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Magnifiquement soutenu par la musique de Soulwax, "Belgica" est sans doute le film le plus personnel du réalisateur, qui y a injecté beaucoup de ses souvenirs de noctambule gantois.
"Belgica" reste pour Felix Van Groeningen une sorte d’anti "Studio 54", le film de Mark Christopher sur le club mythique de la 54e rue à New York : surtout pas lisse, surtout pas glamour, un endroit fou. Comme on les aime.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Après le pur mélodrame, Felix van Groeningen livre le portrait à la fois dynamique et désenchanté d'une fratrie rongée par le succès et la perte de ses idéaux.
Felix Van Groeningen a un peu la main lourde pour dépeindre les relations fraternelles. En revanche, son film, électrisé par l'extraordinaire BOF de Soulwax, communique une énergie irrésistible, suivant l'évolution monstre d'un café-concert en club house, avec un art consommé de ce que John Waters appelle le «bon mauvais goût».
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Comme dans une fresque à la Coppola ou à la Brian De Palma, on voit deux membres d'une même famille s'opposer, s'engueuler, se trahir. Ces soubresauts romanesques, brillants et mélancoliques transforment les êtres et les lieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mis en scène avec emphase, renforts de lumières, de basses et de gros plans sur la foule depuis le cœur de la fête, soirées et concerts sont tous le sel du film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cette plongée dans l'ivresse noctambule est brillamment mise en scène. Entre drame et euphorie, Van Groeningen sait très bien filmer la matière humaine, le désir de liberté et l'anarchie de la fête. (...) Seulement (...) le film pâtit d'un scénario prévisible.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Il sait, grâce à un montage nerveux, une excellente bande originale (...) et des acteurs tout en fêlures, en transformer l’atmosphère (...). Mais, trop long, le film s’attarde parfois dans la vulgarité et émousse la pertinence de ses personnages dans l’overdose qui semble le contaminer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le plus réussi n’en reste pas moins le casting, réunion d’une troupe impétueuse, qui parfois égare ses personnages secondaires en chemin. Elle est emmenée par deux acteurs épatants, familiers des théâtres flamands : Stef Aerts, qui accomplit la performance de jouer avec un œil fermé, et le truculent Tom Vermeir.
De "Belgica", il ne reste, à la fin de la projection, logiquement, que le collage d'images, de sons et de sensations que l'on conserve au bout d'une nuit d'ivresse.
Ce qui impressione ici, ce n'est pas tant un scénario plutôt balisé (...) que la virtuosité de la mise en scène, qui rend compte de la folie et de l'énergie du lieu.
Manifeste d’un cinéma flamand accessible à tous, conte moral hédoniste… Belgica joue modestement sur beaucoup de tableaux. Trop, peut-être… N’en demeure pas moins pourtant un film d’une extrême fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
D’un côté, la boîte est un succès, un lieu de bacchanale couru. De l’autre, les frères s’opposent avec fracas. Cet antagonisme permanent mine le film, car il en constitue presque l’unique carburant dramatique. Bref, une conception trop binaire, malgré une indéniable énergie et une superbe bande originale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Tout ce que le spectateur prévoit survient. Il n’y a d’étonnements que pour les personnages. Le cours tumultueux se présente comme un long fleuve qui s’écoule pendant plus de deux heures sans jamais sortir d’un lit creusé avec plus d’application que d’invention.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
S’il est indéniable qu’un frémissement tellurique parcourt le cinéma flamand, en passe d’éclipser le wallon, on est plus impressionné par les excès crash de Koen Mortier (Ex Drummer) ou policiers de Michaël R. Roskam (Bullhead), que par la vulgarité larmoyante de VanGroeningen qui, comme dans Alabama Monroe, tente d’allier mélo et furia musicale.
Car ici on quête désespérément la traînée d’une recherche esthétique et une idée du rock’n’roll qui ne carburent à vide sous le barouf racoleur des procédés employés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Un défi brillamment relevé.
Ecran Large
D'un récit classique, Felix Van Groeningen tire une fable habitée, cruelle et euphorisante, sublimée par la partition de Soulwax.
Franceinfo Culture
Magnifiquement soutenu par la musique de Soulwax, "Belgica" est sans doute le film le plus personnel du réalisateur, qui y a injecté beaucoup de ses souvenirs de noctambule gantois.
