Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Couronné à Cannes d'un Prix du jury mérité, "The Lobster" est de loin le meilleur film de Yorgos Lanthimos.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le spectateur sourit souvent devant cette histoire fantastique à la férocité réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Au cinéma, l'étrangeté nécessite un minimum de talent et d'inventivité, deux qualités que Lanthimos, plutôt affuté sur le plan politique, possède visiblement.
CinemaTeaser
par Renan Cros
La force du film tient finalement dans cette étrange acuité, dans sa manière de transformer les blessures narcissiques amoureuses en un univers cinématographique retors et entêtant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Florence Ben Sadoun
Malgré son caractère complètement loufoque et original, cette fable trouvera une résonance en chaque spectateur…
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Lanthimos n'est pas très loin de Peter Watkins qui, en 1971, avait enflammé Cannes avec son "Punishment Park". A l'époque, les cibles vivantes étaient des pacifistes, opposés à la guerre du Vietnam. Aujourd'hui, les fugitifs ont simplement raté leur couple.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Aucune scène annonce la suivante, et pourtant le film marche. Au double sens du mouvement et de sa capacité de créer l'attention. La peur de ce monde artificiel dans lequel l'amour ne serait que fonction sociale crée un immense désir de cinéma. Bon dieu que c'est bon.
L'Obs
par La Rédaction
(...) L’ensemble est séduisant, tire parti des paysages d’Irlande et bénéficie d’une sélection musicale (Stravinsky, Chostakovitch, Beethoven, Nick Cave, Kylie Minogue) heureuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
À la différence de ses collègues en dystopie, Lanthimos professe un goût certain pour l’allégorie mâtinée d’humour noir et d’absurde. Son théâtre de la cruauté ne laissera pas indifférents ceux pour qui aller au cinéma équivaut à plonger dans les abîmes d’univers déroutants, si subversifs soit-ils.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un scénario original, un film qui ne ressemble à rien de connu, un grotesque satirique doublé d’une allégorie philosophique : cela valait bien le Prix du jury à Cannes.
Le Monde
par Thomas Sotinel
D'une drôlerie irrésistible, avant d'inspirer une tristesse inconsolable, "The Lobster", si on se laisse aller à l'expérience, n'est pas un film de tout repos.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cette fable troublante, également servie par Rachel Weisz, est pleine de sens sur la crainte des différences, mais aussi sur l'illusion de la liberté autant que de l'amour.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Yorgos Lanthimos confirme son goût pour l'absurde et signe une dystopie cruelle et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Laura Meyer
Le film opère une mue lorsque le rond-de-cuir incarné par Colin Farrell cherche à s’affranchir du diktat pour tenter d’accéder à l’amour véritable. "The Lobster" quitte alors les pesanteurs de la comédie grinçante pour s’élever vers une allégorie plus ample, d’une douloureuse beauté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ce n'est pas tant le message qui intéresse que la manière dont le réalisateur utilise les codes du cinéma pour triturer les souris de laboratoire que sont ses personnages.
TF1 News
par Romain Le Vern
Dans ce film au romantisme noir, fascinant et inquiétant jusqu'à l'hypnose, Yorgos Lanthimos ravive le surréalisme cher à Luis Buñuel en insistant comme lui sur la nécessité du casting de stars pour avoir les coudées franches tout en revendiquant un amour fou pour les eaux glacées du calcul égoïste.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
VSD
par Olivier Bousquet
Avec un sens du cadre méticuleux qui, marque des grands, ne tombe jamais dans l’afféterie, il réussit à faire rire et à instaurer une gêne certaine dans le même laps de temps .
Voici
par La rédaction
Un ovni total en deux parties. Surréaliste, déroutant, drôle, noir, cruel, romantique. Une expérience de cinéma.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bel habillage (décor, concept et mise en scène), mais trop arbitraire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur surfe clairement sur ses acquis. Malgré un scénario un peu vain, on s’amuse de sa démarche farouchement décalée.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Entre rire jaune et esthétisme glacé, une fable sur les sociétés de contrôle à la morbidité un peu appuyée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Tout le talent et les limites de Lanthimos : un univers riche mais clos, aussi fascinant qu'irritant.
