Mon compte
    Still Alice
    Note moyenne
    4,0
    3589 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Still Alice ?

    270 critiques spectateurs

    5
    33 critiques
    4
    122 critiques
    3
    82 critiques
    2
    29 critiques
    1
    4 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Ann Val
    Ann Val

    78 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2015
    Un sujet difficile traité simplement, dans la vie d'un couple et de leurs enfants, dans leur profession, dans leur quotidien. Des fragments de vie qui s'émiettent, la disparition d'un être et ce qui le qualifie. C'est juste, sans tomber dans le mélo, avec une Julianne Moore qui porte le film à bouts de bras. J'ai aimé mais il manque quand même un petit quelque chose car je trouve que les étapes s'enchaînent trop vite à mon goût. A voir, quoi qu'il en soit.
    Lili8163
    Lili8163

    21 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2015
    Je m'attendais à être submergée par une immense vague d'émotion et finalement rien ne s'est produit!
    Évidemment le sujet interpelle et la performance de Julianne Moore force l'admiration, sans jamais tomber dans un pathos attendu.
    Pour autant, il manque ce petit supplément d'âme au film qui ne m'a pas apporté ce que j'en attendais.
    Toute petite déception.
    Torrance1980
    Torrance1980

    15 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Il est toujours périlleux d’aborder le thème de la maladie à travers un film. La manière d’adopter et de traiter le sujet est toujours un exercice particulièrement dangereux. Trouver un juste milieu est sans doute la solution miracle, mais faut-t-il encore savoir tenir la cadence pendant toute la durée. Récemment « The Theory of everything » avait réussi (c’était d’ailleurs une de ses qualités) à remplir ce défi, trouvant un équilibre narratif subtil, presque sans fausse note.
    « Still Alice » propose de se pencher sur la maladie d’Alzheimer et de ses répercussions aussi bien, dans le milieu familial, que sur le malade lui-même. Evidemment, ce qui ressortait le plus au sujet de « Still Alice » s’était bien entendu la performance de Julianne Moore, lauréate d’un Oscar pour ce rôle. Curieusement, on entendait que très peu d’autres commentaires au sujet du film, peut-être était-ce un signe avant-gardiste sur ce que valait réellement ce « Still Alice ».
    Très rapidement pendant la séance, la raison première m’est apparue : ce film est aussi creux qu’un nid de poule !!! Alors oui la maladie c’est terrible, c’est un combat acharné, une expérience difficile et intense, mais est-il vraiment nécessaire de tirer sur la corde jusqu’à ce qu’elle se rompe ? Bien que la mise en scène se permet quelques effets inspirés et intéressants, le reste du temps, elle ne se contente que de laisser libre court aux jeux de ses acteurs, qui, il faut bien l’avouer, se présentent comme l’unique attraction du film. Pourquoi le réalisateur a cru bon d’alarmer encore plus les chaumières en arrosant son public de scènes toutes plus misérabilistes les unes que les autres ? Excepté, spoiler: une scène de discours
    poignante et intensément chargée en émotion où Julianne Moore démontre une fois de plus qu’elle est une des actrices les plus douée de sa génération, le réalisateur ne cesse de nous jeter en pâture l’infligeant spectacle de la dégradation d’un esprit et d’un corps. Là où « Intouchable » alliait brillement humour et drame, « Still Alice » ne propose que très peu de légèreté. Son fil conducteur n’est qu’une déchéance d’effets dramatiques, de scènes de ménages recyclées, donnant un aspect presque automate à la narration qui vient s’engluer dans une profonde amertume redondante.
    Après, on aime ou on n’aime pas, ce genre de film plaît à une majorité grâce à son sujet sensible. « Still Alice » est ancré dans un format particulièrement réaliste et intimiste, ce qui fonctionne très souvent au cinéma. Il ne marquera sans doute pas les mémoires, ce qui tout bien réfléchi est assez amusant pour un film traitant de l’Alzheimer.
    Joce2012
    Joce2012

    177 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2015
    Très bon film, très émouvant par son interprétation, très touchant aussi quand on est concerné par cette maladie par quelqu'un de sa famille, très bien à voir
    Nico591
    Nico591

