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27 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Marc Benda
[...] un grand film fantastique qui indique, grâce à l'imaginaire, des voies vers une possible réconciliation avec soi-même et vers l'ouverture réelle aux autres.
Le Parisien
par La Rédaction
La performance de Steve Carell, dans le double rôle de Hongancamp et du parachutiste se battant dans le village avec ses amies poupées, participe pour beaucoup à la réussite du film. Surtout, on n’a jamais vu pareil film issu d’un studio hollywoodien, tant il est sombre et explore la folie douce de cet homme psychologiquement abîmé et obsédé par les belles chaussures de femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
"Bienvenue à Marwen" construit sous nos yeux, à mesure, un récit aussi brillant et gigogne qu’il est tourmenté, jusqu’à dresser le portrait déchirant d’un de ces êtres en perdition dont Zemeckis a le secret.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Derrière ses prouesses graphiques inouïes au vu d'un budget limité (moins de 40 millions de dollars !), "Bienvenue à Marwen" résonne de façon très intime, tant il s'efforce de synthétiser scène après scène la carrière de son auteur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Bienvenue à Marwen se pare de bien beaux atours pour faire passer un vibrant message de tolérance qu’on découvre dans son dénouement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Robert Zemeckis transforme un tour de force technique en leçon de storytelling. Un film-somme doux, dur et dingue, en forme de célébration de l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Moins une ode à la différence qu’à la marginalité et l’expression de celle-ci, "Bienvenue à Marwen" constitue à la fois une réussite singulière et une passionnante profession de foi. Précieux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
En se penchant sur la figure d'un artiste poussé par un trauma ultra-violent à transcender sa condition de survivant, Robert Zemeckis livre un de ses films les plus inventifs, complexes et virtuoses.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un bouleversant récit.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Bienvenue à Marwen" réussit la gageure de traiter de la maladie mentale sous la forme d’un film d’action spectaculaire et troublant. Il atteint du même coup à une inventivité visuelle inédite en fusion avec son sujet. Il fait en même temps connaître au plus grand nombre un créateur unique qui a fait de sa folie, un art.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par A.L.F.
Etonnamment, le propos se révèle assez politique et engagé, explorant les thèmes de l'homosexualité et du féminisme. Captivant sur le plan visuel, "Bienvenue à Marwen" se révèle aussi beau que bon.
LCI
par Jérôme Vermelin
Une histoire vraie portée à l’écran avec humour et sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Au fil de ce cheminement douloureux vers une hypothétique guérison, le cinéaste livre une ode touchante aux vertus cathartiques et curatives de l’art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L'histoire de Mark Hogancamp, victime d'une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d'un village belge durant la Seconde Guerre mondiale, mettant en scène les figurines des habitants. On aime.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
L'exercice n'est jamais alourdi par la démonstration: le réalisateur se garde d'exploiter complaisamment les thèmes sociétaux en vogue que le film contient. Le long-métrage est aussi visuellement très créatif, avec l'usage de la «performance capture» pour représenter les poupées qui peuplent l'univers fantastique inventé par Mark.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un film hybride, d’une audace folle, résolument féministe, avec un Steve Carell bouleversant.
Le Point
par Philippe Guedj
Entre réel et dessin animé, gravité et poésie, l'illusion est sidérante (...)
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
La psychologie épaisse du récit ne nuit en rien à son usage inspiré de la motion capture, ni à la performance de Steve Carell.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Pierre Eisenreich
À travers cette illustration cinématographique et traumatique, Zemeckis remodèle la seconde moitié de l'histoire américaine des arts plastiques figuratifs du XXème siècle.
Télérama
par Frédéric Strauss
Hommage d’un rêveur à un autre rêveur, le film est une superbe et réjouissante explosion de magie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Une ode poignante à l'imaginaire.
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est certes émouvant et troublant (notamment les parties animées en 3D), mais la partie réelle du récit est néanmoins un peu succincte.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le va-et-vient systématique entre la réalité et le monde fantasmé lasse. Reste la fable d'actualité sur une Amérique infectée par la violence machiste, des fulgurances de mise en scène et le trouble esthétique de la performance capture mêlée aux changements d'échelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Par ce délicat appel du pied vers une esthétique queer, Bienvenue à Marwen pointe l'ambivalence fondamentale de l'imaginaire, qui peut tout autant se révéler une contrefaçon qu'un refuge pour les désirs singuliers et hors norme.
Ouest France
par Sylvestre Picard
On a du mal à éprouver une quelconque sympathie pour ce Mark qui sexualise à outrance ses poupées et développe une obsession perturbante pour sa voisine.
Première
par Elodie Bardinet
Robert Zemeckis perfectionne la performance capture avec brio mais peine à trouver le ton juste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce cinéma au 1/33e a-t-il une valeur méta ? C’est surtout très bêta.
L'Ecran Fantastique
[...] un grand film fantastique qui indique, grâce à l'imaginaire, des voies vers une possible réconciliation avec soi-même et vers l'ouverture réelle aux autres.
