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Jean-Pierre Améris évite tout misérabilisme pour décrire le rude apprentissage de la première aux bons soins de la seconde dans un couvent du XIXe siècle.
Dommage que leur époustouflante prestation (Isabelle Carré et Ariana Rivoire) ne soit pas soutenue par une réalisation plus audacieuse, moins convenue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ce qui est beau (...), c'est l'obstination infatigable de l'éducatrice, ce rapport à la vie qui tient plus du sacré que du religieux et auquel Isabelle Carré prête son énergie de douce tornade.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Dauphiné Libéré
Une réalisation qui a la simplicité du dépouillement et une interprétation lumineuse.
La Croix
Le film donne d'autant plus envie de croire à son message qu'il est porté par l'interprétation très juste d'Ariana Rivoire, jeune comédienne néophyte.
Le Journal du Dimanche
Vous avez dit édifiant? Peut-être, en tout cas inspiré d'une histoire vraie et traité avec une belle sincérité par Jean-Pierre Améris (...).
Le Parisien
Plus qu'un film, une grâce et une foi en l'autre.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre humaniste et sensible, les scènes cocasses alternant avec les moments émouvants.
Ouest France
D'un sujet édifiant, Jean-Pierre Améris tire un récit d'une force bouleversante.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
20 Minutes
Jean-Pierre Améris évite tout misérabilisme pour décrire le rude apprentissage de la première aux bons soins de la seconde dans un couvent du XIXe siècle.
Le Monde
(...) "Marie Heurtin" donne à la voix off et à la musique une place un peu lourde, mais révèle la jeune Ariana Rivoire (Marie).
Paris Match
Dommage que leur époustouflante prestation (Isabelle Carré et Ariana Rivoire) ne soit pas soutenue par une réalisation plus audacieuse, moins convenue.
Positif
Jean-Pierre Améris aborde cette histoire en moraliste (...) sans tomber dans le didactisme.
Première
Ce qui est beau (...), c'est l'obstination infatigable de l'éducatrice, ce rapport à la vie qui tient plus du sacré que du religieux et auquel Isabelle Carré prête son énergie de douce tornade.
Télérama
Respectueux et tendre, cet éloge de la patience touche par ses partis pris esthétiques (...).