Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Toute la complexité d’un cinéma hanté par la mort, et par le cinéma, dans un grand film fantomatique, sombre et envoûtant.
Transfuge
par Damien Aubel
Kiyoshi Kurosawa réalise, avec "Le Secret de la chambre noire", une magistrale oeuvre sépulcrale.
Critikat.com
par Juliette Goffart
Atmosphérique et lumineux, entre Poe, Barthes et "Vertigo", "Le Secret de la chambre noire" est l'un des plus beaux films de fantômes qu'on ait vus depuis bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par William Lurson
Le secret de la chambre noire entérine les qualités de ses films précédents. Kurosawa s'y réinvente dans une sorte de précipité classique de son œuvre, toujours surprenant et ludique en dépit de sa noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Entre deux mondes, ésotérique, "Le Secret de la chambre noire", distille le mystère vénéneux du romantisme noir. Il l’adapte à l’époque contemporaine, avec comme sujet de fond l’énigme de la création, dans le sillage d’un Edgar Poe. Envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Kurosawa s’empare avec maestria de cette réalité. Deux hommes, deux femmes, et des fascinations amoureuses ou vengeresses qui vont intensifier le drame.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
D’évidence, c’est auprès des revenants que Kurosawa se montre le plus à son aise. (...) Concédons qu’il convainc moins en pleine lumière qu’entre chien et loup ou dans la pénombre. Accordons-nous à relever que ce qui relève de la réalité et du jeu de Tahar Rahim prend une tournure triviale moins fascinante que le visage de la jeune Constance Rousseau.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce thriller atmosphérique mise sur un jeu d’ombres et de lumières pour un résultat visuellement splendide, s’appuyant sur une mise en scène quasi théâtrale qui distille lentement des indices pour élucider le mystère.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
De tous les films de Kurosawa, Le secret de la chambre noire n'est sans doute pas le plus avenant, le plus aisé, le plus haletant mais il possède pourtant des beautés qui ouvrent sur de nouveaux horizons le cinéma de Kurosawa.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
En artiste accompli, le cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa n’a besoin d’aucun artifice pour faire des merveilles et réaliser un film fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
Grâce à son mystère, le nouveau film fantastique, très réussi, de Kiyoshi Kurosawa devient une grande tragédie romantique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Marie Soyeux
Kiyoshi Kurosawa a un art du cadrage suffisamment consommé pour ne pas craindre les clichés, qu’il aime à fissurer. Dommage que cette spectrale histoire s’étire et s’étiole : 2 h 11, c’est trop. Surtout avec un jeu d’acteurs et des dialogues délibérément désincarnés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Économie d’effets, maîtrise de l’espace et des éclairages, composition parfaite des cadres : le réalisateur déploie ses sortilèges et ouvre une série de brèches dans le récit.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le cinéaste japonais parvient à s'exiler et à préserver l'essence et la beauté de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Kiyoshi Kurosawa signe un thriller bancal, mais traversé par des scènes grandioses, autour d’un photographe reclus en banlieue parisienne.
Libération
par Marcos Uzal
(...) ce film bancal, en partie raté, nous poursuit comme un drôle de rêve : le rêve d’un film éminemment français, jusque dans ses défauts, éclos dans l’esprit d’un maître de l’étrange Japonais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Ce secret développe son intrigue à tiroirs, entre thriller et fantastique, loin des selfies aussi tristes qu’inconséquents.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Un film trop studieux qui manque singulièrement de passion et d’émotion, malgré l’interprétation d’Olivier Gourmet, toujours impeccable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
C’est toujours bien filmé, mais c’est comme si, venant en France, Kurosawa s’était empêtré dans l’écriture et n’avait absorbé que l’imaginaire notarial du cinéma français.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le premier film français de Kiyoshi Kurosawa figure moins un déplacement qu’un repli sur ses terres de prédilection, celles d’un mélo fantastique dialoguant à distance avec “Kaïro”. Malgré quelques fulgurances, la greffe ne prend pas.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le maître nippon (...) essaie de transposer son univers peuplé de fantômes dans le cinéma français (...) et perd au passage ses talents de conteur. Dommage.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
On s’ennuie ferme, d’autant que tout cela ne sert à rien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Toute la complexité d’un cinéma hanté par la mort, et par le cinéma, dans un grand film fantomatique, sombre et envoûtant.
