Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La résolution de l’intrigue est finalement le seul point faible de ce joyau sombre. Peut-être tout simplement parce que le film est si puissant qu’il était peut-être difficile de trouver un dénouement à la hauteur de cette œuvre magistrale…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Philippe Trétiack
La lourdeur de la Chine, sa bureaucratie, ses flics corrompus, ses femmes violentées et dangereuses percutent un sens de l’image exceptionnel. Plus que des turpitudes humaines, c’est bien de la démentielle accélération chinoise qu’il est question ici.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Bruno Icher
Comme si muni des pièces d’un vieux puzzle, décidément le motif le plus puissant du film, le cinéaste avait pu former une fresque flambant neuve, hargneuse et cafardeuse, d’où jaillit sans prévenir une nouvelle et étincelante nuance de noir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
par Simon Riaux
Aussi élégante que désespérée, cette enquête sur la condition humaine fascine et impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un excellent polar situé dans la Mandchourie minière de 1999, en même temps qu'un portrait sauvage, violent, cruel et absurde d'une Chine provinciale méconnue. Et surtout, une réalisation d'une effrayante beauté. Ça, c'est du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Diao Yinan compose un polar de grisaille crépusculaire (...), dans une lumière très chinoise dominée par les rouges et les verts. Ce thriller glacé est transfiguré par le jeu des comédiens, dans le décor d'une Chine oubliée, en proie à la nostalgie d'un passé détruit, où luit néanmoins un fond d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
De cette approche ultra-stylisée (...) émergent quelques désarçonnantes claques d'humour absurde qui rendent d'autant plus radicale et percutante cette glaçante critique sociale.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un polar complexe et mystérieux, dans une Chine à la nudité froide et glacée, où l’ombre et la lumière se partagent l’âme humaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) On ne lâche jamais la vision du cinéaste Diao Yinan sur la Chine d'aujourd'hui, épatante quand elle se fait tout à la fois sociale, documentaire et clairement artistique. Cela n'empêche pas son film de creuser le sillon d'atmosphères volontiers très sombres, angoisses et soupçons à la clé.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le réalisateur poursuit avec "Black Coal" un art qui mêle à merveille histoire personnelle et destin collectif, fable et chronique sociale. (...) il raconte finalement l'histoire d'un crime qui en cache un autre. Une atmosphère et un sujet légitimes pour un film qui en cache un autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Un impressionnant film noir dont la beauté, proportionnelle à la noirceur, devrait (pour reposer sur d'inventives idées de mise en scène) enthousiasmer le public.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Aussi haletant que plastiquement abouti, un thriller moderne et violent qui installe son auteur aux côtés des meilleurs cinéastes chinois.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un portrait au quotidien d'une Chine ordinaire, loin des clichés et des stéréotypes.
Paris Match
par Alain Spira
Plus proche d’un Wong Kar-wai que d’un Johnnie To, Diao Yi’nan signe un polar plus noir que du charbon, coloré par une photographie envoûtante. La vérité, comme les cadavres du film, est souvent dispersée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
A travers certains codes du genre, ce dernier film de Diao Yinan travaille davantage sur le plan émotionnel, et s'exprime au moyen d'une esthétique flamboyante, même dans la grisaille d'une ville de province sans séduction.
Première
par Gérard Delorme
Splendidement incarnée par l’actrice Gwei Lun Mei, elle contribue pour beaucoup à la réussite du film en y apportant la part de mystère et d’invraisemblance qui fait dire, comme dans Le Grand Sommeil, qu’il n’est pas essentiel d’avoir tout compris pour apprécier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
par Sophie Avon
(...) les codes du film noir sont ici renouvelés grâce à la mise en scène de Diao Yi’nan, dont la vigueur, la fermeté et l’ampleur exhument une fresque bien au-delà du polar.
TF1 News
par Romain Le Vern
Du cinéma beau et offensif comme on aimerait en voir partout et tout le temps.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Damien Aubel
"Black Coal" (...) retrace, sous le verni léché d'une splendide photo griffée d'insolites explosions de cocasseries visuelle, une violence qui se dissémine partout, infiltre les êtres et les choses. Diao Yi'nan confirme que même le surréalisme peut être made in China.
Télérama
par Pierre Murat
(...) l'originalité de cet envoûtant polar : son rythme étrange, presque alangui par moments. L'inquiétude sourd de chaque silence, de chaque regard. Et l'on a presque la sensation que le réalisateur nous demande de devenir des spectateurs actifs : à nous de combler les vides et les ellipses ; à nous de deviner, en fait, tout ce qu'il n'a voulu — ou pu — que suggérer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Constitué de brillants plans séquences, ce polar chinois n’est en rien une œuvre commerciale destinée à susciter de grands élans de ferveur populaire, mais il creuse une veine sociale enthousiasmante qui en dit long sur l’état de la Chine contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
"Black Coal", le plus abouti comme le plus ouvert des films de Diao Yinan, offre ainsi une lecture séduisante. Il capture une chose qui ne faisait qu’affleurer chez Jia Zhang-ke : l’impossible gestion des fantasmes dans une société qui isole.
