Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film prend un sens d’autant plus fort que les féministes se retrouvent sur la brèche pour défendre leurs acquis.
CNews
par La Rédaction
Film multicouche, "Battle of the Sexes" surprend par la profondeur de son propos, et sa capacité à dépeindre les enjeux personnels qui se jouaient dans les coulisses de cette rencontre, vu par 90 millions de téléspectateurs.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
S’il est un superbe divertissement sportif, "Battle of the Sexes" est surtout un pamphlet politique et féministe au message intemporel porté par un casting brillant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Très soigneusement reconstitué dans une Amérique seventies, avec de longs épisodes sportifs très crédibles, le film vaut d'abord pour son incroyable histoire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Le film de Jonathan Dayton et Valerie Faris est d'une troublante pertinence. Il est également très fin, évitant pas mal d'écueils et brossant avec soin une époque et une mentalité qui ne manquaient pas de paradoxes.
L'Obs
par Nicolas Schaller
De ce duel entre l'Amérique patriarcale et celle, minoritaire, de la libération des mœurs, les réalisateurs de "Little Miss Sunshine" tire un feel-good movie qui est aussi le portrait sensible de deux fêlures face au culte de la performance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un match historique que le film charge du poids d’une lutte de libération féministe à valeur sociale tout autant que morale, la joueuse découvrant en même temps son homosexualité. Quand Hollywood sonne le glas de l’ère Weinstein…
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Outre le soin méticuleux apporté à la reconstitution du match en ayant recours à des doublures, "Battle of the Sexes" raconte une époque qui méprisait ouvertement le sport féminin, pratiquait la discrimination et où l’homosexualité était taboue. Avec finesse, humour et même une certaine sensualité pour retracer la quête identitaire d’une héroïne qui deviendra une icône de la communauté LGBT.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Onze ans après le phénoménal « Little Miss Sunshine », Valerie Faris et Jonathan Dayton, duo de cinéastes et couple à la ville, s'offrent un retour gagnant avec « Battle of the Sexes ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Feel good movie, le nouveau film de J. Dayton et V. Faris n’en est pas moins éloquent quant à une bataille dépassant le simple cadre sportif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film de sport qui n'a rien d'un divertissement anodin.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un feel-good movie féministe.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film de Valerie Faris et Jonathan Dayton épouse les deux dimensions. Dynamique, léger, et cependant bouleversant dans la reconstitution qu’il fait du combat féministe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Au-delà de la reconstitution vintage, la grande réussite du film réside dans son casting chic et choc.
Télérama
par Samuel Douhaire
Bref, comme on dit à Roland-Garros, service gagnant !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
La plus grande force du film est de trouver sa petite histoire au sein de la grande.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par La Rédaction
Un feelgood movie porté par deux acteurs au top.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le feel-good-movie aurait-il viré ciné-tract ? Pas tout à fait tant l’ensemble reste dans un storytelling assez consensuel, parfois réellement enlevé, parfois plus convenu pour ne pas dire vieillot.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Voulant renouer avec leur premier succès, les réalisateurs ont opté pour un traitement grand public qui n’évite pas certaines facilités de l’exercice – utilisation empathique de la musique et gags potaches – mais qui soutient son propos de bout en bout sans juger ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Battle of the Sexes est une comédie historique lucide, servie par des interprètes remarquables, qui ramènera en douceur jusqu’à un temps où un homme pouvait balancer un porc à une femme, tout en y injectant un peu de frivolité.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Plus qu’un film sur le sport, une chronique finaude de l’Amérique des années 1970 entre féminisme et reconnaissance LGBT, quitte à s’éparpiller parfois sur des sujets annexes. Emma Stone ne manque aucun revers.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Un film forcément sympathique puisqu'il dénonce sexisme et homophobie, mais longuet et vraiment sans surprise.
Première
par Eric Vernay
A défaut d'audace formelle, ce plaisant biopic sportif assure la mise en fond de court.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) une comédie engagée, joliment interprétée par Steve Carell et Emma Stone, qui, sans l'avoir prémédité, fait écho à l'actualité et donne à réfléchir sur la condition féminine... d'hier et d'aujourd'hui.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La mise en scène semble privilégier les gros plans en vue d’une diffusion télé. Les dialogues, comme la musique, jouent les envahisseurs. Les acteurs, rivalisant de cabotinage, c’est à qui grimacera le plus !
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le combat d'une tenniswoman contre le sexisme. Emma Stone en sort gagnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
"Battle of the Sexes" n’échappe pas au traditionnel registre du film américain étiqueté indé, un label devenu en l’occurrence un réflexe de tons et de formes apposés de force sur les corps et les images plutôt que le creuset d’une écriture insolite : dans une atmosphère acidulée, drôle, aérée, gentils et méchants peuvent venir se tenir la main sous le soleil de la planète Sundance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Au bout du compte, et malgré l’artificialité clinquante de la direction artistique, "Battle of Sexes" est un film austère et surtout un récit complètement hors-sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Politiquement, ce film, illustrant un épisode du féminisme, n’a rien de renversant. Son véritable enjeu – l’énième reconstitution des années 1970 – est d’un kitsch convenu. Une semi-comédie assez poussive.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
20 Minutes
Le film prend un sens d’autant plus fort que les féministes se retrouvent sur la brèche pour défendre leurs acquis.