Transfuge
Kiyoshi Kurosawa réalise, avec "Le Secret de la chambre noire", une magistrale oeuvre sépulcrale.
Critikat.com
Atmosphérique et lumineux, entre Poe, Barthes et "Vertigo", "Le Secret de la chambre noire" est l'un des plus beaux films de fantômes qu'on ait vus depuis bien longtemps.
Culturopoing.com
Le secret de la chambre noire entérine les qualités de ses films précédents. Kurosawa s'y réinvente dans une sorte de précipité classique de son œuvre, toujours surprenant et ludique en dépit de sa noirceur.
Franceinfo Culture
Entre deux mondes, ésotérique, "Le Secret de la chambre noire", distille le mystère vénéneux du romantisme noir. Il l’adapte à l’époque contemporaine, avec comme sujet de fond l’énigme de la création, dans le sillage d’un Edgar Poe. Envoûtant.
L'Humanité
Kurosawa s’empare avec maestria de cette réalité. Deux hommes, deux femmes, et des fascinations amoureuses ou vengeresses qui vont intensifier le drame.
La Voix du Nord
D’évidence, c’est auprès des revenants que Kurosawa se montre le plus à son aise. (...) Concédons qu’il convainc moins en pleine lumière qu’entre chien et loup ou dans la pénombre. Accordons-nous à relever que ce qui relève de la réalité et du jeu de Tahar Rahim prend une tournure triviale moins fascinante que le visage de la jeune Constance Rousseau.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller atmosphérique mise sur un jeu d’ombres et de lumières pour un résultat visuellement splendide, s’appuyant sur une mise en scène quasi théâtrale qui distille lentement des indices pour élucider le mystère.
Les Inrockuptibles
De tous les films de Kurosawa, Le secret de la chambre noire n'est sans doute pas le plus avenant, le plus aisé, le plus haletant mais il possède pourtant des beautés qui ouvrent sur de nouveaux horizons le cinéma de Kurosawa.
Sud Ouest
En artiste accompli, le cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa n’a besoin d’aucun artifice pour faire des merveilles et réaliser un film fantastique.
Télérama
Grâce à son mystère, le nouveau film fantastique, très réussi, de Kiyoshi Kurosawa devient une grande tragédie romantique.
La Croix
Kiyoshi Kurosawa a un art du cadrage suffisamment consommé pour ne pas craindre les clichés, qu’il aime à fissurer. Dommage que cette spectrale histoire s’étire et s’étiole : 2 h 11, c’est trop. Surtout avec un jeu d’acteurs et des dialogues délibérément désincarnés.
La Septième Obsession
Économie d’effets, maîtrise de l’espace et des éclairages, composition parfaite des cadres : le réalisateur déploie ses sortilèges et ouvre une série de brèches dans le récit.
Le Figaro
Le cinéaste japonais parvient à s'exiler et à préserver l'essence et la beauté de son cinéma.
Le Monde
Kiyoshi Kurosawa signe un thriller bancal, mais traversé par des scènes grandioses, autour d’un photographe reclus en banlieue parisienne.
Libération
(...) ce film bancal, en partie raté, nous poursuit comme un drôle de rêve : le rêve d’un film éminemment français, jusque dans ses défauts, éclos dans l’esprit d’un maître de l’étrange Japonais.
Rolling Stone
Ce secret développe son intrigue à tiroirs, entre thriller et fantastique, loin des selfies aussi tristes qu’inconséquents.
aVoir-aLire.com
Un film trop studieux qui manque singulièrement de passion et d’émotion, malgré l’interprétation d’Olivier Gourmet, toujours impeccable.
Cahiers du Cinéma
C’est toujours bien filmé, mais c’est comme si, venant en France, Kurosawa s’était empêtré dans l’écriture et n’avait absorbé que l’imaginaire notarial du cinéma français.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film français de Kiyoshi Kurosawa figure moins un déplacement qu’un repli sur ses terres de prédilection, celles d’un mélo fantastique dialoguant à distance avec “Kaïro”. Malgré quelques fulgurances, la greffe ne prend pas.
Studio Ciné Live
Le maître nippon (...) essaie de transposer son univers peuplé de fantômes dans le cinéma français (...) et perd au passage ses talents de conteur. Dommage.
L'Obs
On s’ennuie ferme, d’autant que tout cela ne sert à rien.