Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Surtout, cette adaptation du roman Juillet de sang de Joe R. Lansdale est une incroyable succession de vengeances, qui réserve bien des coups de théâtre et maintient un suspense total jusqu’au dénouement, sanglant. Virtuose !
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) "Cold in July", un délice de film pour les amateurs de culture populaire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Vincent Avenel
Apte à créer avec finesse une ambiance ténébreuse et originale, Jim Mickle oublie cependant d’y donner vie à ses personnages. Dommage, car le regard froid qu’il jette sur la société de la classe moyenne occidentale aurait pu être d’autant plus glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emanuel Dadoun
"Cold In July" est bourré de références, et Jim Mickle les assume et se les réapproprie avec une jouissance et un plaisir des plus naïfs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
GQ
par Toma Clarac
(...) "Cold in July", série B sanglante ficelée de main de maître par le jeune réalisateur Jim Mickle.
Gala
par Julie Dessagne
Absolument irrésistible (Don Johnson) en anti-héros dans le film à petit budget (mais haute qualité), "Cold in July", la star prouve à qui aurait pu en douter qu’elle en a encore sous la santiag.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Humanité
par Michaël Melinard
Inspirée du roman "Juillet de sang" de Joe R. Lansdale, cette oevure mêle brillamment humour et violence sur fond de collusion entre les autorités et le milieu.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un brave type est catapulté malgré lui dans un monde de corruption et de violence. Surtout n'en pas dire davantage, tellement ça rebondit. (...) So exciting, Disent les Ricains !
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Fort de son excellent casting (...), ce thriller mené de sang-froid a la radicalité, la noirceur, l’atmosphère et l’énergie de "No Country for Old Men" (2007), des frères Coen, pour évoquer le destin d’un innocent qui franchit la limite dans une Amérique surprotégée, armée jusqu’aux dents.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Dès les premières minutes de "Cold in July", son réalisateur, Jim Mickle, n’oublie pas, dans sa manière de cadrer, de monter et d’utiliser la musique, les leçons apprises pour ses trois précédents longs-métrages qui relevaient du cinéma d’épouvante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Cédric Delelée
Une bonne vieille série B redneck en salles, comme dans les années 80, ça ne se refuse pas.
Paris Match
par Christine Haas
Son [Don Johnson] excentricité apporte une touche d’humour à cette plongée glaçante dans l’âme humaine qui mélange le thriller et le gore, sans aucun sens moral.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(…) une plongée glaçante dans les tréfonds de l’âme humaine, captivant l’attention de l’amateur du cinéma de genre, qui y trouvera la panoplie d’émotions jubilatoires des meilleurs jalons de ce type de cinéma, avec promesse d’ultra violence et de séquences révoltantes, que l’on avale volontiers grâce à l’humour teinté de cynisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) "Cold in July" fonce avec élégance vers le sombre, le très sombre, et laisse poindre, sans doute un peu tard, le sujet caché de son film (...).
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
S'il perd la subtilité et la tristesse du roman, Jim Mickle signe un polar redneck souvent surprenant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Libération
par Guillaume Tion
Dans "Cold in July", Jim Mickle innove en faisant du neuf avec du vieux et compile de manière massive tout ce qui est, tout ce qui a fait la série B des années 80.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Très noir, humour compris, le film rappelle ceux que tournaient les frères Coen au début de leur carrière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Un épisode d'Hollywood Night crasseux et sanglant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Un film qui commence comme un solide et passionnant thriller, mais qui s’égare en route et vire à une bouillie tarantinesque.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Cold in July" est un polar-western baroque où les éclaboussures de formalisme giclent sur les santiags, une série B qui veut ostensiblement jouer en A.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un scénario bien maîtrisé avant de virer à la guignolade.
Positif
par Lorenzo Codelli
Cette histoire truculente de vengeances à la chaîne au Texas, en 1989, ressemble trop à de vieilles séries B ou des téléfilms moyens. L'Américain Jim Mockle (...) nous avait mieux habitués avec "We Are What We Are" ou "Mulberry Street".
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
On adore le film, tel qu'il est vendu, sur le papier. A l'écran, on déchante au bout de vingt minutes: Jim Mickle récite les films qu'il adore, veut rendre hommage aux cinéastes qu'il vénère, drague tous les genres et espère ainsi réaliser un bon gros film cool sur la violence.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La Rédaction
Un polar à l'humour noir et au look eighties, plutôt bien balancé, mais qui finit, hélas, en délire trash et gore poussif. Dommage...