    40 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 juillet 2015
    Une Julianne Moore épatante pour un film qui décrit avec pudeur et sensibilité l'irruption de la maladie dans une famille.
    Sans tomber dans le pathos et les effluves de larmes, le film réussit très bien à dépeindre le lent déclin que provoque cette maladie, et les dommages collatéraux qu'elle provoque.
    Dommage cependant que la seconde partie du film retombe un peu, et que les autres personnages soient trop secondaires et accessoires dans le scenario.
    Cine vu
    Cine vu

    125 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2015
    Alice au pays d’Alzheimer

    Difficile d’imaginer perdre tous nos repères, tous nos souvenirs bons ou mauvais. Alice est diagnostiquée pour la maladie d’Alzheimer beaucoup trop jeune et la maladie gagne très vite du terrain.

    La force du film c’est l’interprétation saisissante de Julianne Moore. La lumière dans ses yeux s’éteint un peu chaque jour, comme si son âme se faisait la malle, elle lutte quotidiennement pour rester parmi les siens mais l’esprit s’évade et le reste avec. Alors, malgré un courage exemplaire et une rigueur quotidienne, la maladie va remporter sa triste victoire.

    Alice est très entourée; un mari exemplaire jusqu’à un certain point et trois enfants différents; mais un seul, et c’est une surprise, sera vraiment son seul vrai soutien.

    Les dommages collatéraux dans ce genre drame, oublier est une chose mais être oublier en est une autre.

    Chouette participation de Kristen Stewart, toujours aussi étrangement belle et d’Alec Baldwin le Phénix qui sait, toujours, renaître de ses cendres…

    Un assez bon film, à voir pour la performance de Julianne Moore ,

    La maladie frappe aussi dans des milieux moins privilégiés et c’est sûrement moins édulcoré. Bref une bien triste histoire chez les Bobos.
    Raphaël O
    Raphaël O

    124 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2015
    Adapté du roman de Lisa Genova, ce drame abordant avec justesse la maladie et ses conséquences repose sur un scénario grave, émouvant et solidement écrit, et est porté par l'éblouissante prestation de Julianne Moore récompensée aux Oscars.
    Une œuvre bouleversante.
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2015
    Drame à la mise en scène ultra conventionnelle, « Still Alice » demeure malgré un scénario aux clichés faciles, un film extrêmement poignant autour d’un sujet douloureux. Cette bouleversante déchéance de cette femme atteinte d’une version précoce de la maladie d’Alzheimer est retranscrite avec une belle éloquence par une saisissante Julianne Moore, dont la performance a été saluée par un Oscar mérité. A ses côtés, il faut relever également la très bonne prestation de Kristen Stewart ainsi que celle plus effacée d’Alec Baldwin.
    virnoni
    virnoni

