Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Les courts métrages de Thomas Salvador constituaient depuis longtemps l’une des plus belles promesses du cinéma français. Promesse largement avec ce premier long, où brille un pur projet de mise en scène.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Merveilleux, prodigieux, sont à lire au sens propre: il y a de la magie chez Salvador, de la magie mais nulle esbroufe, juste un émerveillement face aux puissances du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par François Bégaudeau
[Un] film unique dans la morne plaine du cinéma mimétique.
20 Minutes
par Caroline Vié
Malgré quelques baisses de régime, ce petit film délicat plonge le spectateur dans un lac paisible de sentiments tendrement décalés. On se laisse séduire par ce héros lunaire démontrant, mine de rien, que le fantastique à la française peut trouver sa place en marge des grands studios hollywoodiens.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Vincent n'a pas d'écailles" revendique sa singularité, son côté artisanal. Pourtant, il est souvent aussi épatant que généreux.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Un sourire de contentement, un plaisir de spectateur à passer une heure et dix-huit minutes dans ce film, dans ce village du sud de la France et dans ses lacs et ses torrents, dans sa lumière de fin d’été magnifiquement filmée par Alexis Kavyrchine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Voilà un film tout en pleins et déliés, porté par un mélange de fantaisie et de rigueur qui le nimbe d'une sensualité champêtre et d'une intégrité admirables.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un premier film surprenant, qui invente un superhéros tout à fait naturel, avec une économie de moyens et une efficacité à faire pâlir Hollywood.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans les paysages somptueux des gorges du Verdon, Thomas Salvador enflamme l’imagination avec ce film singulier et son héros mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
"Vincent n'a pas d'écailles", le premier long-métrage de Thomas Salvador, est de ces perles dont le critique enthousiaste pourrait avoir envie de ne rien écrire. Sourire serait plus simple, et bien plus éloquent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Thomas Salvador, qui est aussi alpiniste, danseur, acrobate..., a mouillé sa chemise pour rendre ce personnage extrêmement vrai. Il semble qu'il a trouvé la potion magique. On souhaite à ce petit poisson de devenir grand.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Mineur mais ludique - et idéalement concis -, le premier film de Thomas Salvador suit la piste de son (pas tout à fait) super-héros pour prendre la clé des champs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Ce qui est beau au fil des turpitudes du récit, c’est la manière dont se dessine autour de Vincent un champ de force qui interdit l’approche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Avec "Vincent n’a pas d’écailles", le réalisateur français Thomas Salvador se met en scène dans la peau d’un être que l’eau rend plus fort. Il signe une œuvre jubilatoire et originale, qui agit comme une bouffée d’air frais.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Loic Tissot
ll faut 78 minutes, un million et demi d'euros et beaucoup de ténacité pour ce premier long-métrage, salue par le grand prix du jury du festival de Bordeaux Quand c'est bon, autant que cela se sache
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si le film estimpressionnant, c'est dans sa façon de se déployer loin avec peu de dialogues et sans esbroufe. On n'a sans doute jamais eu autant besoin de cette invitation à l'émerveillement
TF1 News
par Romain Le Vern
Présenté comme un bluff (premier film de super-héros made in France), ce coup d'essai possède un charme réel, dû en partie à son humeur spirituelle, à sa poésie accidentelle, à sa capacité à rebondir d'une scène à l'autre de manière acrobatique pour mieux désarmer le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Time Out Paris
par Céleste Lafarge
A la fois pleinement cohérent dans sa progression narrative, dans son ton et son atmosphère, et parsemé de séquences mémorables et autonomes, tour à tour émouvantes, poétiques ou ludiques, "Vincent n’a pas d’écailles", faux film de super-héros asocial, ressemble fort au coup d’envoi d’une carrière largement prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Vincent, dont la force décuple au contact de l'eau, s'éprend de Lucie. Original et attachant.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le super-héros occupe poétiquement l’espace provincial dans une comédie dramatique lacustre dont on aime les références et la singularité lunaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
La piste du super-héros nous égare : dans son mélange de maladresse et de grâce, dans sa puissance incontrôlée et finalement assez inutile, Vincent tient davantage du corps burlesque .
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une œuvre drolatique, qui célèbre la nature à la manière des anciens Grecs, mettant en scène un héros aussi magique que terre à terre, s’inscrivant dans le vierge et le vivace aujourd’hui. Réalisation sobre, sans effets spéciaux, dit-on, et peu de dialogues. Une économie de moyens presque bressonnienne…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mad Movies
par Laurent Duroche
Pas détestable. Mais sans point de vue affirmé, difficile de marquer les esprits.
Positif
par Ariane Allard
[L'humour] désamorce systématiquement la gravité du sujet, et en affaiblit la tension. (...) Nul naufrage pour autant: cette plongée singulière reste revigorante.
Première
par Gaël Golhen
Un film de super- héros low-fi, sans excès ni CGI, qui lorgne plus vers Buster que Michael (Keaton). C'est très stimulant au début, mais ça s'essouffle un peu rapidement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Le film est charmant, poétique, joliment désinvolte. Léger, aussi, mais léger au point d'en devenir impalpable, par moments. Une bulle...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Les courts métrages de Thomas Salvador constituaient depuis longtemps l’une des plus belles promesses du cinéma français. Promesse largement avec ce premier long, où brille un pur projet de mise en scène.
