Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ceux qui avaient apprécié le très beau "Wild" avec Reese Witherspoon, et "Dallas Buyers Club" avec Matthew McConaughey, retrouveront une atmosphère et des émotions similaires. Un itinéraire radical, non dénué d’humour, mais qui laisse toujours une place à l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
par Olivier Pélisson
Parabole sur la vacuité de la course matérialiste au confort et à la performance, ce portrait déglingué fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Le scénario de Bryan Sipe est original et plein de surprises. Outre Jake Gyllenhaal, qui confirme, film après film, la qualité et les possibilités insoupçonnées de son jeu qui font de lui l'un des meilleurs comédiens de sa génération, c'est tout le casting qui est remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le réalisateur traquant l’adhésion et l’émotion sans compter, la métaphore de la démolition nécessaire à l’acte de reconstruction n’est certes pas d’une extrême légèreté. Difficile pourtant de ne pas craquer sur un récit attrape-cœur chauffé à blanc par une chaloupante bande son rock’n roll et le jeu bipolaire de Jake Gyllenhall.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Hubert Lizé
Un itinéraire radical, non dénué d’humour, mais qui laisse toujours une place à l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Mehdi Omaïs
Libérateur, galvanisant, pop et touchant, "Demolition" construit un joli escalier qu’emprunteront tous ceux qui ont eu à remonter des pentes.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
La métaphore pourrait être un peu lourde, mais le réalisateur sait comme personne investir ce genre de sujet casse-gueule, avec son style particulier : spirituel, énergique, musical, syncopé et libre. Toutefois, le vrai « patron » du film n'est pas derrière la caméra, mais à l'image.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Le Canadien Jean-Marc Vallée nous convie à un burn-out d’anthologie avec ce drame plein de fantaisie et de liberté. Acteur virtuose, Gyllenhaal y frôle la folie comme un pilote de voltige fait du rase-mottes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par Florence Roman
Encore une performance incroyable de Jake Gyllenhaal filmée avec sensibilité par le réalisateur de "Dallas Buyers Club".
aVoir-aLire.com
par Jea-Rémi Ducourtioux
Ce qui aurait pu être un film dépressif, d’une tristesse abyssale, est ici un drame lumineux sur la sens de la vie. (…) Jake Gyllenhaal (…) y fait preuve d’un charisme hallucinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaroscope
par Étienne Sorin
Bryan Sipe, l’auteur d’un scénario en partie autobiographique, ne peut s’empêcher de faire machine arrière au dernier moment. Comme s’il était effrayé de sa propre audace, il démolit tout ce qu’il a patiemment et habilement construit avec un happy end sirupeux et pataud.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Nicolas Bauche
Le casting est un must cinq étoiles de stars au jeu brillant (...) mais il manque à l'ensemble l'étoiffe dont les rêves sont faits pour que la sauce cinéma prenne.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Dans sa première partie, son film baigne avec bonheur dans le même flou artistique que la vie de son personnage central. Puis, hélas, son récit rentre dan les clous.
Télérama
par Cécile Mury
À force de marteler sa métaphore de la guérison (déconstruire pour se reconstruire) et d'empiler les morceaux de bravoure artificiels, cette fable sur le deuil finit par frôler ce que Vallée cherchait à éviter : la banalité du mélo. Elle y échappe de justesse, grâce à la subtilité des interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
La naissance d’un homme. Pour Jake Gyllenhaal, impeccable.
Voici
par La Rédaction
Jake Gyllenhaal pourrait jouer un marteau-piqueur, on y croirait !
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Tiré vers le bas par quelques tics narratifs gênants et une tendance à la symbolisation à outrance, "Demolition" fait partie de ces films indés où la bizarrerie s'avère au final très sage, bien contenue dans une zone de normalité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Quentin Le Goff
Bâti sur un scénario très théorique, "Demolition" montre aussi les limites de la mise en scène de Jean-Marc Vallée et a donc beaucoup de mal à s’incarner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
L’idée de départ, celle de rompre avec une vie de yuppie pour renaître par l’envie de destruction, était intéressante, mais (…) le film reste malheureusement très en surface et avance à coups de stéréotypes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
Vallée sait tellement faire mieux, qu'on sort de là un peu déçu.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La rencontre d’une autre femme et de son fils va l’amener à se reconstruire, en démolissant tout ce qui faisait sa vie d’avant. Autour d’un personnage qui a quelque chose de l’Etranger de Camus, un film qui évolue plus en surface qu’en profondeur.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On aurait aimé que le film assume jusqu’au bout son regard cynique sur notre société. Reste l’interprétation à fleur de peau du toujours impeccable Jake Gyllenhaal.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Jean-Marc Vallée mène le récit assez vivement pourqu'il soit supportable malgré son inconsistance.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une énième histoire de rédemption où la pensanteur du récit l'emporte de loin sur la finesse du propos.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Mais l’ensemble reste gouverné par un improbable double programme mi-cynique, mi-cucul, où l’on peine à déceler la sincérité.
