Note moyenne
2,5
25 titres de presse
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Closer
Après plusieurs millénaires d'hibernation, Apocalypse, qui est considéré comme le premier des mutants et était vénéré comme un dieu il y a des millénaires, se réveille avec la ferme intention de soumettre la population. Mais les X-Men ne se laisseront pas faire...
L'Ecran Fantastique
(...) un plaidoyer pour la différence gagnant en profondeur et en maturité comme si Bryan Singer se bonifiait avec l'âge.
Le Parisien
Après une trentaine de minutes pas franchement passionnantes qui nous baladent de l'Egypte ancienne à l'Allemagne, en passant par Auschwitz, Singer trouve un rythme d'enfer. Il multiplie les aventures plus dingues les unes que les unes, à coups d'effets spéciaux étonnants, à l'image de ses précédentes réalisations. Un régal.
Mad Movies
Pour autant, au cœur de ces 2h25, le plaisir est quasi total. Déjà parce que l’univers visuel est un authentique plaisir à contempler (...). Ensuite parce que Singer sait toujours ménager des séquences époustouflantes par leur tension dramatique et leurs idées visuelles (...).
Public
Toujours aussi impressionnant, le savoir-faire de Bryan Singer impose X-Men comme la plus fascinante des sagas de super-héros, bien plus troublante et intéressante que "Superman" ou "Batman".
Télé 2 semaines
Au final, X-Men : Apocalypse a de quoi rassasier l’appétit des amateurs de films de superhéros, avant que ces derniers ne retrouvent Wolverine (Hugh Jackman – aussi bien présent dans ce Apocalypse, rassurez-vous) pour son troisième et dernier long métrage en solo, prévu en avril 2017.
Filmsactu
Divertissant, spectaculaire, créatif et ambitieux dans sa première partie, notamment dans sa présentation des nouveaux mutants (Quicksilver est génial !), le film se perd malheureusement dans un final convenu. X-Men Apocalypse se maintient néanmoins au dessus de nombreuses productions du genre.
Gala
On passe un bon moment, mais on aurait aimé davantage palpiter devant le sort des héros et le péril qui menace le monde, finalement relégué au second plan.
Le Journal du Dimanche
Fluide, la narration équilibre émotions et effet spéciaux avec une noirceur et une radicalité propre à Bryan Singer, auteur du premier opus (2000). Des superhéros décidément attachants.
Metro
Efficace sans être révolutionnaire.
TF1 News
"X-men : Apocalypse" n'est sans doute pas le meilleur film de la franchise, mais il reste malgré tout un bon divertissement, auquel le plaisir de retrouver les personnages et l'esprit de la saga prend le pas sur les défauts.
Télé 7 Jours
Adieu audace et créativité : avec son histoire déjà vue et un méchant raté (...), "Apocalypse" s'avère le moins surprenant de la série, entre vrais moments de bravoure et grosse baisse de régime. Reste les effets spéciaux à couper le souffle qui assurent le show.
Voici
L'aventure est spectaculaire, même si les enjeux, sur le fond, sont moins passionnants, et qu'il vaut mieux avoir révisé les chapitres précédents.
CNews
Doté d'un scénario mince et d'un méchant sans nuances, ce nouvel opus laisse le spectateur sur sa faim.
L'Express
Pourtant mis en scène par Bryan Singer, qui fut autrefois inspiré, ce volet manque cruellement de personnalité et n'intéressera que les plus férus de la série - et ceux qui veulent savoir pourquoi le big boss des X-Men, incarné dans la première trilogie par Patrick Stewart, est devenu chauve.
La Voix du Nord
Gare au tourbillonnant déluge d’effets spéciaux.
Le Dauphiné Libéré
Une suite à forte surenchère spectaculaire : les fans ne s’en lasseront pas, les autres trouveront que ça se répète beaucoup…
Le Monde
"X-Men : Apocalypse" n’est pas un nanar, mais c’est une déception.
aVoir-aLire.com
Dans sa banalité, ce nouvel épisode frôle la catastrophe nucléaire. Mais que s‘est-il passé sur le tournage d’"Apocalypse", le mystère demeure. Bryan Singer signe ici le pire film de son illustre carrière.
L'Humanité
Le méchant en question, pire qu’un cadavre desséché, est un bibendum caoutchouteux indigne du budget pharaonique du film. Pas grand chose d’autre à signaler dans cette suite sans âme truffée d’explosions qui, comme dans tous les blockbusters hollywoodiens, remplacent les idées (une explosion = une idée).
Le Point
Dézingué à juste raison par la critique américaine, "Apocalypse" résonne comme un surplace de proportion biblique. Sonnera-t-il le glas de la saga ? Seuls les chiffres du box-office feront foi en la matière. Mais en l'état, il vient de jeter un nouveau froid sévère entre le genre du film de super-héros et des fans dont la patience ne sera pas infinie.
Les Inrockuptibles
Particulièrement abscons, le scénario ne semble avoir été écrit que pour placer un maximum de personnages, tandis que la direction artistique, d’une rare laideur, finit d’enterrer ce petit monde sous des tonnes de gravats numériques mal détourés.
Marianne
(...) greffant ses méditations historiques sur un scénario particulièrement débile, multipliant les personnages au détriment de l'unité d'action, préférant les clins d'oeil internes à la nouveauté du propos, (...) surenchérissant dans les destructions apocalyptiques (...), les combats (...) finissent par fatiguer (...).
Télérama
Et en avant pour la surenchère et la bouillie idéologique (nucléaire, fanatisme religieux, Auschwitz...). Même James McAvoy et Michael Fassbender (...) ont du mal à ne pas être ensevelis sous cette grosse pyramide de mégasuperpouvoirs.
VSD
Interminable et handicapé par une direction artistique d'une laideur sans nom, le film ne retrouve jamais la pertinence historique, le tempo ou le charme pop de ses deux prédécesseurs.