    93 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Cela aurait pu être "bien" (voire "très bien"!) rien que pour l'interprétation de Julianne Moore. Elle est comme le bon vin, on l'apprécie avec l'âge et elle devient juste meilleure d'année en année, alors que ses rôles peuvent paraître inaccessibles et difficiles. C'est un type à part d'actrice, particulier et magique. On apprend donc à l'apprécier et l'admirer. Elle ose, se met à nue (au propre comme au figuré selon les films) et expérimente avec maîtrise et immense talent. Le film s'est elle! Elle est ni pathos ni démonstrative. On a juste l'impression que sa déchéance est réelle et sa lutte pour sa survie mentale acharnée, alors que sa déchéance est inévitable et donc insupportable. Voilà pour le "bien" MAIS pour le reste, c'est assez plat et commun. Rien de neuf. Les seconds rôles sont passables. Encore une fois, on est souvent dans le cliché de la superbe famille de bobos New Yorkais, intellectuelle et toute jolie, remplie d'amour les uns pour les autres (ou presque avec les soeurs) qui va soutenir avec une telle patience et force cette maladie, presque sans jamais de heurts. Le cliché aussi provient du couple lui-même : Monsieur se jette dans le travail ok mais au fur et à mesure de la déchéance de son épouse, on ne sent pas qu'il percute qu'il la perd et devrait profiter de ses derniers instants de lucidité entre eux. C'est comme si presque rien n'avait changé dans son quotidien, malgré les quelques jolis moments passés ensemble (notamment dans le sublime maison de "campagne" remplies aussi de clichés!). La réalisation est assez "classieuse" mais un effet flouté ou brillant sur l'image accentue ce sentiment d'irréalité de l'ensemble, comme dans un (mauvais) rêve. On ressent comme une compensation par l'image (aseptisée donc) de la gravité du sujet traité. Le rendu est agaçant et renforce l'idée d'un téléfilm chic pour les après-midi de TF1! Deux moments survolent l'ensemble : le discours à la conférence Alzheimer. Le texte est magnifique, renforcé par le sentiment qu'il est bel et bien éphémère, comme le temps qu'il lui reste à être combattante, que la maladie la ronge et la tuera malgré son énergie et ces mots. C'est ici que l'actrice montre son immense talent : pas de démonstration, pas d'esbroufe, simple et vraie. On en revient encore et toujours à Julianne Moore : elle transcende tout et rend ce rôle, perdu à l'avance, crédible. Deuxième moment : quand l'héroïne (oui c'en est une!) se découvre à l'écran, expliquant alors à elle-même comment se suicider. Moment douloureux puisqu'on espère qu'elle y arrive! Maladie odieuse. Ce film fait presque espérer un miracle alors qu'il n'y en a aucun, la déchéance arrive à grand pas et il n'y a alors rien d'autre à faire que profiter des derniers instants de bonheurs. Film qui renvoie à la fugacité des choses et que nous ne sommes rien par rapport à la "nature". Pour preuve, la scène où Julianne Moore réveille son mari pour lui annoncer ses craintes, pas encore vérifiées pourtant par un médecin, elle lui hurle et elle hurle sa détresse de sentir qu'elle part déjà, qu'elle n'est déjà plus que l'ombre d'elle-même. Que la nature est déjà la plus forte, que nous ne sommes rien face à elle, y compris, bien paradoxalement, cette femme à l'esprit supérieur, qui aura passé toute sa vie à le faire travailler et le développer, qui croyait aux mots et à leur magie. Déchirant!
    Septième Sens
    Septième Sens

    77 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2015
    Je n’ai rien oublié, Une séparation, Se souvenir des belles choses, autant de films qui ont approché la maladie d’Alzheimer de manière sensible et souvent réussie. Aujourd’hui, c’est une femme d’une cinquantaine d’années qui est touchée par ce terrible trouble dans Still Alice. Professeur en linguistique, elle perd un peu plus chaque jour la mémoire des mots, des lieux et de son entourage…

    Scénario casse-gueule et sujette au piège perpétuel du pathos, les deux réalisateurs s’en tirent plutôt bien, excepté quelques scènes à la dramatisation obligatoire. En livrant un récit intimiste et pudique, Glatzer et Westmoreland offrent à Julianne Moore un rôle à la gestuelle complexe, oscillant entre regards absents et moments de lucidité. Accompagné de quelques notes de piano parfois inutiles, le récit plonge néanmoins le spectateur dans un quotidien qu’il n’a pas envie de connaître, et que le cinéma appréhende avec douceur.

    En opérant des plans serrés et une absence de profondeur de champ, la mise en scène nous fait presque entrer dans la tête d’Alice. Avec ses doutes et ses regrets, on comprend en quoi cette maladie est aussi terrifiante. D’une certaine manière, elle provoque la disparition de ce qui constitue un individu doué de conscience en annihilant ses souvenirs et sa raison d’être. Les deux réalisateurs touchent du doigt ce ressenti sans forcer le trait, mais sans non plus parvenir à créer des moments de cinéma mémorables.