Critikat.com
par Julien Marsa
Le film est constitué de petits blocs aux réussites variables, et ne donne sa pleine mesure que par intermittence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
20 Minutes
La résolution de l’intrigue est finalement le seul point faible de ce joyau sombre. Peut-être tout simplement parce que le film est si puissant qu’il était peut-être difficile de trouver un dénouement à la hauteur de cette œuvre magistrale…
Elle
La lourdeur de la Chine, sa bureaucratie, ses flics corrompus, ses femmes violentées et dangereuses percutent un sens de l’image exceptionnel. Plus que des turpitudes humaines, c’est bien de la démentielle accélération chinoise qu’il est question ici.
Libération
Comme si muni des pièces d’un vieux puzzle, décidément le motif le plus puissant du film, le cinéaste avait pu former une fresque flambant neuve, hargneuse et cafardeuse, d’où jaillit sans prévenir une nouvelle et étincelante nuance de noir.
Ecran Large
Aussi élégante que désespérée, cette enquête sur la condition humaine fascine et impressionne.
L'Obs
Un excellent polar situé dans la Mandchourie minière de 1999, en même temps qu'un portrait sauvage, violent, cruel et absurde d'une Chine provinciale méconnue. Et surtout, une réalisation d'une effrayante beauté. Ça, c'est du cinéma.
La Croix
Diao Yinan compose un polar de grisaille crépusculaire (...), dans une lumière très chinoise dominée par les rouges et les verts. Ce thriller glacé est transfiguré par le jeu des comédiens, dans le décor d'une Chine oubliée, en proie à la nostalgie d'un passé détruit, où luit néanmoins un fond d'humanité.
La Voix du Nord
De cette approche ultra-stylisée (...) émergent quelques désarçonnantes claques d'humour absurde qui rendent d'autant plus radicale et percutante cette glaçante critique sociale.
Le Dauphiné Libéré
Un polar complexe et mystérieux, dans une Chine à la nudité froide et glacée, où l’ombre et la lumière se partagent l’âme humaine.
Le Journal du Dimanche
(...) On ne lâche jamais la vision du cinéaste Diao Yinan sur la Chine d'aujourd'hui, épatante quand elle se fait tout à la fois sociale, documentaire et clairement artistique. Cela n'empêche pas son film de creuser le sillon d'atmosphères volontiers très sombres, angoisses et soupçons à la clé.
Le Monde
Le réalisateur poursuit avec "Black Coal" un art qui mêle à merveille histoire personnelle et destin collectif, fable et chronique sociale. (...) il raconte finalement l'histoire d'un crime qui en cache un autre. Une atmosphère et un sujet légitimes pour un film qui en cache un autre.
Les Fiches du Cinéma
Un impressionnant film noir dont la beauté, proportionnelle à la noirceur, devrait (pour reposer sur d'inventives idées de mise en scène) enthousiasmer le public.
Les Inrockuptibles
Aussi haletant que plastiquement abouti, un thriller moderne et violent qui installe son auteur aux côtés des meilleurs cinéastes chinois.
Ouest France
Un portrait au quotidien d'une Chine ordinaire, loin des clichés et des stéréotypes.
Paris Match
Plus proche d’un Wong Kar-wai que d’un Johnnie To, Diao Yi’nan signe un polar plus noir que du charbon, coloré par une photographie envoûtante. La vérité, comme les cadavres du film, est souvent dispersée.
Positif
A travers certains codes du genre, ce dernier film de Diao Yinan travaille davantage sur le plan émotionnel, et s'exprime au moyen d'une esthétique flamboyante, même dans la grisaille d'une ville de province sans séduction.
Première
Splendidement incarnée par l’actrice Gwei Lun Mei, elle contribue pour beaucoup à la réussite du film en y apportant la part de mystère et d’invraisemblance qui fait dire, comme dans Le Grand Sommeil, qu’il n’est pas essentiel d’avoir tout compris pour apprécier.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
(...) les codes du film noir sont ici renouvelés grâce à la mise en scène de Diao Yi’nan, dont la vigueur, la fermeté et l’ampleur exhument une fresque bien au-delà du polar.
TF1 News
Du cinéma beau et offensif comme on aimerait en voir partout et tout le temps.
Transfuge
"Black Coal" (...) retrace, sous le verni léché d'une splendide photo griffée d'insolites explosions de cocasseries visuelle, une violence qui se dissémine partout, infiltre les êtres et les choses. Diao Yi'nan confirme que même le surréalisme peut être made in China.
Télérama
(...) l'originalité de cet envoûtant polar : son rythme étrange, presque alangui par moments. L'inquiétude sourd de chaque silence, de chaque regard. Et l'on a presque la sensation que le réalisateur nous demande de devenir des spectateurs actifs : à nous de combler les vides et les ellipses ; à nous de deviner, en fait, tout ce qu'il n'a voulu — ou pu — que suggérer.
aVoir-aLire.com
Constitué de brillants plans séquences, ce polar chinois n’est en rien une œuvre commerciale destinée à susciter de grands élans de ferveur populaire, mais il creuse une veine sociale enthousiasmante qui en dit long sur l’état de la Chine contemporaine.
Cahiers du Cinéma
"Black Coal", le plus abouti comme le plus ouvert des films de Diao Yinan, offre ainsi une lecture séduisante. Il capture une chose qui ne faisait qu’affleurer chez Jia Zhang-ke : l’impossible gestion des fantasmes dans une société qui isole.
Critikat.com
Le film est constitué de petits blocs aux réussites variables, et ne donne sa pleine mesure que par intermittence.
L'Express
Voir le site de L'Express.