Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
On sort de là le coeur gonflé à bloc, avec l'envie de lutter contre les injustices. Mais le coeur lourd aussi. On n’en dira pas plus pour vous laisser découvrir le plus beau film du mois.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Eric Libiot
"Jamais de la vie" est un des meilleurs film de Pierre Jolivet. Il dit l'homme et l'époque avec une telle justesse que l'émotion qu'il dégage patine la dureté du temps et fait briller la noirceur du ciel.
Marianne
par Danièle Heymann
Un beau film accompli, maîtrisé, plein d'humanité et de probité. Et, dans l'audacieuse rédemption d'un homme broyé par la modernité, Olivier Gourmet à son sommet, que l'on n'oubliera pas. Jamais de la vie.
Ouest France
par Pierre Fornerod
C'était un rôle pour Olivier Gourmet qui a pu se croire débarquant dans le monde des frères Dardenne. Il est le maître du jeu, avec sa sensibilité, sa force, son expression.
Paris Match
par Alain Spira
Plus près du drame social que du polar, Pierre Jolivet signe un film anthracite couleur du béton et d'aube froide. Reposant sur les épaules d'envergure de Gourmet, ce film aurait pu être signé par Lucas Belvaux. Et c'est un compliment…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Pierre Eisenreich
L'apport esthétique est indéniable à cette réussite à filmer la complexité du réel. Au moyen d'un format scope, Pierre Jolivet représente avec une minutie exceptionnelle les différentes réalités professionnelles et sociales, ménageant des effets de lumière et de pénombre que nous pourrions qualifier de lueur expressioniste.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un thriller en zone commerciale hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
On pense à certains polars purs et durs. À certains héros solitaires tel que les campaient Sterling Hayden et Alain Delon à leur époque samouraï. Et on n’a pas tort.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si Pierre Jolivet a souvent mis le social au cœur de son cinéma, le réalisateur offre une radiographie très noire, mais jamais plombante ni misérabiliste, d'une époque économiquement et humainement désenchantée.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Pierre Jolivet signe un film tout en tension qui assemble implacablement les éléments de l'intrigue. Olivier Gourmet était idéal pour enfiler le blouson fatigué de cet homme qui n'a rien perdu de sa droiture. Valérie Bonneton est impeccable, les seconds rôles très travaillés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Un polar comme une étoile noire. Terrassant.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Le thriller permet à Pierre Jolivet d'exalter tous ces solitaires. D'en faire, surtout, des porte-parole, des sentinelles qui résistent à l'indifférence générale. Leurs luttes sont parfois drôles, comme dans "Ma petite entreprise" et "Zim and Co."
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
On peut reprocher au scénario quelques situations un peu appuyées, des dialogues parfois surlignés, mais "Jamais de la vie" est un film bien construit, qui mêle avec fluidité plusieurs genres cinématographiques et touche juste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Une réalisation élégante et des acteurs investis, mais au service d'un scénario sans conviction.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si "Jamais de la Vie" ne se départ pas d'un aspect "qualité française", il dépeint plutôt bien la déréliction sociale et psychologique qui est en train de ronger la France.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
En dépit de sa tendance à enfoncer un peu trop fortement le clou de la misère (...) "Jamais de la vie" capte quelque chose de l’air du temps avec une sincérité évidente. La sous-intrigue polardeuse, elle, donne du relief à cette tragédie d’un homme pas ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
La vision sombre d’un homme désabusé qui trouve une façon de redonner sens à sa vie, dans un film qui appuie un peu trop complaisamment sur la misère sociale.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Pierre Jolivet aime à varier les genres. Le voici aux prises, dans ce film, avec le polar social. (…). Voilà qui fait, en termes de précision et de profondeur dans le traitement, un peu beaucoup, en dépit du talent indéniable de l’acteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
La dramaturgie prévisible - signée de son complice Simon Michaël - s’enlise dans un sombre règlement de comptes qui fait de son vigile un vigilante, tributaire de son cahier des charges social-réaliste, alignant sa galerie de personnages croqués (Julie Ferrier et, tiens, Bénabar).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Malgré sa cuirasse de polar, "Jamais de la vie" n’est qu’un reportage un peu trop cuisiné sur une sorte de néant socioprofessionnel devenu refuge en kit de la chronique sociale franchouillarde.
Femme Actuelle
On sort de là le coeur gonflé à bloc, avec l'envie de lutter contre les injustices. Mais le coeur lourd aussi. On n’en dira pas plus pour vous laisser découvrir le plus beau film du mois.