Metro
par Marilyne Letertre
Surprendre, encore et toujours. Le pari est réussi. Si la coquille de "The Lobster" n’est qu’à moitié pleine, l’audace du projet ne fait aucun doute.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une idée originale et excitante, qui ouvre plein de perspectives drôles et inquiétantes. Mais le scénario ne tient pas la distance.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Si "The Lobster" s’impose peut-être comme le plus beau film du pape de la nouvelle vague grecque, difficile pour autant de ne pas lui reprocher son systématisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Écrasé par son ambition de satire éculée et moralisante, le récit ne tient plus que par une suite de réflexes et d’automatismes. Rien ne ranimera ce gloubi-boulga informe, sinon l’impression de voir Lánthimos se débattre dans le piège stérile qu’il a lui-même échafaudé.
Critikat.com
par Morgan Pokée
La générosité nouvelle de Lanthimos a bel et bien un prix : son cynisme aveuglant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Alexandre Jourdain
Reste que si Lanthimos brille à nouveau par d'excentriques et fulgurantes saillies, son système n'est pas loin de tourner à vide.
Libération
par Clémentine Gallot
Après une mise en place intrigante, la somptueuse dystopie vire rapidement au concept arty tant la traque s’enlise dans une deuxième partie qui témoigne de la difficulté à tenir cette ligne sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Un film qui débute par leur meurtre d’un âne par une femme en talons aiguille armée d’un six coups, ne peut pas être un mauvais film. (...) Malheureusement ce second chapitre, beaucoup moins maîtrisé, fait subir au film un temps de cuisson bien trop long. La sauce de l’absurde jusqu’au-boutisme ne prend plus, c’est cuit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
On reste au niveau de l'exercice de style mécanique (on brûle au grille-pain la main d'un onaniste), avec allusions pour cinéphiles (on crève un oeil, merci Buñuel).
Télérama
par Aurélien Ferenczi
On voit bien que son premier film anglophone, au casting luxueux, est une satire des injonctions au bonheur et à la vie à deux, prodiguées ad nauseam par la pub et autres images dominantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
Couronné à Cannes d'un Prix du jury mérité, "The Lobster" est de loin le meilleur film de Yorgos Lanthimos.
20 Minutes
Le spectateur sourit souvent devant cette histoire fantastique à la férocité réjouissante.
Charlie Hebdo
Au cinéma, l'étrangeté nécessite un minimum de talent et d'inventivité, deux qualités que Lanthimos, plutôt affuté sur le plan politique, possède visiblement.
CinemaTeaser
La force du film tient finalement dans cette étrange acuité, dans sa manière de transformer les blessures narcissiques amoureuses en un univers cinématographique retors et entêtant.
Elle
Malgré son caractère complètement loufoque et original, cette fable trouvera une résonance en chaque spectateur…
Franceinfo Culture
Lanthimos n'est pas très loin de Peter Watkins qui, en 1971, avait enflammé Cannes avec son "Punishment Park". A l'époque, les cibles vivantes étaient des pacifistes, opposés à la guerre du Vietnam. Aujourd'hui, les fugitifs ont simplement raté leur couple.
L'Express
Aucune scène annonce la suivante, et pourtant le film marche. Au double sens du mouvement et de sa capacité de créer l'attention. La peur de ce monde artificiel dans lequel l'amour ne serait que fonction sociale crée un immense désir de cinéma. Bon dieu que c'est bon.
L'Obs
(...) L’ensemble est séduisant, tire parti des paysages d’Irlande et bénéficie d’une sélection musicale (Stravinsky, Chostakovitch, Beethoven, Nick Cave, Kylie Minogue) heureuse.
La Voix du Nord
À la différence de ses collègues en dystopie, Lanthimos professe un goût certain pour l’allégorie mâtinée d’humour noir et d’absurde. Son théâtre de la cruauté ne laissera pas indifférents ceux pour qui aller au cinéma équivaut à plonger dans les abîmes d’univers déroutants, si subversifs soit-ils.
Le Dauphiné Libéré
Un scénario original, un film qui ne ressemble à rien de connu, un grotesque satirique doublé d’une allégorie philosophique : cela valait bien le Prix du jury à Cannes.