Les Inrockuptibles
Merveilleux, prodigieux, sont à lire au sens propre: il y a de la magie chez Salvador, de la magie mais nulle esbroufe, juste un émerveillement face aux puissances du cinéma.
Transfuge
[Un] film unique dans la morne plaine du cinéma mimétique.
20 Minutes
Malgré quelques baisses de régime, ce petit film délicat plonge le spectateur dans un lac paisible de sentiments tendrement décalés. On se laisse séduire par ce héros lunaire démontrant, mine de rien, que le fantastique à la française peut trouver sa place en marge des grands studios hollywoodiens.
CinemaTeaser
"Vincent n'a pas d'écailles" revendique sa singularité, son côté artisanal. Pourtant, il est souvent aussi épatant que généreux.
Critikat.com
Un sourire de contentement, un plaisir de spectateur à passer une heure et dix-huit minutes dans ce film, dans ce village du sud de la France et dans ses lacs et ses torrents, dans sa lumière de fin d’été magnifiquement filmée par Alexis Kavyrchine.
L'Obs
Voilà un film tout en pleins et déliés, porté par un mélange de fantaisie et de rigueur qui le nimbe d'une sensualité champêtre et d'une intégrité admirables.
Le Dauphiné Libéré
Un premier film surprenant, qui invente un superhéros tout à fait naturel, avec une économie de moyens et une efficacité à faire pâlir Hollywood.
Le Journal du Dimanche
Dans les paysages somptueux des gorges du Verdon, Thomas Salvador enflamme l’imagination avec ce film singulier et son héros mystérieux.
Le Monde
"Vincent n'a pas d'écailles", le premier long-métrage de Thomas Salvador, est de ces perles dont le critique enthousiaste pourrait avoir envie de ne rien écrire. Sourire serait plus simple, et bien plus éloquent.
Le Parisien
Thomas Salvador, qui est aussi alpiniste, danseur, acrobate..., a mouillé sa chemise pour rendre ce personnage extrêmement vrai. Il semble qu'il a trouvé la potion magique. On souhaite à ce petit poisson de devenir grand.
Les Fiches du Cinéma
Mineur mais ludique - et idéalement concis -, le premier film de Thomas Salvador suit la piste de son (pas tout à fait) super-héros pour prendre la clé des champs.
Libération
Ce qui est beau au fil des turpitudes du récit, c’est la manière dont se dessine autour de Vincent un champ de force qui interdit l’approche.
Metro
Avec "Vincent n’a pas d’écailles", le réalisateur français Thomas Salvador se met en scène dans la peau d’un être que l’eau rend plus fort. Il signe une œuvre jubilatoire et originale, qui agit comme une bouffée d’air frais.
Ouest France
ll faut 78 minutes, un million et demi d'euros et beaucoup de ténacité pour ce premier long-métrage, salue par le grand prix du jury du festival de Bordeaux Quand c'est bon, autant que cela se sache
Sud Ouest
Si le film estimpressionnant, c'est dans sa façon de se déployer loin avec peu de dialogues et sans esbroufe. On n'a sans doute jamais eu autant besoin de cette invitation à l'émerveillement
TF1 News
Présenté comme un bluff (premier film de super-héros made in France), ce coup d'essai possède un charme réel, dû en partie à son humeur spirituelle, à sa poésie accidentelle, à sa capacité à rebondir d'une scène à l'autre de manière acrobatique pour mieux désarmer le spectateur.
Time Out Paris
A la fois pleinement cohérent dans sa progression narrative, dans son ton et son atmosphère, et parsemé de séquences mémorables et autonomes, tour à tour émouvantes, poétiques ou ludiques, "Vincent n’a pas d’écailles", faux film de super-héros asocial, ressemble fort au coup d’envoi d’une carrière largement prometteuse.
Télé 2 semaines
Vincent, dont la force décuple au contact de l'eau, s'éprend de Lucie. Original et attachant.
aVoir-aLire.com
Le super-héros occupe poétiquement l’espace provincial dans une comédie dramatique lacustre dont on aime les références et la singularité lunaire.
Chronic'art.com
La piste du super-héros nous égare : dans son mélange de maladresse et de grâce, dans sa puissance incontrôlée et finalement assez inutile, Vincent tient davantage du corps burlesque .
L'Humanité
Une œuvre drolatique, qui célèbre la nature à la manière des anciens Grecs, mettant en scène un héros aussi magique que terre à terre, s’inscrivant dans le vierge et le vivace aujourd’hui. Réalisation sobre, sans effets spéciaux, dit-on, et peu de dialogues. Une économie de moyens presque bressonnienne…
Mad Movies
Pas détestable. Mais sans point de vue affirmé, difficile de marquer les esprits.
Positif
[L'humour] désamorce systématiquement la gravité du sujet, et en affaiblit la tension. (...) Nul naufrage pour autant: cette plongée singulière reste revigorante.
Première
Un film de super- héros low-fi, sans excès ni CGI, qui lorgne plus vers Buster que Michael (Keaton). C'est très stimulant au début, mais ça s'essouffle un peu rapidement.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le film est charmant, poétique, joliment désinvolte. Léger, aussi, mais léger au point d'en devenir impalpable, par moments. Une bulle...