pratiquement suprématiste, en dit long sur l’ignorance et l’arrogance du tout Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
Au Liberia, Miguel Leon, médecin humanitaire, et Wren Petersen, directrice d'une ONG, tombent amoureux. Mais ils devront surmonter leurs clivages sur la gestion des conflits qui ravagent le pays. Pas mal.
20 Minutes
La pire faute de goût demeure cependant de placer sur un pied d’égalité les tromperies d’un couple de toubibs bien coiffés et un conflit sanglant dont les protagonistes ne s’incarnent jamais vraiment à l’écran. Tout cela souligné et surligné par une partition en mode archi pompier signée Hans Zimmer.
Cahiers du Cinéma
Peut-être le plus mauvais film du monde.
L'Express
Une love story affligeante de naïveté et d'indigence. Si ce n'était pas du premier degré, ce serait à hurler de rire.
La Croix
Ce mélodrame sur fond d’intervention humanitaire est une succession de clichés désolants.
La Voix du Nord
Un monument d’indécence.
Le Dauphiné Libéré
Un casting haut de gamme, un réalisateur dont on connaît l’engagement, un sujet fort, et un ratage à la hauteur du projet, dans un film pathos passablement douteux.
Le Journal du Dimanche
Sean Penn commet ici une faute politique. S’il n’hésite pas à nous faire partager l’horreur, il plombe son film avec une voix off qui compare l’amour aux souffrances de l’Afrique avec une mièvrerie et une indécence qui frisent le ridicule.
Le Monde
Ce pourrait n’être qu’une croûte boursouflée de plus, mais c’est bien pire : le cri hystérique d’une superstar en plein ego trip, qui instrumentalise la violence affolante de deux des pires conflits qui ont ravagé l’Afrique ces dernières années, pour en faire un spectacle gore, suintant de sentiments en toc.
Le Parisien
Ça sent la BA humanitaire pondue par une scénariste huppée dans le confort de sa villa cossue de Beverley Hills. Pour ne rien arranger, c'est Sean Penn qui est aux manettes : le réalisateur abuse de la parabole sur le conflit amoureux et la guerre en Afrique jusqu'à l'indécence.
Les Fiches du Cinéma
Un mélo navrant sur une sujet d’actualité passionnant.
Paris Match
Très maladroit, mais pas honteux, ce film a le tort de vouloir mêler deux univers incompatibles, la photo de guerre et le photo-roman. Et c'est le mielleux qui l'emporte...
Studio Ciné Live
Sean Penn semble contempler de haut ce monde ensanglanté. Comme s'il s'était perdu au point de renier ce qui le définit intimement. Un gâchis monumental.
Télérama
Ralentis, zooms, effets musicaux incongrus, tout est si obstinément ridicule que le message humaniste se dissout dans le grotesque.
VSD
un capharnaüm scénaristique hallucinant dans lequel Penn mélange ravages de la guerre (membres arrachés, geysers de sang, césarienne en gros plan) et ceux de l’amour (et je crie, et je pleure, et je t’aime).
Voici
Le film, dont la meilleure scène délivre un message d'une naïveté confondante, s'achève avec Madame Dior qui, après avoir passé tout le film à leur caresser la tête comme à des lapins, explique en sanglotant que les réfugiés africains sont de vrais êtres humains...
aVoir-aLire.com
"The Last Face" touche du doigt ce que le cinéma peut produire de plus répugnant et inacceptable. La vision normative de Sean Penn, pratiquement suprématiste, en dit long sur l’ignorance et l’arrogance du tout Hollywood.