    Si l’on peut noter l’importance de la famille (où les personnes qui restent à vos côtés ne sont pas toujours celles que l’on croit), c’est bien Julianne Moore qui est au centre de tout. Alors mérite-t-elle vraiment son Oscar ? Évidemment, car après avoir raflé l’interprétation à Cannes pour son rôle de neurasthénique dans Maps to the stars, la voie était tout ouverte. Depuis des années, l’actrice interprète des rôles qui lui ressemblent dans des œuvres hétérogènes (A Single Man, The Kids are allright, Crazy Stupid Love). A 54 ans, elle est arrivée au sommet, dans des films qui le sont souvent moins.
    Mondocine
    Mondocine

    71 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2015
    Drame humain bouleversant, Still Alice n’est pas un grand film de cinéma à proprement parler. D’un point de vue purement cinématographique, le film de Richard Glatzer est certes bien fait, mais il ne présentera aucun génie particulier qui viendrait le hisser au rang de grande œuvre définitive sur la question. Cousu avec habileté pour dresser un portrait réaliste de la maladie d’Alzheimer, il se présente comme une œuvre grand public répondant à tous les codes du drame poignant en canalisant le ressenti vers le vecteur qu’est l’émotion, privilégiant l’exposé facilement accessible par tous, à un ton plus jusqu’au-boutiste et emprunt d’une patte dominant son sujet. Ce qui le rend au final si fort et si déchirant, c’est la justesse permanente qui l’anime, la finesse affichée dans le rendu de certaines scènes, souvent les plus mineures d’ailleurs, saisies à vif avec intelligence et véracité. Porté par une Julianne Moore impressionnante d’abnégation, et bien entourée par des seconds rôles convaincants qui épaulent sa trajectoire (excellents Alec Baldwin en mari compatissant ou Kirsten Stewart en fille impliquée) Still Alice émeut, autant qu’il terrorise face à ce monstre redoutable. Richard Glatzer capte avec acuité ce que la maladie d’Alzheimer peut avoir de plus effrayant. Le combat contre soi-même, le combat pour rester présent, pour lutter contre la perte des repères et surtout la perte progressive de sa propre identité lentement effacée par la dégénérescence. Et ce sont les prémices qui affolent le plus, lorsque l’on est encore conscient du déclin, que de micro-instants où l’on se sent perdu, viennent provoquer la panique face à l’inéluctable.
    Romain C.
    Romain C.

    76 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2019
    Still Alice est un très beau film bouleversant donc touchant sur la maladie d’Alzheimer précoce dont une femme de cinquante ans est atteinte.
    Le film montre le début de la maladie puis sa progression et on voit cette femme diminuer de plus en plus pendant ces 1 heure 40.
    Un scénario très bon.
    Un dialogue solide avec d'excellents monologues.
    L'histoire ne possède pas vraiment de surprise mais est très belle.
    Alec Baldwin, Kristen Stewart, ... sont excellents mais Julianne Moore livre l'une de ses meilleurs performances qui lui a valut un oscar parmi d'autres récompenses qui sont amplements mérités.
    Un chef d'oeuvre d'émotion porté par une Julianne Moore indescriptible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 mai 2015
    Une Julianne Moore impressionnante ! Un film qui par le montage subtil joue des ellipses pour nous confronter aux syndromes d'alzheimer de cette femme/linguiste/mère
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    226 abonnés 2 804 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2015
    Sujet casse-gueule (l'issue étant malheureusement inévitable), traité ici avec justesse et retenue en insistant surtout sur le désarroi d'une femme confrontée à sa propre déliquescence. Still Alice évite de verser dans le sensationnalisme à tout crin et apporte un éclairage pertinent sur la façon dont Alzheimer est globalement perçu dans notre société. Bien sûr, Julianne Moore cannibalise l'écran et emporte l'adhésion, mais l'ensemble du casting est aussi à créditer d'une bonne performance. Ce n'est certes pas une révolution cinématographique dans le domaine du drame, on ne criera pas au génie devant la réalisation, mais Still Alice atteint son but avec un style quasi-documentaire par moments.
    Le Monde de Mel G
    Le Monde de Mel G

    26 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2015
    Julianne Moore est juste incroyablement touchante et convaincante dans ce film.Quand à Kristen Stewart,elle nous montre une autre facette de son immense talent.
    Par ailleurs si l'histoire est émouvante elle est également réaliste ce qui rend le film encore plus poignant et prenant.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top