Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Les Taviani nous replongent surtout dans leur constellation filmique, l'une des plus belles que le cinéma transalpin nous ait jamais offerte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Paolo et Vittorio Taviani (...) nous apportent un ballon d’oxygène poético-filmique. Contes italiens est une œuvre relativement sereine. Un pré carré verdoyant, une oasis d’amour dans le chaos noir du monde réel ouvert à toutes les intrusions malveillantes, dans le désert des sentiments actuel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cinq contes d'une grande délicatesse, plus intrigants les uns que les autres. Un film merveilleux qui nous éloigne des pressions contemporaines : un peu de soleil dans l'eau froide.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C'est pittoresque, magnifique à regarder, drôle.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une adaptation de cinq nouvelles du “Décaméron” de Boccace, avec le talent de narration toujours fascinant des frères Taviani.
Positif
par Jean Antoine Gili
Dans un cinéma apaisé, où les forces de l'amour sont plus fortes que tout, les auteurs signent un film sensible, un film non d'hommes âgés mais de cinéastes qui vibrent du plaisir juvénile de tourner, de retrouver des émotions et des élans oubliés et de confier à une remarquable brochette d'acteurs (hélas peu connus en France) le soin de se faire porteur des sentiments et des pensées qui traversent la mémoire inquiète des deux artistes.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
S’il est difficile d’adhérer à l’austérité d’un film qui semble ne s’adresser à personne, force est de constater que cette manière académique et cette rigueur forcenée séduisent bien plus que la générosité factice et la fantaisie autoproclamée d’un autre conteur italien du mois, le pathétique Matteo Garrone.
L'Express
par Sandra Benedetti
Soit cinq nouvelles du Décaméron de Boccace revues par les Taviani, filmées avec une délicatesse ineffable, quoique d'un intérêt variable.
La Croix
par Arnaud Schwartz
S'il faut saluer la beauté de l'image et la sobriété du travail de mise en scène, la musique de Carmelo Travia et de Giulano Taviani - fils de Vittorio - se fait hélas trop envahissante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Franck Nouchi
Très théâtrale, l'interprétation des acteurs est du même tonneau.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Presque à l'opposé du “Décaméron” de Pasolini, les Taviani en offrent une lecture à l'esthétique raffinée, plaisant hommage, trop bien élevé, à la gent féminine.
Première
par Isabelle Danel
La mise en scène, hiératique, rivalise néanmoins d’inventions pour explorer des univers tragiques, fabuleux ou cocasses. Les histoires dans l’histoire induisent une sorte de distance qui, curieusement, les rapproche des thèmes contemporains, les rendant actuelles autant qu’universelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Les Taviani se confrontent au Décaméron. Puissant. (...). Ce qui sidère dans cette adaptation, c'est la beauté formelle du film.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Des décennies après Pasolini, les frères Taviani adaptent cinq récits issus du Décaméron de Boccace. Et, forts de leur expérience des choses de la vie, offrent une touchante utopie de l'amour, envers et contre la mort. Seule faiblesse : une illustration un peu scolaire.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Samuel Douhaire
L'académisme menace, mais moins que dans les récentes — et calamiteuses — adaptations littéraires des deux frères (Résurrection, d'après Tolstoï, notamment). Dans les vues de la campagne toscane comme dans les scènes de groupe composées comme des tableaux, les cinéastes retrouvent, par intermittence, la puissance plastique de leur chef-d'oeuvre, "Kaos".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Les lignes académiques de ces "Contes italiens" ne font guère honneur à l’irrévérencieuse vigueur de l’œuvre de Boccace.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bien tenté, mais à l’arrivée assez fadasse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le but ultime semble être de composer des tableaux parfaits, sans bavure vulgaire, des vues idylliques de paysages de Toscane peuplées de jeunes gens gracieux tout droit sortis d’un cours de théâtre.
Libération
par Clémentine Gallot
Une nouvelle relecture poussiéreuse de Boccace.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Toujours le même style de mise en scène, posée jusqu'au maniérisme. Du cinéma classique pour chanter les vertus de la jeunesse éternelle.
aVoir-aLire.com
Les Taviani nous replongent surtout dans leur constellation filmique, l'une des plus belles que le cinéma transalpin nous ait jamais offerte.
