Francofonia, le Louvre sous l’Occupation : Critique presse
Francofonia, le Louvre sous l’Occupation
Note moyenne
3,4
17 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Transfuge
La Croix
La Septième Obsession
Le Dauphiné Libéré
Les Inrockuptibles
Ouest France
Positif
Télérama
Critikat.com
L'Obs
La Voix du Nord
Première
Le Monde
Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
Libération
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17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Sokourov se sert du Louvre pour peindre une ruine du temps. (…) "Francofonia" élabore sa propre sauvegarde imaginaire de l’art dans les replis de l’image de cinéma.
Transfuge
par Damien Aubel
Avec "Francofonia", Alexandre Sokourov ausculte brillamment la culture européenne à travers un de ses sites emblématiques, le Louvre, pendant la Seconde Guerre mondiale.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Présenté à la Mostra de Venise, ce conte crépusculaire dans le Paris de l’Occupation réaffirme la place centrale des musées au cœur de la civilisation européenne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Nathalie Bittinger
Il n’est pas anodin que le réalisateur recourt au fragment, la forme romantique et mélancolique par excellence, au sein d’une œuvre effilochée, qui se fait, se défait et se refait sans cesse pour dire le monde avec obstination.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Comment, durant l’Occupation, grâce à l’entente de deux hommes, un Allemand, un Français, pénétrés de la grandeur de l’art, le Louvre put résister à la tempête : Sokourov le montre à travers une utilisation virtuose des images d’archives et une reconstitution non moins brillante de l’époque.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Avec cette œuvre poétique et artisanale, Sokourov met en relief et en lumière, mieux qu’avec une pesante fresque historique, ce qui relie les époques et les hommes, les pays et les sensibilités : l’art comme lingua franca de la civilisation occidentale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un exercice sophistiqué.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Soukourov, en mêlant divers genres de récits, crée un espace cinématographique inédit, quelque part entre documentaire et fiction.
Télérama
par Louis Guichard
Ces chocs spatio-temporels, ces expériences érudites, ces associations parfois fulgurantes rappellent les travaux tardifs de Jean-Luc Godard ou de Chris Marker. Comme modèles, il y a pis...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Morgan Pokée
Et si la forme a perdu en ampleur et en assurance, elle n’en demeure pas moins toujours singulière, la liberté du dispositif rachetant la naïveté de quelques séquences.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
Sokourov ("Père, fils", "Moloch", "Faust") construit un poème mélancolique et lyrique. On aime ou pas, mais impossible de rester indifférent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Si brouillon soit-il parfois, cet essai se révèle riche d’enseignements.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Première
par Hendy Bicaise
Hésitant entre reconstitution, documentaire et mise en abyme, son projet aux contours incertains ne parvient à capter l’attention que par fulgurances. Dont un plan somptueux sur les doigts d’un homme caressant ceux d’une statue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il y a en effet ce que "Francofonia" voudrait être, une sorte de méditation transhistorique (...) Et puis, il y a ce que "Francofonia" est en réalité. L’instrumentalisation d’une situation historique au profit de la vision, discutable, que s’en fait l’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le film digresse sans cesse, au point de perdre le fil de son propos.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morrison
(...) le rythme est trop lent, et les passages où le réalisateur semble se parler à lui-même trop fréquents, laissant le spectateur au bord de la route, bien mal aisé de partager sa vision.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Clémentine Gallot
Sokourov a tour à tour manifesté son soutien et ses doutes vis-à-vis du pouvoir exercé par Vladimir Poutine, un propos politique nébuleux que n’éclaircit pas cette ode poussiéreuse à la culture patrimoniale, pétrie d’une fascination datée du grand art comme ciment des civilisations.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
Sokourov se sert du Louvre pour peindre une ruine du temps. (…) "Francofonia" élabore sa propre sauvegarde imaginaire de l’art dans les replis de l’image de cinéma.
Transfuge
Avec "Francofonia", Alexandre Sokourov ausculte brillamment la culture européenne à travers un de ses sites emblématiques, le Louvre, pendant la Seconde Guerre mondiale.
La Croix
Présenté à la Mostra de Venise, ce conte crépusculaire dans le Paris de l’Occupation réaffirme la place centrale des musées au cœur de la civilisation européenne.
La Septième Obsession
Il n’est pas anodin que le réalisateur recourt au fragment, la forme romantique et mélancolique par excellence, au sein d’une œuvre effilochée, qui se fait, se défait et se refait sans cesse pour dire le monde avec obstination.
Le Dauphiné Libéré
Comment, durant l’Occupation, grâce à l’entente de deux hommes, un Allemand, un Français, pénétrés de la grandeur de l’art, le Louvre put résister à la tempête : Sokourov le montre à travers une utilisation virtuose des images d’archives et une reconstitution non moins brillante de l’époque.
Les Inrockuptibles
Avec cette œuvre poétique et artisanale, Sokourov met en relief et en lumière, mieux qu’avec une pesante fresque historique, ce qui relie les époques et les hommes, les pays et les sensibilités : l’art comme lingua franca de la civilisation occidentale.
Ouest France
Un exercice sophistiqué.
Positif
Soukourov, en mêlant divers genres de récits, crée un espace cinématographique inédit, quelque part entre documentaire et fiction.
Télérama
Ces chocs spatio-temporels, ces expériences érudites, ces associations parfois fulgurantes rappellent les travaux tardifs de Jean-Luc Godard ou de Chris Marker. Comme modèles, il y a pis...
Critikat.com
Et si la forme a perdu en ampleur et en assurance, elle n’en demeure pas moins toujours singulière, la liberté du dispositif rachetant la naïveté de quelques séquences.
L'Obs
Sokourov ("Père, fils", "Moloch", "Faust") construit un poème mélancolique et lyrique. On aime ou pas, mais impossible de rester indifférent.
La Voix du Nord
Si brouillon soit-il parfois, cet essai se révèle riche d’enseignements.
Première
Hésitant entre reconstitution, documentaire et mise en abyme, son projet aux contours incertains ne parvient à capter l’attention que par fulgurances. Dont un plan somptueux sur les doigts d’un homme caressant ceux d’une statue.
Le Monde
Il y a en effet ce que "Francofonia" voudrait être, une sorte de méditation transhistorique (...) Et puis, il y a ce que "Francofonia" est en réalité. L’instrumentalisation d’une situation historique au profit de la vision, discutable, que s’en fait l’auteur.
Studio Ciné Live
Le film digresse sans cesse, au point de perdre le fil de son propos.
aVoir-aLire.com
(...) le rythme est trop lent, et les passages où le réalisateur semble se parler à lui-même trop fréquents, laissant le spectateur au bord de la route, bien mal aisé de partager sa vision.
Libération
Sokourov a tour à tour manifesté son soutien et ses doutes vis-à-vis du pouvoir exercé par Vladimir Poutine, un propos politique nébuleux que n’éclaircit pas cette ode poussiéreuse à la culture patrimoniale, pétrie d’une fascination datée du grand art comme ciment des civilisations.