Le Monde
D'une drôlerie irrésistible, avant d'inspirer une tristesse inconsolable, "The Lobster", si on se laisse aller à l'expérience, n'est pas un film de tout repos.
Le Parisien
Cette fable troublante, également servie par Rachel Weisz, est pleine de sens sur la crainte des différences, mais aussi sur l'illusion de la liberté autant que de l'amour.
Les Fiches du Cinéma
Yorgos Lanthimos confirme son goût pour l'absurde et signe une dystopie cruelle et émouvante.
Première
Le film opère une mue lorsque le rond-de-cuir incarné par Colin Farrell cherche à s’affranchir du diktat pour tenter d’accéder à l’amour véritable. "The Lobster" quitte alors les pesanteurs de la comédie grinçante pour s’élever vers une allégorie plus ample, d’une douloureuse beauté.
Studio Ciné Live
Ce n'est pas tant le message qui intéresse que la manière dont le réalisateur utilise les codes du cinéma pour triturer les souris de laboratoire que sont ses personnages.
TF1 News
Dans ce film au romantisme noir, fascinant et inquiétant jusqu'à l'hypnose, Yorgos Lanthimos ravive le surréalisme cher à Luis Buñuel en insistant comme lui sur la nécessité du casting de stars pour avoir les coudées franches tout en revendiquant un amour fou pour les eaux glacées du calcul égoïste.
VSD
Avec un sens du cadre méticuleux qui, marque des grands, ne tombe jamais dans l’afféterie, il réussit à faire rire et à instaurer une gêne certaine dans le même laps de temps .
Voici
Un ovni total en deux parties. Surréaliste, déroutant, drôle, noir, cruel, romantique. Une expérience de cinéma.
L'Humanité
Bel habillage (décor, concept et mise en scène), mais trop arbitraire.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur surfe clairement sur ses acquis. Malgré un scénario un peu vain, on s’amuse de sa démarche farouchement décalée.
Les Inrockuptibles
Entre rire jaune et esthétisme glacé, une fable sur les sociétés de contrôle à la morbidité un peu appuyée.
Mad Movies
Tout le talent et les limites de Lanthimos : un univers riche mais clos, aussi fascinant qu'irritant.
Metro
Surprendre, encore et toujours. Le pari est réussi. Si la coquille de "The Lobster" n’est qu’à moitié pleine, l’audace du projet ne fait aucun doute.
Ouest France
Une idée originale et excitante, qui ouvre plein de perspectives drôles et inquiétantes. Mais le scénario ne tient pas la distance.
aVoir-aLire.com
Si "The Lobster" s’impose peut-être comme le plus beau film du pape de la nouvelle vague grecque, difficile pour autant de ne pas lui reprocher son systématisme.
Cahiers du Cinéma
Écrasé par son ambition de satire éculée et moralisante, le récit ne tient plus que par une suite de réflexes et d’automatismes. Rien ne ranimera ce gloubi-boulga informe, sinon l’impression de voir Lánthimos se débattre dans le piège stérile qu’il a lui-même échafaudé.
Critikat.com
La générosité nouvelle de Lanthimos a bel et bien un prix : son cynisme aveuglant.
L'Ecran Fantastique
Reste que si Lanthimos brille à nouveau par d'excentriques et fulgurantes saillies, son système n'est pas loin de tourner à vide.
Libération
Après une mise en place intrigante, la somptueuse dystopie vire rapidement au concept arty tant la traque s’enlise dans une deuxième partie qui témoigne de la difficulté à tenir cette ligne sur la longueur.
Paris Match
Un film qui débute par leur meurtre d’un âne par une femme en talons aiguille armée d’un six coups, ne peut pas être un mauvais film. (...) Malheureusement ce second chapitre, beaucoup moins maîtrisé, fait subir au film un temps de cuisson bien trop long. La sauce de l’absurde jusqu’au-boutisme ne prend plus, c’est cuit.
Positif
On reste au niveau de l'exercice de style mécanique (on brûle au grille-pain la main d'un onaniste), avec allusions pour cinéphiles (on crève un oeil, merci Buñuel).
Télérama
On voit bien que son premier film anglophone, au casting luxueux, est une satire des injonctions au bonheur et à la vie à deux, prodiguées ad nauseam par la pub et autres images dominantes.