Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Conspué à Cannes l’an dernier tant par la critique que par les festivaliers, "Nos souvenirs" de Gus Van Sant vaut mieux que sa réputation.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Gala
par Marie Haynes
Le couple, sa solidité et sa monotonie sont au centre de ce long-métrage dans lequel Naomi Watts et Mathew McConaughey incarnent avec brio la fragilité de l’amour contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Transfuge
par Damien Aubel
Il y a quelque chose de platonicien dans "Nos souvenirs". Une façon de toucher à l'essence de l'émotion sur grand écran.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Il y a toujours des nuances aux grandes déceptions cinéphiles. (…) "Nos souvenirs" procure une mélancolie pénétrante qui n’est pas étrangère à son sujet.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Parti sur les chapeaux de roues, le film se traîne, perd son rythme, n'en finit plus de se terminer jusqu'à une issue mystique pour laquelle la production a visiblement disposé d'un budget violons illimité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
On a rarement connu Gus Van Sant plus maladroit, évoquant pesamment les traditions animistes du Japon et échouant à instiller un peu de subtilité à son film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur américain s’empare avec un respect infini des croyances et superstitions japonaises, dont les esprits errants appelés tamashi, pour évoquer le monde invisible qui bouleverse la perception de son héros occidental. Dommage qu’il verse un peu trop dans le pathos.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
(...) un mélo hollywoodien au scénario bancal. A l'instar de "Gerry" en 2002, dans lequel deux amies traversaient sans eau la Vallée de la Mort et remettait en question leur amitié, "La Forêt des songes", chargée en symbole mystico-irrationnels, est une authentique déception.
Le Monde
par Noémie Luciani
Dans les derniers instants de son agonie, le film râle, au sens propre, dans un jeu de voix off assénant des vérités inutiles, ou déjà entendues. Ce n’est pas une belle mort, en tout cas pas celle que cette belle ouverture méritait.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Curieux échec que ce mélodrame lénifiant, dont les motifs semblaient pourtant s'accorder avec les obsessions de Gus Van Sant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clémentine Gallot
Cette errance mortifère, filandreuse et désincarnée, constitue dans la filmographie de Gus Van Sant, qu’on a connu plus inspiré, un contrepoint décevant à la pulsion de mort élégiaque d’un "Gerry" autrement hanté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Formellement, le travail du chef opérateur Kasper Tuxen est à tomber, quand il joue sur la lumière et la brume et que l'on traverse la forêt au crépuscule. Tout cela ne suffit pas à sauver le film mais nous permet de croire encore dans le talent du réalisateur d'"Elephant". A condition qu'il choisisse mieux ses scripts à l'avenir...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Le niveau du fond est donc extrêmement bas, mais on fait parfois des chefs-d’oeuvres avec des sujets autrement plus faibles ou absurdes. Mais "La Forêt des songes" est bel et bien un affreux mélo pur sucre où Gus Van Sant se laisse aller à ses pires travers.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Difficile de retrouver dans ce film sentimentalo-spirituel l'univers du réalisateur d'"Elephant".
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Gus Van Sant s’enlise dans une histoire mièvre pleine de bons sentiments. Une réalisation bancale qui n’avait pas sa place en compétition officielle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Un naufrage intégral copieusement sifflé lors de la projection de presse.
L'Express
par Eric Libiot
Long, lent, lénifiant, le film n'arrive jamais à décoller.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C’est si bête que la tempête qui se lève bientôt sur la forêt passerait presque pour une bénédiction, mais abandonnez ici toute espérance, il n’y a rien à sauver.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un gros mélo en forme de flash-back sur les bonheurs et les malheurs de la vie : on a beau chercher, on ne reconnaît pas Gus Van Sant…
Le Parisien
par Alain Grasset
Ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Lorenzo Codelli
Telles ses marionnettes errantes dans ce Banzaï-Disneyland, Gus Van Sant essaye de détruire ici, de toutes façons possibles, ses propres qualités de narrateur et de poète visuel.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Bourré de clichés mystico-gnangnan, le récit fait du surplace, plombé par les monologues interminables de Matthew McConaughey.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Faire un film sur l'invisible est sans doute ce que les cinéastes rêvent le plus d'accomplir, mais sur cette matière éthérée par essence, où la cinématographie japonaise a quelques longueurs d'avance car une culture appropriée, l'auteur d'"Elephant" a la légèreté d'une baleine.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
Le récit laborieux (concocté par un certain Chris Sparling) alterne aberrantes scènes de survie dans la nature et flash-back pathétiques sur la vie de couple du héros.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Un pedigree trois étoiles pour un ratage et un embarras cosmiques.
20 Minutes
Conspué à Cannes l’an dernier tant par la critique que par les festivaliers, "Nos souvenirs" de Gus Van Sant vaut mieux que sa réputation.
