Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Marianne
par Danièle Heymann
Le film réussit un prodige : allier l'ampleur d'une fresque et l'épure de l'intime.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cinéaste livre un message généreux et humaniste porté par des comédiens bouleversants (Ariane Ascaride, Grégoire Leprince-Ringuet).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Josué Morel
Le cinéaste ne fait qu’effleurer ces questions passionnantes mais retranchées derrière l’impératif de mémoire, qui privilégie à la rigueur du regard et du détail des faits le partage d’une émotion commune ici bien trop forcée pour faire mouche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un drame poignant.
Franceinfo Culture
par Boris Courret
En refusant la fresque historique, Guédiguian dépasse lui aussi sa propre histoire pour la rendre sensible à tous.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par La Rédaction
Cela ne va pas sans quelques hoquets et temps faibles, mais le fleuve coule avec une force telle qu’il les emporte, charriant quantité d’informations, de notations, de sensations qui font le prix de ce cinéma offert en partage à tout spectateur de bonne volonté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet lourd, un film porté par l’espoir.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cet examen exigeant et instructif n’est pas tant celui du premier génocide du XXe siècle, dont on ne voit rien, que celui de ses incalculables conséquences, incarnées par des acteurs vibrants.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Une histoire de fou", tendu du début à la fin par la souffrance provoquée par le génocide des Arméniens, n’est pas non plus une leçon d’histoire, mais plutôt une discussion passionnée, passionnante souvent, sur le souvenir et la vengeance, la justice et le pardon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Certes, Guédiguian, dans sa manière, se montre parfois un peu didactique. Mais, grâce à ses acteurs, grâce à cet art qu’il possède de décrire des gens modestes sans surplomb, sans cynisme, sans second degré, il réussit indirectement à nous passionner pour l’histoire de la lutte des Arméniens pour la reconnaissance de leur génocide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Fornerod
Robert Guédiguian s'intéresse à la cause arménienne dans un drame qu'il traite avec conviction et passion. Mais en longueur aussi.
Paris Match
par Christine Haas
Le résultat est forcément un peu explicatif, mais sonne juste et universel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
VSD
par Bernard Achour
Une fresque tragique où l’indignation, le suspense, la violence et l’humanisme cohabitent avec une puissance d’expression cinématographique qu’on ne lui connaissait pas.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Nonobstant les bons sentiments, la réflexion noble sur l’incapacité collective d’effectuer le travail de mémoire et les actes conséquents rendent la démarche juste et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Si une à une les scènes n’ont guère d’ampleur, le film en a certainement.
Metro
par Mehdi Omaïs
(...) Robert Guédiguian évoque – avec un didactisme parfois encombrant – les plaies ruisselantes d’une passionnante galerie de personnages.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Pierre Eisenreich
Le didactisme apparaît aussi forcé de temps à autre, mais le superbe prologue prouve que Guédiguian a tous les atouts pour se lancer dans un grand film historique dont on entreverrait ici toute la complexité et la richesse.
Première
par Eric Vernay
Le réalisateur s’acquitte d’un devoir de mémoire envers ses propres origines arméniennes. Ce qui donne un film appliqué, conscient de son rôle. Mais au lieu d’annihiler totalement son souffle romanesque, cet aspect pédagogique le nourrit, en s’intégrant organiquement à son récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Hyper documenté, conjuguant habilement le romanesque à l'Histoire, le film n'en demeure pas moins quelque peu didactique dans sa dénonciation des excès de la lutte armée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
De Marseille à Beyrouth, le film reste aussi sobre que lyrique. Pour preuve, cette séquence sans paroles — la plus émouvante du film — dévoilant un père meurtri, dansant fièrement, chez lui, tout seul.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Gala
par Juliette Serfati
Retracer cent ans d’histoire du peuple arménien et tenter, de surcroît, de montrer sa dimension universelle: le projet était audacieux. Mais le film pèche par excès d’émotion et, sans doute, de bonne volonté.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sa caméra lestée de plomb, l’auteur – que l’on aime pourtant tant célébrer – s’embarque dans un récit caricatural davantage voué à la dialectique qu’au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Robert Guédiguian s'interroge ici, de façon un peu trop scolaire, sur le sens de la lutte et les regrets qui, éventuellement, l'accompagnent.
Marianne
Le film réussit un prodige : allier l'ampleur d'une fresque et l'épure de l'intime.
