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33 critiques presse
Bande à part
par Emmanuel Raspiengeas
Avec une suprême élégance, James Gray met en scène un film épique d’un genre nouveau, où les héros ne s’expriment que par murmures, plongeant le spectateur dans une atmosphère cotonneuse, de celles qui nimbent les rêves les plus entêtants, d’une infinie douceur jusque dans les scènes de confrontations les plus violentes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Fabien Reyre
(...) James Gray atteint lui-même le sommet d’une filmographie passionnante, et peut-être la matrice de son œuvre à venir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Dans un décor somptueux, certaines scènes nous font penser à « Aguirre, la colère de Dieu », « Fitzcarraldo » voire « Apocalypse Now »… Tout simplement grandiose !
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par Toma Clarac
Avec "La Cité perdue de Z", James Gray signe un grand film d'aventure qui sublime sa vision du cinéma hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
"The Lost City of Z" redore fièrement le blason du cinéaste qui, tout en réalisant un film rebattant les cartes de ses obsessions, provoque un réel vertige (…) aussi bien dans sa propre filmographie que dans le cinéma américain contemporain.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un extraordinaire récit d’aventure, qui se transforme en quête de l’Absolu, porté par le souffle d’une réalisation elle-même tendue comme un défi à relever.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le destin d'un homme, la paternité, l'exploration de terres inconnues… Le film de James Gray explore magistralement ces thèmes. Une épopée intime où beauté, honneur et fidélité sont aux premiers plans.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Il serait dommage que les thuriféraires du James Gray new-yorkais ne le suivent pas sur les traces du colonel Percy Fawcett, car il y déploie maîtrise formelle et souffle épique épatants.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
"TheLost City of Z", bien que traversé d’un puissant souffle épique, nous convie plutôt à une aventure mentale, une dérivation hagarde renouant avec le motif privilégié du cinéma de James Gray : l’obsession virant à la folie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
(...) une odyssée généreuse, où les rêves enfantins, confrontés à la réalité, dérivent vers une apothéose inattendue. Une splendeur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Fausto Fasulo
L'aventure telle qu'on ne pensait plus la retrouver sur un écran de cinéma.
Paris Match
par Yannick Vely
Grand cinéaste, grand film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Allant d'ellipses en recommencements et filmant la jungle comme un au-delà du monde, James Gray suit le fil d'une vie qui se termine en mirage métaphysique. C'est magnifique.
Transfuge
par Damien Aubel
(James Gray) a ranimé la fibre du film d'aventures sous l'égide de Kipling (...) et de Coppola (...).
Télérama
par Louis Guichard
Aujourd'hui, le résultat, majestueux et subtil, déjoue les catégories existantes. Derrière son classicisme apparent, "The Lost City of Z" est un prototype.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
En gardant tout son génie intact, James Gray se réapproprie un genre tombé en désuétude pour nous offrir le magistral portrait d’un explorateur porté par sa soif d’aventure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Les aventures aussi dangereuses que passionnantes d’un homme dont le courage se teinte d’une bonne dose d’inconscience fascinent intensément.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Un cinéma raisonné, en demi-teintes trompeuses, qui répugne aux effets de manche et dont le classicisme semble presque suranné. Il y a une réelle beauté et un certain panache dans cette tenue, à une époque où il est difficile pour un auteur d’exister au-delà des effets de signature.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Quelque part entre Aguirre, la colère de Dieu de Werner Herzog et L’Etreinte du serpent de Ciro Guerra, le film de James Gray n’échappe pas complètement à certains clichés propres au film d’explorateur, mais les dépasse et propose une réflexion mélancolique sur la liberté et le destin.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un souffle épique porte le film dans son évocation des expéditions risquées menées par l’explorateur, dans sa conviction en l’existence d'une cité perdue, dans le sacrifice de sa famille pour réaliser ses objectifs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est du grand cinéma, porté par un lyrisme ample, une poésie tragique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Romain Le Vern
(...) un beau conte vénéneux sur la fin de l'adolescence, racontant à travers les us et coutumes du genre, les métamorphoses d'une végétarienne attirée par le cannibalisme. Saignant, comme on aime.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Arnaud Schwartz
Sans jouer au démiurge, James Gray livre un film qui s’inscrira pour longtemps sur les rétines du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Un grand film d'aventures.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) un drame captivant (...).
Le Monde
par Jean-François Rauger
Entre action, épopée historique et biopic, une adaptation élégante du livre de David Grann.
Le Parisien
par Catherine Balle
Interprétée par Charlie Hunnam et un Robert Pattinson méconnaissable avec une barbe touffue, cette fresque très ambitieuse bénéficie de magnifiques décors. Il manque peut-être un peu d'émotion pour donner du souffle à ce film brillant, mais un peu trop classique.
Le Point
par La Rédaction
James Gray réussit un film épique, au croisement de Lawrence d'Arabie et d'Apocalypse Now, dont la splendeur esthétique n'atténue pas le pessimisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Christophe Narbonne
Puissant, tragique et plastiquement achevé.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Retraçant l’histoire vraie de l’explorateur Fawcett, James Gray signe un film aux images d’une beauté rare où même les acteurs se perdent, et nous avec eux. A la hauteur de ses ambitions.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une fresque ample et intime sur un aventurier méconnu.
Voici
par La Rédaction
Une épopée aux images sublimes.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
S'il y a des péripéties dignes de "Tintin et les Picaros", une reconstitution hallucinante des tranchées de 14-18, ne vous attendez pas à un nouvel "Indiana Jones". Il brosse avant tout le portrait intimiste d'un homme déchiré entre devoir familial et quête d'un nouvel Eldorado.