Gala
"Belgica" reste pour Felix Van Groeningen une sorte d’anti "Studio 54", le film de Mark Christopher sur le club mythique de la 54e rue à New York : surtout pas lisse, surtout pas glamour, un endroit fou. Comme on les aime.
Le Dauphiné Libéré
Un film fort, porté par une mise en scène aussi intense que l’interprétation et que la bande-son.
Les Fiches du Cinéma
Après le pur mélodrame, Felix van Groeningen livre le portrait à la fois dynamique et désenchanté d'une fratrie rongée par le succès et la perte de ses idéaux.
Ouest France
Un film exaltant et lucide.
Première
La générosité de FVG, son sens du portrait, sa vision d’un cinéma total emportent néanmoins facilement l’adhésion.
TF1 News
Felix Van Groeningen a un peu la main lourde pour dépeindre les relations fraternelles. En revanche, son film, électrisé par l'extraordinaire BOF de Soulwax, communique une énergie irrésistible, suivant l'évolution monstre d'un café-concert en club house, avec un art consommé de ce que John Waters appelle le «bon mauvais goût».
Télérama
Comme dans une fresque à la Coppola ou à la Brian De Palma, on voit deux membres d'une même famille s'opposer, s'engueuler, se trahir. Ces soubresauts romanesques, brillants et mélancoliques transforment les êtres et les lieux.
Critikat.com
Mis en scène avec emphase, renforts de lumières, de basses et de gros plans sur la foule depuis le cœur de la fête, soirées et concerts sont tous le sel du film.
L'Express
Cette plongée dans l'ivresse noctambule est brillamment mise en scène. Entre drame et euphorie, Van Groeningen sait très bien filmer la matière humaine, le désir de liberté et l'anarchie de la fête. (...) Seulement (...) le film pâtit d'un scénario prévisible.
La Croix
Il sait, grâce à un montage nerveux, une excellente bande originale (...) et des acteurs tout en fêlures, en transformer l’atmosphère (...). Mais, trop long, le film s’attarde parfois dans la vulgarité et émousse la pertinence de ses personnages dans l’overdose qui semble le contaminer.
Le Journal du Dimanche
Le plus réussi n’en reste pas moins le casting, réunion d’une troupe impétueuse, qui parfois égare ses personnages secondaires en chemin. Elle est emmenée par deux acteurs épatants, familiers des théâtres flamands : Stef Aerts, qui accomplit la performance de jouer avec un œil fermé, et le truculent Tom Vermeir.
Le Monde
De "Belgica", il ne reste, à la fin de la projection, logiquement, que le collage d'images, de sons et de sensations que l'on conserve au bout d'une nuit d'ivresse.
Positif
(Un) scénario à la fois ténu et convenu, qui jamais ne parvient à rendre ses personnages attachants ni, surtout, à faire oublier ses modèles.
Studio Ciné Live
Ce qui impressione ici, ce n'est pas tant un scénario plutôt balisé (...) que la virtuosité de la mise en scène, qui rend compte de la folie et de l'énergie du lieu.
aVoir-aLire.com
Manifeste d’un cinéma flamand accessible à tous, conte moral hédoniste… Belgica joue modestement sur beaucoup de tableaux. Trop, peut-être… N’en demeure pas moins pourtant un film d’une extrême fraîcheur.
L'Humanité
D’un côté, la boîte est un succès, un lieu de bacchanale couru. De l’autre, les frères s’opposent avec fracas. Cet antagonisme permanent mine le film, car il en constitue presque l’unique carburant dramatique. Bref, une conception trop binaire, malgré une indéniable énergie et une superbe bande originale.
L'Obs
Tout ce que le spectateur prévoit survient. Il n’y a d’étonnements que pour les personnages. Le cours tumultueux se présente comme un long fleuve qui s’écoule pendant plus de deux heures sans jamais sortir d’un lit creusé avec plus d’application que d’invention.
Les Inrockuptibles
S’il est indéniable qu’un frémissement tellurique parcourt le cinéma flamand, en passe d’éclipser le wallon, on est plus impressionné par les excès crash de Koen Mortier (Ex Drummer) ou policiers de Michaël R. Roskam (Bullhead), que par la vulgarité larmoyante de VanGroeningen qui, comme dans Alabama Monroe, tente d’allier mélo et furia musicale.
Libération
Car ici on quête désespérément la traînée d’une recherche esthétique et une idée du rock’n’roll qui ne carburent à vide sous le barouf racoleur des procédés employés.