Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Denis Villeneuve révolutionne le cinéma de science-fiction avec "Premier contact". Ce croisement entre "2001, l’odyssée de l’espace" de Stanley Kubrick (1968) et "Rencontres du 3e type" de Steven Spielberg, (1978) se révèle aussi novateur que bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
C'est élégant et captivant.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sans doute le plus poignant et le plus abouti de tous les films de Villeneuve.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Pas de baston donc, rien à voir avec les niaiseries bellicistes à la "Independence Day" ! Ces rencontres d’un autre type revêtent un caractère humaniste incitant à étreindre éperdument la vie. Carpe Diem, nous murmure cette œuvre bouleversante et majestueuse, à voir et à revoir.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) un drame intimiste d’une intelligence, d’une originalité, d’une délicatesse et d’une puissance émotionnelle rares.
Le Parisien
par Tanneguy De Kerpoisson
Denis Villeneuve derrière la caméra de cette sublime fable de science-fiction. Après s'être essayé au drame, avec "Incendies", et au thriller, avec "Prisoners" et "Sicario", le réalisateur canadien montre une nouvelle fois qu'il compte parmi les cinéastes les plus complets et talentueux de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Didier Allouch
Un film parfait. Pas une fausse note, une intelligence rare et un twist philosophique vertigineux.
Ouest France
par La Rédaction
Denis Villeneuve livre un chef-d'oeuvre SF aussi émouvant qu'intelligeant.
Paris Match
par Yannick Vely
Comme une fleur longtemps repliée sur elle-même, la beauté du film éclôt lors de ce troisième acte mélodramatique, qui parvient, en un tour de passe narratif d’une audace inouïe, à repasser de l’infiniment grand à l’infiniment intime.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Villeneuve signe un film de science-fiction unique, qui n'aboutira pas à un futur fantasmé mais à une célébration du présent.
Voici
par La Rédaction
En attendant "Blade Runner 2", le réalisateur de "Sicario" se fait les dents sur la SF. Brillant.
CNews
par La Rédaction
Fort d’un très bon scénario, d’une vision claire de son film et d’une mise en scène intense, Villeneuve réussit le tour de force de s’en affranchir et de livrer sa propre vision de ce thème culte du septième art : le premier rendez- vous des humains avec des créatures venues de l’espace.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Ce sont là les vraies joies de l’imaginaire lié aux extraterrestres, dont le cinéma ne s’est finalement emparé qu’en de rares exemples (…), et dont ce petit film rappelle qu’elles ont toujours à voir avec l’addiction et le désir de projeter en boucle sur son écran intime l’instant du premier contact.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Denis Villeneuve trouve ici un point d’équilibre précieux entre son propre lyrisme, l’austérité surprenante de son scénario et les codes du genre, pour atteindre une grâce éblouissante (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Khadija Moussou
"Premier contact" est un film réussi car il parvient à aborder les aliens sans tomber dans les clichés mais en invoquant tout de même nos peurs les plus primaires (celle de l’inconnu notamment) tout en les sublimant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le réalisateur de "Sicario" nous livre une œuvre captivante et audacieuse, un divertissement aussi ambitieux qu'intelligent.
Filmsactu
par Veronica Sawyer
Premier Contact est la claque SF de 2016. Pour sa première expérience dans le genre, le québécois Denis Villeneuve nous offre un anti Independance Day intelligent et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
GQ
par Jacques Braunstein
Avec son jeu de flash-backs et de flash-forwards complexe, sa beauté hiératique et glacée, et ses allures vespérales, "Premier Contact" est un film âpre et pourtant touchant. Comme si Villeneuve était déjà en train de s’imprégner de l’ambiance dépressive et tragique de "Blade Runner" 2049.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Eric Libiot
Denis Villeneuve, Québécois brillant mais discret, fait partie de ces cinéastes susceptibles de rafraîchir Hollywood.
L'Obs
par François Forestier
Un film calme et élégant qui ressemble à une partie d’échecs. On attend avec impatience le prochain film de Villeneuve, "Blade Runner 2049", en octobre 2017.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Romain Le Vern
Un film de science-fiction haletant et métaphysique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce premier film de science-fiction de Denis Villeneuve confirme la virtuosité d’un cinéaste capable d’aborder tous les registres avec puissance et sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Denis Villeneuve aborde la science-fiction de façon quasi intimiste, préférant la suggestion visuelle aux effets spectaculaires. Ce n’est pas moins efficace.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Porté par une invention visuelle constante, le film de Denis Villeneuve parvient à renouveler l’un des plus vieux thèmes de la science-fiction, tout en plongeant dans la mélancolie du moment, celle qui porte le deuil de la mort à venir de notre monde.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Définitivement inclassable, Denis Villeneuve se joue de la SF pour offrir un mélodrame bouleversant.