Télé 2 semaines
Surtout, cette adaptation du roman Juillet de sang de Joe R. Lansdale est une incroyable succession de vengeances, qui réserve bien des coups de théâtre et maintient un suspense total jusqu’au dénouement, sanglant. Virtuose !
20 Minutes
(...) "Cold in July", un délice de film pour les amateurs de culture populaire.
Critikat.com
Apte à créer avec finesse une ambiance ténébreuse et originale, Jim Mickle oublie cependant d’y donner vie à ses personnages. Dommage, car le regard froid qu’il jette sur la société de la classe moyenne occidentale aurait pu être d’autant plus glaçant.
Culturopoing.com
"Cold In July" est bourré de références, et Jim Mickle les assume et se les réapproprie avec une jouissance et un plaisir des plus naïfs.
GQ
(...) "Cold in July", série B sanglante ficelée de main de maître par le jeune réalisateur Jim Mickle.
Gala
Absolument irrésistible (Don Johnson) en anti-héros dans le film à petit budget (mais haute qualité), "Cold in July", la star prouve à qui aurait pu en douter qu’elle en a encore sous la santiag.
L'Humanité
Inspirée du roman "Juillet de sang" de Joe R. Lansdale, cette oevure mêle brillamment humour et violence sur fond de collusion entre les autorités et le milieu.
La Voix du Nord
Un brave type est catapulté malgré lui dans un monde de corruption et de violence. Surtout n'en pas dire davantage, tellement ça rebondit. (...) So exciting, Disent les Ricains !
Le Journal du Dimanche
Fort de son excellent casting (...), ce thriller mené de sang-froid a la radicalité, la noirceur, l’atmosphère et l’énergie de "No Country for Old Men" (2007), des frères Coen, pour évoquer le destin d’un innocent qui franchit la limite dans une Amérique surprotégée, armée jusqu’aux dents.
Le Monde
Dès les premières minutes de "Cold in July", son réalisateur, Jim Mickle, n’oublie pas, dans sa manière de cadrer, de monter et d’utiliser la musique, les leçons apprises pour ses trois précédents longs-métrages qui relevaient du cinéma d’épouvante.
Mad Movies
Une bonne vieille série B redneck en salles, comme dans les années 80, ça ne se refuse pas.
Paris Match
Son [Don Johnson] excentricité apporte une touche d’humour à cette plongée glaçante dans l’âme humaine qui mélange le thriller et le gore, sans aucun sens moral.
aVoir-aLire.com
(…) une plongée glaçante dans les tréfonds de l’âme humaine, captivant l’attention de l’amateur du cinéma de genre, qui y trouvera la panoplie d’émotions jubilatoires des meilleurs jalons de ce type de cinéma, avec promesse d’ultra violence et de séquences révoltantes, que l’on avale volontiers grâce à l’humour teinté de cynisme.
Charlie Hebdo
(...) "Cold in July" fonce avec élégance vers le sombre, le très sombre, et laisse poindre, sans doute un peu tard, le sujet caché de son film (...).
CinemaTeaser
S'il perd la subtilité et la tristesse du roman, Jim Mickle signe un polar redneck souvent surprenant.
Libération
Dans "Cold in July", Jim Mickle innove en faisant du neuf avec du vieux et compile de manière massive tout ce qui est, tout ce qui a fait la série B des années 80.
Télérama
Très noir, humour compris, le film rappelle ceux que tournaient les frères Coen au début de leur carrière.
Ecran Large
Un épisode d'Hollywood Night crasseux et sanglant.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui commence comme un solide et passionnant thriller, mais qui s’égare en route et vire à une bouillie tarantinesque.
Les Inrockuptibles
"Cold in July" est un polar-western baroque où les éclaboussures de formalisme giclent sur les santiags, une série B qui veut ostensiblement jouer en A.
Ouest France
Un scénario bien maîtrisé avant de virer à la guignolade.
Positif
Cette histoire truculente de vengeances à la chaîne au Texas, en 1989, ressemble trop à de vieilles séries B ou des téléfilms moyens. L'Américain Jim Mockle (...) nous avait mieux habitués avec "We Are What We Are" ou "Mulberry Street".
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
On adore le film, tel qu'il est vendu, sur le papier. A l'écran, on déchante au bout de vingt minutes: Jim Mickle récite les films qu'il adore, veut rendre hommage aux cinéastes qu'il vénère, drague tous les genres et espère ainsi réaliser un bon gros film cool sur la violence.
Voici
Un polar à l'humour noir et au look eighties, plutôt bien balancé, mais qui finit, hélas, en délire trash et gore poussif. Dommage...