Culturopoing.com
Paolo et Vittorio Taviani (...) nous apportent un ballon d’oxygène poético-filmique. Contes italiens est une œuvre relativement sereine. Un pré carré verdoyant, une oasis d’amour dans le chaos noir du monde réel ouvert à toutes les intrusions malveillantes, dans le désert des sentiments actuel.
Franceinfo Culture
Cinq contes d'une grande délicatesse, plus intrigants les uns que les autres. Un film merveilleux qui nous éloigne des pressions contemporaines : un peu de soleil dans l'eau froide.
L'Obs
C'est pittoresque, magnifique à regarder, drôle.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation de cinq nouvelles du “Décaméron” de Boccace, avec le talent de narration toujours fascinant des frères Taviani.
Positif
Dans un cinéma apaisé, où les forces de l'amour sont plus fortes que tout, les auteurs signent un film sensible, un film non d'hommes âgés mais de cinéastes qui vibrent du plaisir juvénile de tourner, de retrouver des émotions et des élans oubliés et de confier à une remarquable brochette d'acteurs (hélas peu connus en France) le soin de se faire porteur des sentiments et des pensées qui traversent la mémoire inquiète des deux artistes.
Cahiers du Cinéma
S’il est difficile d’adhérer à l’austérité d’un film qui semble ne s’adresser à personne, force est de constater que cette manière académique et cette rigueur forcenée séduisent bien plus que la générosité factice et la fantaisie autoproclamée d’un autre conteur italien du mois, le pathétique Matteo Garrone.
L'Express
Soit cinq nouvelles du Décaméron de Boccace revues par les Taviani, filmées avec une délicatesse ineffable, quoique d'un intérêt variable.
La Croix
S'il faut saluer la beauté de l'image et la sobriété du travail de mise en scène, la musique de Carmelo Travia et de Giulano Taviani - fils de Vittorio - se fait hélas trop envahissante.
Le Monde
Très théâtrale, l'interprétation des acteurs est du même tonneau.
Les Fiches du Cinéma
Presque à l'opposé du “Décaméron” de Pasolini, les Taviani en offrent une lecture à l'esthétique raffinée, plaisant hommage, trop bien élevé, à la gent féminine.
Première
La mise en scène, hiératique, rivalise néanmoins d’inventions pour explorer des univers tragiques, fabuleux ou cocasses. Les histoires dans l’histoire induisent une sorte de distance qui, curieusement, les rapproche des thèmes contemporains, les rendant actuelles autant qu’universelles.
Studio Ciné Live
Les Taviani se confrontent au Décaméron. Puissant. (...). Ce qui sidère dans cette adaptation, c'est la beauté formelle du film.
TF1 News
Des décennies après Pasolini, les frères Taviani adaptent cinq récits issus du Décaméron de Boccace. Et, forts de leur expérience des choses de la vie, offrent une touchante utopie de l'amour, envers et contre la mort. Seule faiblesse : une illustration un peu scolaire.
Télérama
L'académisme menace, mais moins que dans les récentes — et calamiteuses — adaptations littéraires des deux frères (Résurrection, d'après Tolstoï, notamment). Dans les vues de la campagne toscane comme dans les scènes de groupe composées comme des tableaux, les cinéastes retrouvent, par intermittence, la puissance plastique de leur chef-d'oeuvre, "Kaos".
Critikat.com
Les lignes académiques de ces "Contes italiens" ne font guère honneur à l’irrévérencieuse vigueur de l’œuvre de Boccace.
L'Humanité
Bien tenté, mais à l’arrivée assez fadasse.
Les Inrockuptibles
Le but ultime semble être de composer des tableaux parfaits, sans bavure vulgaire, des vues idylliques de paysages de Toscane peuplées de jeunes gens gracieux tout droit sortis d’un cours de théâtre.
Libération
Une nouvelle relecture poussiéreuse de Boccace.
Ouest France
Toujours le même style de mise en scène, posée jusqu'au maniérisme. Du cinéma classique pour chanter les vertus de la jeunesse éternelle.