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Souvent impressionnant mais avec une caractéristique moins sommaire, le résultat aurait pu atteindre des sommets d'émotion.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un beau film de science-fiction poétique et géopolitique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Déployant son intrigue en circonvolutions à partir de l’intimité de cette femme, de son destin singulier confronté au destin collectif, Denis Villeneuve livre une superbe méditation sur le temps et sa relativité, sur le chagrin et sur le deuil, sur le désir de vivre qui est aussi une acceptation de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
L'originalité de "Premier Contact" est de montrer comment le langage qu'elle décrypte avec difficulté finit peu à peu par l'imprégner, par façonner sa perception, sa pensée, ses rêves. On savait que toute langue était porteuse d'une culture. Ici, le langage découvert ouvre sur un bouleversement intérieur vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Exégèse spielbergo-kubrickienne habile, ce mélodrame fantastique prouve une nouvelle fois toute la polyvalence du cinéma de Denis Villeneuve. Une réussite malgré une certaine indolence dans l’épilogue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
"Premier Contact" perpétue au creux d’une écriture faussement sentimentaliste une sensible exégèse pleine de faconde de 2001, L’Odyssée de L’espace.
Le Point
par Philippe Guedj
"Premier contact", avec son petit ventre mou à mi-parcours et son traitement un poil trop janséniste/propret/hygiénique bio, nous tient à distance. On le contemple plus qu'on ne le vit, mais après tout, c'est aussi le genre de film où vous "viendez" avec vos propres bagages et l'expérience mérite d'être tentée par tous.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si "Premier contact" est d’abord un film sur le langage, que Noam Chomsky ne renierait pas, il se révèle également, dans un dernier acte étourdissant quoiqu’un peu bâclé – pour une fois, une demi-heure supplémentaire n’aurait pas été superflue –, une méditation sur le temps et son irréversibilité.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Ici rien n’interdit d’être ému, bien sûr, mais à condition de l’être autant devant la moindre pub Apple. C’est la même recette: un faisceau de vignettes assemblées comme un totem philosophique (tendance: self-improvement et détente zen) au moyen d’un pathos musical déchaîné.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Villeneuve, qui fait preuve d'une virtuosité peu commune, a visiblement songé à Rencontres du troisième type. Cette référence ne le déshonore pas. Personne ne lui reprochera de prendre l'affaire au sérieux. Mais le mystère finit par lasser un brin. Il y a des moments où l'on regrette le brave Martien de La Soupe aux choux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Guillaume Bonnet
(...) "Premier Contact" est certes la continuation d'un travail d'auteur subtil sur le récit (...). Mais il ne marque que les premiers pas hésitants de Villeneuve en territoire SF (...).
20 Minutes
Denis Villeneuve révolutionne le cinéma de science-fiction avec "Premier contact". Ce croisement entre "2001, l’odyssée de l’espace" de Stanley Kubrick (1968) et "Rencontres du 3e type" de Steven Spielberg, (1978) se révèle aussi novateur que bouleversant.
Charlie Hebdo
C'est élégant et captivant.
CinemaTeaser
Sans doute le plus poignant et le plus abouti de tous les films de Villeneuve.
La Voix du Nord
Pas de baston donc, rien à voir avec les niaiseries bellicistes à la "Independence Day" ! Ces rencontres d’un autre type revêtent un caractère humaniste incitant à étreindre éperdument la vie. Carpe Diem, nous murmure cette œuvre bouleversante et majestueuse, à voir et à revoir.
Le Journal du Dimanche
(...) un drame intimiste d’une intelligence, d’une originalité, d’une délicatesse et d’une puissance émotionnelle rares.
Le Parisien
Denis Villeneuve derrière la caméra de cette sublime fable de science-fiction. Après s'être essayé au drame, avec "Incendies", et au thriller, avec "Prisoners" et "Sicario", le réalisateur canadien montre une nouvelle fois qu'il compte parmi les cinéastes les plus complets et talentueux de ces dernières années.
Mad Movies
Un film parfait. Pas une fausse note, une intelligence rare et un twist philosophique vertigineux.
Ouest France
Denis Villeneuve livre un chef-d'oeuvre SF aussi émouvant qu'intelligeant.
Paris Match
Comme une fleur longtemps repliée sur elle-même, la beauté du film éclôt lors de ce troisième acte mélodramatique, qui parvient, en un tour de passe narratif d’une audace inouïe, à repasser de l’infiniment grand à l’infiniment intime.
Positif
Villeneuve signe un film de science-fiction unique, qui n'aboutira pas à un futur fantasmé mais à une célébration du présent.
Voici
En attendant "Blade Runner 2", le réalisateur de "Sicario" se fait les dents sur la SF. Brillant.
CNews
Fort d’un très bon scénario, d’une vision claire de son film et d’une mise en scène intense, Villeneuve réussit le tour de force de s’en affranchir et de livrer sa propre vision de ce thème culte du septième art : le premier rendez- vous des humains avec des créatures venues de l’espace.
Cahiers du Cinéma
Ce sont là les vraies joies de l’imaginaire lié aux extraterrestres, dont le cinéma ne s’est finalement emparé qu’en de rares exemples (…), et dont ce petit film rappelle qu’elles ont toujours à voir avec l’addiction et le désir de projeter en boucle sur son écran intime l’instant du premier contact.