CNews
Film multicouche, "Battle of the Sexes" surprend par la profondeur de son propos, et sa capacité à dépeindre les enjeux personnels qui se jouaient dans les coulisses de cette rencontre, vu par 90 millions de téléspectateurs.
Ecran Large
S’il est un superbe divertissement sportif, "Battle of the Sexes" est surtout un pamphlet politique et féministe au message intemporel porté par un casting brillant.
Franceinfo Culture
Très soigneusement reconstitué dans une Amérique seventies, avec de longs épisodes sportifs très crédibles, le film vaut d'abord pour son incroyable histoire.
L'Express
Le film de Jonathan Dayton et Valerie Faris est d'une troublante pertinence. Il est également très fin, évitant pas mal d'écueils et brossant avec soin une époque et une mentalité qui ne manquaient pas de paradoxes.
L'Obs
De ce duel entre l'Amérique patriarcale et celle, minoritaire, de la libération des mœurs, les réalisateurs de "Little Miss Sunshine" tire un feel-good movie qui est aussi le portrait sensible de deux fêlures face au culte de la performance.
Le Dauphiné Libéré
Un match historique que le film charge du poids d’une lutte de libération féministe à valeur sociale tout autant que morale, la joueuse découvrant en même temps son homosexualité. Quand Hollywood sonne le glas de l’ère Weinstein…
Le Journal du Dimanche
Outre le soin méticuleux apporté à la reconstitution du match en ayant recours à des doublures, "Battle of the Sexes" raconte une époque qui méprisait ouvertement le sport féminin, pratiquait la discrimination et où l’homosexualité était taboue. Avec finesse, humour et même une certaine sensualité pour retracer la quête identitaire d’une héroïne qui deviendra une icône de la communauté LGBT.
Le Parisien
Onze ans après le phénoménal « Little Miss Sunshine », Valerie Faris et Jonathan Dayton, duo de cinéastes et couple à la ville, s'offrent un retour gagnant avec « Battle of the Sexes ».
Les Fiches du Cinéma
Feel good movie, le nouveau film de J. Dayton et V. Faris n’en est pas moins éloquent quant à une bataille dépassant le simple cadre sportif.
Marianne
Un film de sport qui n'a rien d'un divertissement anodin.
Studio Ciné Live
Un feel-good movie féministe.
Sud Ouest
Le film de Valerie Faris et Jonathan Dayton épouse les deux dimensions. Dynamique, léger, et cependant bouleversant dans la reconstitution qu’il fait du combat féministe.
Télé Loisirs
Au-delà de la reconstitution vintage, la grande réussite du film réside dans son casting chic et choc.
Télérama
Bref, comme on dit à Roland-Garros, service gagnant !
VSD
La plus grande force du film est de trouver sa petite histoire au sein de la grande.
Voici
Un feelgood movie porté par deux acteurs au top.
Cahiers du Cinéma
Le feel-good-movie aurait-il viré ciné-tract ? Pas tout à fait tant l’ensemble reste dans un storytelling assez consensuel, parfois réellement enlevé, parfois plus convenu pour ne pas dire vieillot.
Critikat.com
Voulant renouer avec leur premier succès, les réalisateurs ont opté pour un traitement grand public qui n’évite pas certaines facilités de l’exercice – utilisation empathique de la musique et gags potaches – mais qui soutient son propos de bout en bout sans juger ses personnages.
Le Monde
Battle of the Sexes est une comédie historique lucide, servie par des interprètes remarquables, qui ramènera en douceur jusqu’à un temps où un homme pouvait balancer un porc à une femme, tout en y injectant un peu de frivolité.
Paris Match
Plus qu’un film sur le sport, une chronique finaude de l’Amérique des années 1970 entre féminisme et reconnaissance LGBT, quitte à s’éparpiller parfois sur des sujets annexes. Emma Stone ne manque aucun revers.
Positif
Un film forcément sympathique puisqu'il dénonce sexisme et homophobie, mais longuet et vraiment sans surprise.
Première
A défaut d'audace formelle, ce plaisant biopic sportif assure la mise en fond de court.
Télé 7 Jours
(...) une comédie engagée, joliment interprétée par Steve Carell et Emma Stone, qui, sans l'avoir prémédité, fait écho à l'actualité et donne à réfléchir sur la condition féminine... d'hier et d'aujourd'hui.
La Voix du Nord
La mise en scène semble privilégier les gros plans en vue d’une diffusion télé. Les dialogues, comme la musique, jouent les envahisseurs. Les acteurs, rivalisant de cabotinage, c’est à qui grimacera le plus !
Les Inrockuptibles
Le combat d'une tenniswoman contre le sexisme. Emma Stone en sort gagnante.
Libération
"Battle of the Sexes" n’échappe pas au traditionnel registre du film américain étiqueté indé, un label devenu en l’occurrence un réflexe de tons et de formes apposés de force sur les corps et les images plutôt que le creuset d’une écriture insolite : dans une atmosphère acidulée, drôle, aérée, gentils et méchants peuvent venir se tenir la main sous le soleil de la planète Sundance.
aVoir-aLire.com
Au bout du compte, et malgré l’artificialité clinquante de la direction artistique, "Battle of Sexes" est un film austère et surtout un récit complètement hors-sujet.
L'Humanité
Politiquement, ce film, illustrant un épisode du féminisme, n’a rien de renversant. Son véritable enjeu – l’énième reconstitution des années 1970 – est d’un kitsch convenu. Une semi-comédie assez poussive.