20 Minutes
Le cinéaste livre un message généreux et humaniste porté par des comédiens bouleversants (Ariane Ascaride, Grégoire Leprince-Ringuet).
Critikat.com
Le cinéaste ne fait qu’effleurer ces questions passionnantes mais retranchées derrière l’impératif de mémoire, qui privilégie à la rigueur du regard et du détail des faits le partage d’une émotion commune ici bien trop forcée pour faire mouche.
Femme Actuelle
Un drame poignant.
Franceinfo Culture
En refusant la fresque historique, Guédiguian dépasse lui aussi sa propre histoire pour la rendre sensible à tous.
L'Obs
Cela ne va pas sans quelques hoquets et temps faibles, mais le fleuve coule avec une force telle qu’il les emporte, charriant quantité d’informations, de notations, de sensations qui font le prix de ce cinéma offert en partage à tout spectateur de bonne volonté.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet lourd, un film porté par l’espoir.
Le Journal du Dimanche
Cet examen exigeant et instructif n’est pas tant celui du premier génocide du XXe siècle, dont on ne voit rien, que celui de ses incalculables conséquences, incarnées par des acteurs vibrants.
Le Monde
"Une histoire de fou", tendu du début à la fin par la souffrance provoquée par le génocide des Arméniens, n’est pas non plus une leçon d’histoire, mais plutôt une discussion passionnée, passionnante souvent, sur le souvenir et la vengeance, la justice et le pardon.
Les Inrockuptibles
Certes, Guédiguian, dans sa manière, se montre parfois un peu didactique. Mais, grâce à ses acteurs, grâce à cet art qu’il possède de décrire des gens modestes sans surplomb, sans cynisme, sans second degré, il réussit indirectement à nous passionner pour l’histoire de la lutte des Arméniens pour la reconnaissance de leur génocide.
Ouest France
Robert Guédiguian s'intéresse à la cause arménienne dans un drame qu'il traite avec conviction et passion. Mais en longueur aussi.
Paris Match
Le résultat est forcément un peu explicatif, mais sonne juste et universel.
VSD
Une fresque tragique où l’indignation, le suspense, la violence et l’humanisme cohabitent avec une puissance d’expression cinématographique qu’on ne lui connaissait pas.
aVoir-aLire.com
Nonobstant les bons sentiments, la réflexion noble sur l’incapacité collective d’effectuer le travail de mémoire et les actes conséquents rendent la démarche juste et nécessaire.
Cahiers du Cinéma
Si une à une les scènes n’ont guère d’ampleur, le film en a certainement.
Metro
(...) Robert Guédiguian évoque – avec un didactisme parfois encombrant – les plaies ruisselantes d’une passionnante galerie de personnages.
Positif
Le didactisme apparaît aussi forcé de temps à autre, mais le superbe prologue prouve que Guédiguian a tous les atouts pour se lancer dans un grand film historique dont on entreverrait ici toute la complexité et la richesse.
Première
Le réalisateur s’acquitte d’un devoir de mémoire envers ses propres origines arméniennes. Ce qui donne un film appliqué, conscient de son rôle. Mais au lieu d’annihiler totalement son souffle romanesque, cet aspect pédagogique le nourrit, en s’intégrant organiquement à son récit.
Sud Ouest
Hyper documenté, conjuguant habilement le romanesque à l'Histoire, le film n'en demeure pas moins quelque peu didactique dans sa dénonciation des excès de la lutte armée.
Télérama
De Marseille à Beyrouth, le film reste aussi sobre que lyrique. Pour preuve, cette séquence sans paroles — la plus émouvante du film — dévoilant un père meurtri, dansant fièrement, chez lui, tout seul.
Gala
Retracer cent ans d’histoire du peuple arménien et tenter, de surcroît, de montrer sa dimension universelle: le projet était audacieux. Mais le film pèche par excès d’émotion et, sans doute, de bonne volonté.
La Voix du Nord
Sa caméra lestée de plomb, l’auteur – que l’on aime pourtant tant célébrer – s’embarque dans un récit caricatural davantage voué à la dialectique qu’au cinéma.
Studio Ciné Live
Robert Guédiguian s'interroge ici, de façon un peu trop scolaire, sur le sens de la lutte et les regrets qui, éventuellement, l'accompagnent.