Critikat.com
Denis Villeneuve trouve ici un point d’équilibre précieux entre son propre lyrisme, l’austérité surprenante de son scénario et les codes du genre, pour atteindre une grâce éblouissante (...).
Elle
"Premier contact" est un film réussi car il parvient à aborder les aliens sans tomber dans les clichés mais en invoquant tout de même nos peurs les plus primaires (celle de l’inconnu notamment) tout en les sublimant.
Femme Actuelle
Le réalisateur de "Sicario" nous livre une œuvre captivante et audacieuse, un divertissement aussi ambitieux qu'intelligent.
Filmsactu
Premier Contact est la claque SF de 2016. Pour sa première expérience dans le genre, le québécois Denis Villeneuve nous offre un anti Independance Day intelligent et émouvant.
GQ
Avec son jeu de flash-backs et de flash-forwards complexe, sa beauté hiératique et glacée, et ses allures vespérales, "Premier Contact" est un film âpre et pourtant touchant. Comme si Villeneuve était déjà en train de s’imprégner de l’ambiance dépressive et tragique de "Blade Runner" 2049.
L'Express
Denis Villeneuve, Québécois brillant mais discret, fait partie de ces cinéastes susceptibles de rafraîchir Hollywood.
L'Obs
Un film calme et élégant qui ressemble à une partie d’échecs. On attend avec impatience le prochain film de Villeneuve, "Blade Runner 2049", en octobre 2017.
LCI
Un film de science-fiction haletant et métaphysique.
La Croix
Ce premier film de science-fiction de Denis Villeneuve confirme la virtuosité d’un cinéaste capable d’aborder tous les registres avec puissance et sensibilité.
Le Dauphiné Libéré
Denis Villeneuve aborde la science-fiction de façon quasi intimiste, préférant la suggestion visuelle aux effets spectaculaires. Ce n’est pas moins efficace.
Le Monde
Porté par une invention visuelle constante, le film de Denis Villeneuve parvient à renouveler l’un des plus vieux thèmes de la science-fiction, tout en plongeant dans la mélancolie du moment, celle qui porte le deuil de la mort à venir de notre monde.
Les Fiches du Cinéma
Définitivement inclassable, Denis Villeneuve se joue de la SF pour offrir un mélodrame bouleversant.
Mad Movies
Souvent impressionnant mais avec une caractéristique moins sommaire, le résultat aurait pu atteindre des sommets d'émotion.
Studio Ciné Live
Un beau film de science-fiction poétique et géopolitique.
Sud Ouest
Déployant son intrigue en circonvolutions à partir de l’intimité de cette femme, de son destin singulier confronté au destin collectif, Denis Villeneuve livre une superbe méditation sur le temps et sa relativité, sur le chagrin et sur le deuil, sur le désir de vivre qui est aussi une acceptation de la mort.
Télérama
L'originalité de "Premier Contact" est de montrer comment le langage qu'elle décrypte avec difficulté finit peu à peu par l'imprégner, par façonner sa perception, sa pensée, ses rêves. On savait que toute langue était porteuse d'une culture. Ici, le langage découvert ouvre sur un bouleversement intérieur vertigineux.
aVoir-aLire.com
Exégèse spielbergo-kubrickienne habile, ce mélodrame fantastique prouve une nouvelle fois toute la polyvalence du cinéma de Denis Villeneuve. Une réussite malgré une certaine indolence dans l’épilogue.
La Septième Obsession
"Premier Contact" perpétue au creux d’une écriture faussement sentimentaliste une sensible exégèse pleine de faconde de 2001, L’Odyssée de L’espace.
Le Point
"Premier contact", avec son petit ventre mou à mi-parcours et son traitement un poil trop janséniste/propret/hygiénique bio, nous tient à distance. On le contemple plus qu'on ne le vit, mais après tout, c'est aussi le genre de film où vous "viendez" avec vos propres bagages et l'expérience mérite d'être tentée par tous.
Les Inrockuptibles
Si "Premier contact" est d’abord un film sur le langage, que Noam Chomsky ne renierait pas, il se révèle également, dans un dernier acte étourdissant quoiqu’un peu bâclé – pour une fois, une demi-heure supplémentaire n’aurait pas été superflue –, une méditation sur le temps et son irréversibilité.
Chronic'art.com
Ici rien n’interdit d’être ému, bien sûr, mais à condition de l’être autant devant la moindre pub Apple. C’est la même recette: un faisceau de vignettes assemblées comme un totem philosophique (tendance: self-improvement et détente zen) au moyen d’un pathos musical déchaîné.
Le Figaro
Villeneuve, qui fait preuve d'une virtuosité peu commune, a visiblement songé à Rencontres du troisième type. Cette référence ne le déshonore pas. Personne ne lui reprochera de prendre l'affaire au sérieux. Mais le mystère finit par lasser un brin. Il y a des moments où l'on regrette le brave Martien de La Soupe aux choux.
Première
(...) "Premier Contact" est certes la continuation d'un travail d'auteur subtil sur le récit (...). Mais il ne marque que les premiers pas hésitants de Villeneuve en territoire SF (...).