Le Parisien
La performance de Steve Carell, dans le double rôle de Hongancamp et du parachutiste se battant dans le village avec ses amies poupées, participe pour beaucoup à la réussite du film. Surtout, on n’a jamais vu pareil film issu d’un studio hollywoodien, tant il est sombre et explore la folie douce de cet homme psychologiquement abîmé et obsédé par les belles chaussures de femmes.
Libération
"Bienvenue à Marwen" construit sous nos yeux, à mesure, un récit aussi brillant et gigogne qu’il est tourmenté, jusqu’à dresser le portrait déchirant d’un de ces êtres en perdition dont Zemeckis a le secret.
Mad Movies
Derrière ses prouesses graphiques inouïes au vu d'un budget limité (moins de 40 millions de dollars !), "Bienvenue à Marwen" résonne de façon très intime, tant il s'efforce de synthétiser scène après scène la carrière de son auteur.
20 Minutes
Bienvenue à Marwen se pare de bien beaux atours pour faire passer un vibrant message de tolérance qu’on découvre dans son dénouement.
CinemaTeaser
Robert Zemeckis transforme un tour de force technique en leçon de storytelling. Un film-somme doux, dur et dingue, en forme de célébration de l’imaginaire.
Culturopoing.com
Moins une ode à la différence qu’à la marginalité et l’expression de celle-ci, "Bienvenue à Marwen" constitue à la fois une réussite singulière et une passionnante profession de foi. Précieux.
Ecran Large
En se penchant sur la figure d'un artiste poussé par un trauma ultra-violent à transcender sa condition de survivant, Robert Zemeckis livre un de ses films les plus inventifs, complexes et virtuoses.
Femme Actuelle
Un bouleversant récit.
Franceinfo Culture
"Bienvenue à Marwen" réussit la gageure de traiter de la maladie mentale sous la forme d’un film d’action spectaculaire et troublant. Il atteint du même coup à une inventivité visuelle inédite en fusion avec son sujet. Il fait en même temps connaître au plus grand nombre un créateur unique qui a fait de sa folie, un art.
L'Express
Etonnamment, le propos se révèle assez politique et engagé, explorant les thèmes de l'homosexualité et du féminisme. Captivant sur le plan visuel, "Bienvenue à Marwen" se révèle aussi beau que bon.
LCI
Une histoire vraie portée à l’écran avec humour et sensibilité.
La Croix
Au fil de ce cheminement douloureux vers une hypothétique guérison, le cinéaste livre une ode touchante aux vertus cathartiques et curatives de l’art.
Le Dauphiné Libéré
L'histoire de Mark Hogancamp, victime d'une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d'un village belge durant la Seconde Guerre mondiale, mettant en scène les figurines des habitants. On aime.
Le Figaro
L'exercice n'est jamais alourdi par la démonstration: le réalisateur se garde d'exploiter complaisamment les thèmes sociétaux en vogue que le film contient. Le long-métrage est aussi visuellement très créatif, avec l'usage de la «performance capture» pour représenter les poupées qui peuplent l'univers fantastique inventé par Mark.
Le Journal du Dimanche
Un film hybride, d’une audace folle, résolument féministe, avec un Steve Carell bouleversant.
Le Point
Entre réel et dessin animé, gravité et poésie, l'illusion est sidérante (...)
Les Fiches du Cinéma
La psychologie épaisse du récit ne nuit en rien à son usage inspiré de la motion capture, ni à la performance de Steve Carell.
Positif
À travers cette illustration cinématographique et traumatique, Zemeckis remodèle la seconde moitié de l'histoire américaine des arts plastiques figuratifs du XXème siècle.
Télérama
Hommage d’un rêveur à un autre rêveur, le film est une superbe et réjouissante explosion de magie.
Voici
Une ode poignante à l'imaginaire.
L'Humanité
C’est certes émouvant et troublant (notamment les parties animées en 3D), mais la partie réelle du récit est néanmoins un peu succincte.
L'Obs
Le va-et-vient systématique entre la réalité et le monde fantasmé lasse. Reste la fable d'actualité sur une Amérique infectée par la violence machiste, des fulgurances de mise en scène et le trouble esthétique de la performance capture mêlée aux changements d'échelle.
Le Monde
Par ce délicat appel du pied vers une esthétique queer, Bienvenue à Marwen pointe l'ambivalence fondamentale de l'imaginaire, qui peut tout autant se révéler une contrefaçon qu'un refuge pour les désirs singuliers et hors norme.
Ouest France
On a du mal à éprouver une quelconque sympathie pour ce Mark qui sexualise à outrance ses poupées et développe une obsession perturbante pour sa voisine.
Première
Robert Zemeckis perfectionne la performance capture avec brio mais peine à trouver le ton juste.
Cahiers du Cinéma
Ce cinéma au 1/33e a-t-il une valeur méta ? C’est surtout très bêta.