L'Express
"Jamais de la vie" est un des meilleurs film de Pierre Jolivet. Il dit l'homme et l'époque avec une telle justesse que l'émotion qu'il dégage patine la dureté du temps et fait briller la noirceur du ciel.
Marianne
Un beau film accompli, maîtrisé, plein d'humanité et de probité. Et, dans l'audacieuse rédemption d'un homme broyé par la modernité, Olivier Gourmet à son sommet, que l'on n'oubliera pas. Jamais de la vie.
Ouest France
C'était un rôle pour Olivier Gourmet qui a pu se croire débarquant dans le monde des frères Dardenne. Il est le maître du jeu, avec sa sensibilité, sa force, son expression.
Paris Match
Plus près du drame social que du polar, Pierre Jolivet signe un film anthracite couleur du béton et d'aube froide. Reposant sur les épaules d'envergure de Gourmet, ce film aurait pu être signé par Lucas Belvaux. Et c'est un compliment…
Positif
L'apport esthétique est indéniable à cette réussite à filmer la complexité du réel. Au moyen d'un format scope, Pierre Jolivet représente avec une minutie exceptionnelle les différentes réalités professionnelles et sociales, ménageant des effets de lumière et de pénombre que nous pourrions qualifier de lueur expressioniste.
CinemaTeaser
Un thriller en zone commerciale hypnotique.
La Voix du Nord
On pense à certains polars purs et durs. À certains héros solitaires tel que les campaient Sterling Hayden et Alain Delon à leur époque samouraï. Et on n’a pas tort.
Le Journal du Dimanche
Si Pierre Jolivet a souvent mis le social au cœur de son cinéma, le réalisateur offre une radiographie très noire, mais jamais plombante ni misérabiliste, d'une époque économiquement et humainement désenchantée.
Le Parisien
Pierre Jolivet signe un film tout en tension qui assemble implacablement les éléments de l'intrigue. Olivier Gourmet était idéal pour enfiler le blouson fatigué de cet homme qui n'a rien perdu de sa droiture. Valérie Bonneton est impeccable, les seconds rôles très travaillés.
Studio Ciné Live
Un polar comme une étoile noire. Terrassant.
Télérama
Le thriller permet à Pierre Jolivet d'exalter tous ces solitaires. D'en faire, surtout, des porte-parole, des sentinelles qui résistent à l'indifférence générale. Leurs luttes sont parfois drôles, comme dans "Ma petite entreprise" et "Zim and Co."
La Croix
On peut reprocher au scénario quelques situations un peu appuyées, des dialogues parfois surlignés, mais "Jamais de la vie" est un film bien construit, qui mêle avec fluidité plusieurs genres cinématographiques et touche juste.
Les Fiches du Cinéma
Une réalisation élégante et des acteurs investis, mais au service d'un scénario sans conviction.
Les Inrockuptibles
Si "Jamais de la Vie" ne se départ pas d'un aspect "qualité française", il dépeint plutôt bien la déréliction sociale et psychologique qui est en train de ronger la France.
Première
En dépit de sa tendance à enfoncer un peu trop fortement le clou de la misère (...) "Jamais de la vie" capte quelque chose de l’air du temps avec une sincérité évidente. La sous-intrigue polardeuse, elle, donne du relief à cette tragédie d’un homme pas ridicule.
Le Dauphiné Libéré
La vision sombre d’un homme désabusé qui trouve une façon de redonner sens à sa vie, dans un film qui appuie un peu trop complaisamment sur la misère sociale.
Le Monde
Pierre Jolivet aime à varier les genres. Le voici aux prises, dans ce film, avec le polar social. (…). Voilà qui fait, en termes de précision et de profondeur dans le traitement, un peu beaucoup, en dépit du talent indéniable de l’acteur.
Libération
La dramaturgie prévisible - signée de son complice Simon Michaël - s’enlise dans un sombre règlement de comptes qui fait de son vigile un vigilante, tributaire de son cahier des charges social-réaliste, alignant sa galerie de personnages croqués (Julie Ferrier et, tiens, Bénabar).
Cahiers du Cinéma
Malgré sa cuirasse de polar, "Jamais de la vie" n’est qu’un reportage un peu trop cuisiné sur une sorte de néant socioprofessionnel devenu refuge en kit de la chronique sociale franchouillarde.