Première
par Benjamin Rozovas
"Demolition" est une sorte de cauchemar spiritualo-lourdingue assez typique du cinéma indépendant américain. (...) Dans son registre somnambule habituel, Jake Gyllenhaal signe une autre performance dingo. (...) À ce stade, on pourrait le regarder dans n’importe quoi. La preuve.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Au cas où on ne l'aurait pas compris, cette démolition est celle d'un homme qui cherche à se reconstruire en allant au fond des choses. Il a raison d'enfoncer le clou, mais le film a tort. Il devient ordinaire, illustratif, troque son vague à l'âme pour un épilogue sans doutes possibles.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
La voix off omniprésente, les dialogues démonstratifs ou les flash-back ne font qu’illustrer les états d’âme du jeune veuf avec la complexité d’un puzzle vingt-cinq pièces.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Vallée aime les personnages flippés, mais il ne va jamais jusqu’au bout de ses pulsions libertaires. Son ode hypocrite et ridicule à la marginalité s’achève sur un mode très gnangnan.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
Si vous voulez vous taper 101 minutes avec un Jake Gyllenhaal torturé (il souffre de ne pas souffrir, vous voyez ?), go. Sinon, vous pouvez regarder le papier peint chez vous, c’est kif-kif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Clémentine Gallot
(...) cette chronique aigrelette pétrie de tics indés semble vouée à ressasser, sans l’enrichir, le répertoire de l’aliénation corporate qui fustige, depuis "American Beauty", l’insidieux empoisonnement des espoirs de la classe moyenne américaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Comme dans ses précédents films, Jean-Marc Vallée considère les trajectoires de ses personnages comme des chemins de croix doloristes et, par-dessus tout, envisage chaque scène comme une pub pour les assurances. Pluie de symboles pénibles et de grandes leçons sur les choses de la vie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Parisien
Ceux qui avaient apprécié le très beau "Wild" avec Reese Witherspoon, et "Dallas Buyers Club" avec Matthew McConaughey, retrouveront une atmosphère et des émotions similaires. Un itinéraire radical, non dénué d’humour, mais qui laisse toujours une place à l’espoir.
Bande à part
Parabole sur la vacuité de la course matérialiste au confort et à la performance, ce portrait déglingué fait mouche.
Franceinfo Culture
Le scénario de Bryan Sipe est original et plein de surprises. Outre Jake Gyllenhaal, qui confirme, film après film, la qualité et les possibilités insoupçonnées de son jeu qui font de lui l'un des meilleurs comédiens de sa génération, c'est tout le casting qui est remarquable.
La Voix du Nord
Le réalisateur traquant l’adhésion et l’émotion sans compter, la métaphore de la démolition nécessaire à l’acte de reconstruction n’est certes pas d’une extrême légèreté. Difficile pourtant de ne pas craquer sur un récit attrape-cœur chauffé à blanc par une chaloupante bande son rock’n roll et le jeu bipolaire de Jake Gyllenhall.
Le Parisien
Un itinéraire radical, non dénué d’humour, mais qui laisse toujours une place à l’espoir.
Metro
Libérateur, galvanisant, pop et touchant, "Demolition" construit un joli escalier qu’emprunteront tous ceux qui ont eu à remonter des pentes.
Ouest France
La métaphore pourrait être un peu lourde, mais le réalisateur sait comme personne investir ce genre de sujet casse-gueule, avec son style particulier : spirituel, énergique, musical, syncopé et libre. Toutefois, le vrai « patron » du film n'est pas derrière la caméra, mais à l'image.
Paris Match
Le Canadien Jean-Marc Vallée nous convie à un burn-out d’anthologie avec ce drame plein de fantaisie et de liberté. Acteur virtuose, Gyllenhaal y frôle la folie comme un pilote de voltige fait du rase-mottes.
Public
Encore une performance incroyable de Jake Gyllenhaal filmée avec sensibilité par le réalisateur de "Dallas Buyers Club".
aVoir-aLire.com
Ce qui aurait pu être un film dépressif, d’une tristesse abyssale, est ici un drame lumineux sur la sens de la vie. (…) Jake Gyllenhaal (…) y fait preuve d’un charisme hallucinant.