Bande à part
Avec une suprême élégance, James Gray met en scène un film épique d’un genre nouveau, où les héros ne s’expriment que par murmures, plongeant le spectateur dans une atmosphère cotonneuse, de celles qui nimbent les rêves les plus entêtants, d’une infinie douceur jusque dans les scènes de confrontations les plus violentes.
Critikat.com
(...) James Gray atteint lui-même le sommet d’une filmographie passionnante, et peut-être la matrice de son œuvre à venir.
Elle
Dans un décor somptueux, certaines scènes nous font penser à « Aguirre, la colère de Dieu », « Fitzcarraldo » voire « Apocalypse Now »… Tout simplement grandiose !
GQ
Avec "La Cité perdue de Z", James Gray signe un grand film d'aventure qui sublime sa vision du cinéma hollywoodien.
La Septième Obsession
"The Lost City of Z" redore fièrement le blason du cinéaste qui, tout en réalisant un film rebattant les cartes de ses obsessions, provoque un réel vertige (…) aussi bien dans sa propre filmographie que dans le cinéma américain contemporain.
Le Dauphiné Libéré
Un extraordinaire récit d’aventure, qui se transforme en quête de l’Absolu, porté par le souffle d’une réalisation elle-même tendue comme un défi à relever.
Le Figaro
Le destin d'un homme, la paternité, l'exploration de terres inconnues… Le film de James Gray explore magistralement ces thèmes. Une épopée intime où beauté, honneur et fidélité sont aux premiers plans.
Les Fiches du Cinéma
Il serait dommage que les thuriféraires du James Gray new-yorkais ne le suivent pas sur les traces du colonel Percy Fawcett, car il y déploie maîtrise formelle et souffle épique épatants.
Les Inrockuptibles
"TheLost City of Z", bien que traversé d’un puissant souffle épique, nous convie plutôt à une aventure mentale, une dérivation hagarde renouant avec le motif privilégié du cinéma de James Gray : l’obsession virant à la folie.
Libération
(...) une odyssée généreuse, où les rêves enfantins, confrontés à la réalité, dérivent vers une apothéose inattendue. Une splendeur.
Mad Movies
L'aventure telle qu'on ne pensait plus la retrouver sur un écran de cinéma.
Paris Match
Grand cinéaste, grand film.
Sud Ouest
Allant d'ellipses en recommencements et filmant la jungle comme un au-delà du monde, James Gray suit le fil d'une vie qui se termine en mirage métaphysique. C'est magnifique.
Transfuge
(James Gray) a ranimé la fibre du film d'aventures sous l'égide de Kipling (...) et de Coppola (...).
Télérama
Aujourd'hui, le résultat, majestueux et subtil, déjoue les catégories existantes. Derrière son classicisme apparent, "The Lost City of Z" est un prototype.
aVoir-aLire.com
En gardant tout son génie intact, James Gray se réapproprie un genre tombé en désuétude pour nous offrir le magistral portrait d’un explorateur porté par sa soif d’aventure.
20 Minutes
Les aventures aussi dangereuses que passionnantes d’un homme dont le courage se teinte d’une bonne dose d’inconscience fascinent intensément.
Cahiers du Cinéma
Un cinéma raisonné, en demi-teintes trompeuses, qui répugne aux effets de manche et dont le classicisme semble presque suranné. Il y a une réelle beauté et un certain panache dans cette tenue, à une époque où il est difficile pour un auteur d’exister au-delà des effets de signature.
Culturopoing.com
Quelque part entre Aguirre, la colère de Dieu de Werner Herzog et L’Etreinte du serpent de Ciro Guerra, le film de James Gray n’échappe pas complètement à certains clichés propres au film d’explorateur, mais les dépasse et propose une réflexion mélancolique sur la liberté et le destin.
Franceinfo Culture
Un souffle épique porte le film dans son évocation des expéditions risquées menées par l’explorateur, dans sa conviction en l’existence d'une cité perdue, dans le sacrifice de sa famille pour réaliser ses objectifs.
L'Obs
C’est du grand cinéma, porté par un lyrisme ample, une poésie tragique.
LCI
(...) un beau conte vénéneux sur la fin de l'adolescence, racontant à travers les us et coutumes du genre, les métamorphoses d'une végétarienne attirée par le cannibalisme. Saignant, comme on aime.
La Croix
Sans jouer au démiurge, James Gray livre un film qui s’inscrira pour longtemps sur les rétines du spectateur.
Le Figaroscope
Un grand film d'aventures.
Le Journal du Dimanche
(...) un drame captivant (...).
Le Monde
Entre action, épopée historique et biopic, une adaptation élégante du livre de David Grann.
Le Parisien
Interprétée par Charlie Hunnam et un Robert Pattinson méconnaissable avec une barbe touffue, cette fresque très ambitieuse bénéficie de magnifiques décors. Il manque peut-être un peu d'émotion pour donner du souffle à ce film brillant, mais un peu trop classique.
Le Point
James Gray réussit un film épique, au croisement de Lawrence d'Arabie et d'Apocalypse Now, dont la splendeur esthétique n'atténue pas le pessimisme.
Ouest France
Puissant, tragique et plastiquement achevé.
Rolling Stone
Retraçant l’histoire vraie de l’explorateur Fawcett, James Gray signe un film aux images d’une beauté rare où même les acteurs se perdent, et nous avec eux. A la hauteur de ses ambitions.
Studio Ciné Live
Une fresque ample et intime sur un aventurier méconnu.
Voici
Une épopée aux images sublimes.
Télé 7 Jours
S'il y a des péripéties dignes de "Tintin et les Picaros", une reconstitution hallucinante des tranchées de 14-18, ne vous attendez pas à un nouvel "Indiana Jones". Il brosse avant tout le portrait intimiste d'un homme déchiré entre devoir familial et quête d'un nouvel Eldorado.