Gala
Le couple, sa solidité et sa monotonie sont au centre de ce long-métrage dans lequel Naomi Watts et Mathew McConaughey incarnent avec brio la fragilité de l’amour contemporain.
Transfuge
Il y a quelque chose de platonicien dans "Nos souvenirs". Une façon de toucher à l'essence de l'émotion sur grand écran.
Cahiers du Cinéma
Il y a toujours des nuances aux grandes déceptions cinéphiles. (…) "Nos souvenirs" procure une mélancolie pénétrante qui n’est pas étrangère à son sujet.
Franceinfo Culture
Parti sur les chapeaux de roues, le film se traîne, perd son rythme, n'en finit plus de se terminer jusqu'à une issue mystique pour laquelle la production a visiblement disposé d'un budget violons illimité.
La Croix
On a rarement connu Gus Van Sant plus maladroit, évoquant pesamment les traditions animistes du Japon et échouant à instiller un peu de subtilité à son film.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur américain s’empare avec un respect infini des croyances et superstitions japonaises, dont les esprits errants appelés tamashi, pour évoquer le monde invisible qui bouleverse la perception de son héros occidental. Dommage qu’il verse un peu trop dans le pathos.
Le Journal du Dimanche
(...) un mélo hollywoodien au scénario bancal. A l'instar de "Gerry" en 2002, dans lequel deux amies traversaient sans eau la Vallée de la Mort et remettait en question leur amitié, "La Forêt des songes", chargée en symbole mystico-irrationnels, est une authentique déception.
Le Monde
Dans les derniers instants de son agonie, le film râle, au sens propre, dans un jeu de voix off assénant des vérités inutiles, ou déjà entendues. Ce n’est pas une belle mort, en tout cas pas celle que cette belle ouverture méritait.
Les Fiches du Cinéma
Curieux échec que ce mélodrame lénifiant, dont les motifs semblaient pourtant s'accorder avec les obsessions de Gus Van Sant.
Libération
Cette errance mortifère, filandreuse et désincarnée, constitue dans la filmographie de Gus Van Sant, qu’on a connu plus inspiré, un contrepoint décevant à la pulsion de mort élégiaque d’un "Gerry" autrement hanté.
Paris Match
Formellement, le travail du chef opérateur Kasper Tuxen est à tomber, quand il joue sur la lumière et la brume et que l'on traverse la forêt au crépuscule. Tout cela ne suffit pas à sauver le film mais nous permet de croire encore dans le talent du réalisateur d'"Elephant". A condition qu'il choisisse mieux ses scripts à l'avenir...
Première
Le niveau du fond est donc extrêmement bas, mais on fait parfois des chefs-d’oeuvres avec des sujets autrement plus faibles ou absurdes. Mais "La Forêt des songes" est bel et bien un affreux mélo pur sucre où Gus Van Sant se laisse aller à ses pires travers.
Voici
Difficile de retrouver dans ce film sentimentalo-spirituel l'univers du réalisateur d'"Elephant".
aVoir-aLire.com
Gus Van Sant s’enlise dans une histoire mièvre pleine de bons sentiments. Une réalisation bancale qui n’avait pas sa place en compétition officielle.
Charlie Hebdo
Un naufrage intégral copieusement sifflé lors de la projection de presse.
L'Express
Long, lent, lénifiant, le film n'arrive jamais à décoller.
L'Obs
C’est si bête que la tempête qui se lève bientôt sur la forêt passerait presque pour une bénédiction, mais abandonnez ici toute espérance, il n’y a rien à sauver.
Le Dauphiné Libéré
Un gros mélo en forme de flash-back sur les bonheurs et les malheurs de la vie : on a beau chercher, on ne reconnaît pas Gus Van Sant…
Le Parisien
Ennuyeux.
Positif
Telles ses marionnettes errantes dans ce Banzaï-Disneyland, Gus Van Sant essaye de détruire ici, de toutes façons possibles, ses propres qualités de narrateur et de poète visuel.
Studio Ciné Live
Bourré de clichés mystico-gnangnan, le récit fait du surplace, plombé par les monologues interminables de Matthew McConaughey.
Sud Ouest
Faire un film sur l'invisible est sans doute ce que les cinéastes rêvent le plus d'accomplir, mais sur cette matière éthérée par essence, où la cinématographie japonaise a quelques longueurs d'avance car une culture appropriée, l'auteur d'"Elephant" a la légèreté d'une baleine.
Télérama
Le récit laborieux (concocté par un certain Chris Sparling) alterne aberrantes scènes de survie dans la nature et flash-back pathétiques sur la vie de couple du héros.
VSD
Un pedigree trois étoiles pour un ratage et un embarras cosmiques.