Le Figaroscope
Bryan Sipe, l’auteur d’un scénario en partie autobiographique, ne peut s’empêcher de faire machine arrière au dernier moment. Comme s’il était effrayé de sa propre audace, il démolit tout ce qu’il a patiemment et habilement construit avec un happy end sirupeux et pataud.
Positif
Le casting est un must cinq étoiles de stars au jeu brillant (...) mais il manque à l'ensemble l'étoiffe dont les rêves sont faits pour que la sauce cinéma prenne.
Studio Ciné Live
Dans sa première partie, son film baigne avec bonheur dans le même flou artistique que la vie de son personnage central. Puis, hélas, son récit rentre dan les clous.
Télérama
À force de marteler sa métaphore de la guérison (déconstruire pour se reconstruire) et d'empiler les morceaux de bravoure artificiels, cette fable sur le deuil finit par frôler ce que Vallée cherchait à éviter : la banalité du mélo. Elle y échappe de justesse, grâce à la subtilité des interprètes.
VSD
La naissance d’un homme. Pour Jake Gyllenhaal, impeccable.
Voici
Jake Gyllenhaal pourrait jouer un marteau-piqueur, on y croirait !
CinemaTeaser
Tiré vers le bas par quelques tics narratifs gênants et une tendance à la symbolisation à outrance, "Demolition" fait partie de ces films indés où la bizarrerie s'avère au final très sage, bien contenue dans une zone de normalité.
Critikat.com
Bâti sur un scénario très théorique, "Demolition" montre aussi les limites de la mise en scène de Jean-Marc Vallée et a donc beaucoup de mal à s’incarner.
Culturopoing.com
L’idée de départ, celle de rompre avec une vie de yuppie pour renaître par l’envie de destruction, était intéressante, mais (…) le film reste malheureusement très en surface et avance à coups de stéréotypes.
L'Express
Vallée sait tellement faire mieux, qu'on sort de là un peu déçu.
Le Dauphiné Libéré
La rencontre d’une autre femme et de son fils va l’amener à se reconstruire, en démolissant tout ce qui faisait sa vie d’avant. Autour d’un personnage qui a quelque chose de l’Etranger de Camus, un film qui évolue plus en surface qu’en profondeur.
Le Journal du Dimanche
On aurait aimé que le film assume jusqu’au bout son regard cynique sur notre société. Reste l’interprétation à fleur de peau du toujours impeccable Jake Gyllenhaal.
Le Monde
Jean-Marc Vallée mène le récit assez vivement pourqu'il soit supportable malgré son inconsistance.
Les Fiches du Cinéma
Une énième histoire de rédemption où la pensanteur du récit l'emporte de loin sur la finesse du propos.
Les Inrockuptibles
Mais l’ensemble reste gouverné par un improbable double programme mi-cynique, mi-cucul, où l’on peine à déceler la sincérité.
Première
"Demolition" est une sorte de cauchemar spiritualo-lourdingue assez typique du cinéma indépendant américain. (...) Dans son registre somnambule habituel, Jake Gyllenhaal signe une autre performance dingo. (...) À ce stade, on pourrait le regarder dans n’importe quoi. La preuve.
Sud Ouest
Au cas où on ne l'aurait pas compris, cette démolition est celle d'un homme qui cherche à se reconstruire en allant au fond des choses. Il a raison d'enfoncer le clou, mais le film a tort. Il devient ordinaire, illustratif, troque son vague à l'âme pour un épilogue sans doutes possibles.
Cahiers du Cinéma
La voix off omniprésente, les dialogues démonstratifs ou les flash-back ne font qu’illustrer les états d’âme du jeune veuf avec la complexité d’un puzzle vingt-cinq pièces.
L'Humanité
Vallée aime les personnages flippés, mais il ne va jamais jusqu’au bout de ses pulsions libertaires. Son ode hypocrite et ridicule à la marginalité s’achève sur un mode très gnangnan.
L'Obs
Si vous voulez vous taper 101 minutes avec un Jake Gyllenhaal torturé (il souffre de ne pas souffrir, vous voyez ?), go. Sinon, vous pouvez regarder le papier peint chez vous, c’est kif-kif.
Libération
(...) cette chronique aigrelette pétrie de tics indés semble vouée à ressasser, sans l’enrichir, le répertoire de l’aliénation corporate qui fustige, depuis "American Beauty", l’insidieux empoisonnement des espoirs de la classe moyenne américaine.
TF1 News
Comme dans ses précédents films, Jean-Marc Vallée considère les trajectoires de ses personnages comme des chemins de croix doloristes et, par-dessus tout, envisage chaque scène comme une pub pour les assurances. Pluie de symboles pénibles et de grandes leçons sur les choses de la vie.