Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Plutôt que de montrer les choses telles qu’elles sont concrètement, ou de plaquer sur les ouvriers un discours politique, le film esquisse une idée de ce que peut être le travail en usine, simplement et sans simplisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Magnifique titre incantatoire pour cette nouvelle expérimentation du Québécois Denis Côté, proposant une plongée dans une usine en tant qu'entité quasi monacale, avec son rythme, ses lois une forme de dévotion… Que la magie opère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
"Que ta joie demeure" est d'une belle facture, fragile et solennelle (...) Avec ce film fragile et sensible, Denis Côté confirme la permanence d'une oeuvre atypique.
Transfuge
par Louis Séguin
Mécanique et gracieux.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Cet humour et cette distance par le texte évitent au film l’écueil du documentaire d’observation qui se résumerait à la visite un peu obscène d’une caméra-artiste parmi les ouvriers.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Loin des poncifs militants, "Que ta joie demeure" formule en effet des hypothèses atypiques sur le travail, et Denis Côté reste un observateur hors pair, pointilleux comme un orfèvre et malicieux comme un enfant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Sandrine Marques
Le plus expérimental des cinéastes canadiens revient avec une allégorie sur le travail. Avec son titre aux accents bibliques, cette « étude » (...) atteint une vraie transcendance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Ce captivant système formel est malheureusement vite entravé par l’irruption de personnages, hommes et femmes qui témoignent de leur rapport au travail dans des dialogues déclamatifs et bizarrement artificiels.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
Son film n'est pas un pamphlet, mais un constat, terrifiant dans sa banalité même. On est moins convaincu, en revanche, par les moments où le documentaire s'efface, où des comédiens énoncent des idées toutes faites sur le monde ouvrier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Eric Vernay
Répétitive, austère, cette rêverie arty se veut sans doute décalée. Elle ressemble plutôt à une installation vidéo absconse.
Critikat.com
Plutôt que de montrer les choses telles qu’elles sont concrètement, ou de plaquer sur les ouvriers un discours politique, le film esquisse une idée de ce que peut être le travail en usine, simplement et sans simplisme.
Les Fiches du Cinéma
Magnifique titre incantatoire pour cette nouvelle expérimentation du Québécois Denis Côté, proposant une plongée dans une usine en tant qu'entité quasi monacale, avec son rythme, ses lois une forme de dévotion… Que la magie opère.
Positif
"Que ta joie demeure" est d'une belle facture, fragile et solennelle (...) Avec ce film fragile et sensible, Denis Côté confirme la permanence d'une oeuvre atypique.
Transfuge
Mécanique et gracieux.
Cahiers du Cinéma
Cet humour et cette distance par le texte évitent au film l’écueil du documentaire d’observation qui se résumerait à la visite un peu obscène d’une caméra-artiste parmi les ouvriers.
Chronic'art.com
Loin des poncifs militants, "Que ta joie demeure" formule en effet des hypothèses atypiques sur le travail, et Denis Côté reste un observateur hors pair, pointilleux comme un orfèvre et malicieux comme un enfant.
Le Monde
Le plus expérimental des cinéastes canadiens revient avec une allégorie sur le travail. Avec son titre aux accents bibliques, cette « étude » (...) atteint une vraie transcendance.
Les Inrockuptibles
Ce captivant système formel est malheureusement vite entravé par l’irruption de personnages, hommes et femmes qui témoignent de leur rapport au travail dans des dialogues déclamatifs et bizarrement artificiels.
Télérama
Son film n'est pas un pamphlet, mais un constat, terrifiant dans sa banalité même. On est moins convaincu, en revanche, par les moments où le documentaire s'efface, où des comédiens énoncent des idées toutes faites sur le monde ouvrier.
Première
Répétitive, austère, cette rêverie arty se veut sans doute décalée. Elle ressemble plutôt à une installation vidéo absconse.