Avis : Une vie entre deux océans - Page 6

Au début on est surpris par ce drame aux allures de vieux films lents et mielleux. Mais ceci ne dure qu'un instant, le temps de mettre en place l'histoire. Les acteurs sont excellents et superbement "castés" pour leur rôle. Michael Fassbender en homme droit et amoureux et Alicia Vikander (déjà brillante dans ex-machina ou agents tres spéciaux) en mère protectrice et femme fusionnelle. L'histoire est bouversante, romanesque et dramatique. Du grand cinéma touchant dont on se rappelle bien longtemps après sa vision

Evidemment que c'est trop guimauve. Evidemment que c'est trop lacrymal. Evidemment que c'est trop... Mais je n'ai pas pu m'empêcher d'être touché par ce film de prime abord très austère. Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer pendant une grande partie de "Une vie entre deux océans". Mais voyez-vous, je suis sensible. Sensible aux belles choses, aux aventures poignantes, à Alicia Vikander, à Rachel Weisz (même si elle couche avec le roi de Prusse). Alors oui, j'ai adoré cette histoire. Et si vous, tout ça vous laisse de glace, c'est que vous avez une pierre à la place du coeur. Vilains !

Un film très touchant, pleins d'émotions. On comprend tout les personnages, même les personnages secondaires sont bien amené. Les acteurs sont vraiment très convainquant. Le film n'en fait pas trop et le temps passe rapidement. Quelques petits clichés mais ça reste léger. La fin est un peu trop rushé à mon gout, et c'est un poil dommage.

Les dégâts de la guerre sur un homme qui pour ne pas partager son fardeau s'exile sur une île seulement même s'il trouve dans un premier temps le bonheur celui-ci n'est pas bonifié comme si la malchance l'avait poursuivi jusque-là. Quand on voit ce qui est arrivé au précédent gardien, on pourrait croire que cette île est maudite seulement, c'est aussi cette dernière qui va lui donner le plus beau cadeau possible même si ça va le mettre dans une situation délicate. Ce film parle de dilemmes moraux, de deuil, de pardon et de ce qu'on est capable de faire pour le bonheur de la personne qu'on aime, mais aussi de ce qu'on est capable de sacrifier. La première partie bien qu'un peu austère et classique est agréable grâce au très beau cadre, à la superbe photographie et à la bonne interprétation des deux acteurs. À la suite de la découverte, les enjeux deviennent plus importants et l'histoire plus intéressante, mais je trouve aussi que c'est là qu'il y a le plus longueurs heureusement tout ça est balayé par une dernière partie pleine d'émotion et un beau final. Bref, c'est un bon film, mais je l'ai trouvé un poil long et un peu avare en émotion.

Un magnifique drame. Revenant de la guerre, un homme ayant besoin de s'isoler accepte d'aller travailler comme gardien de phare sur une petite île. Il épouse une jeune femme qui vient vivre avec lui. Plusieurs fausses couches plus tard, un nouveau-né s'échoue sur la plage, rescapé d'un naufrage... Une belle performance pour chaque acteur, en particulier pour l'actrice Alicia Vikander durement éprouvée, ici. Je n'ai pu m'empêcher de penser à "Shining" pour l'aspect isolé mais il n'y a de rapport que l'isolement. Le couple va subir de rudes épreuves et affronter courageusement les décisions prises pour assurer un minimum leur bonheur en famille. Tout est bon, scénario, décors, déroulement, acteurs... A voir !

Mélodrame bouleversant et magnifique, une histoire poignante et inoubliable. Les acteurs et actrices sont d'une justesse impeccable, l'esthétique du film est fabuleuse.

l'adaptation de ce drame qui prend son temps se déroule dans un cadre et une lumière superbes. même si le sujet est simple, il est évoqué avec finesse et une jolie émotion. un trio d'acteurs de qualité (dont le joli minois d'A. Vikander) permet également de passer un beau moment de cinéma.

Avec cette splendide histoire d'Amour torturée, le réalisateur US Derek Cianfrance (dont j'entends le nom pour la première fois) ravira sans aucun doute tous les « cœurs tendres » de la planète. Il faut dire que cette adaptation d'un livre à succès (d'une romancière Australienne) ne manque clairement pas d'atouts, le cinéaste ayant mis les petits plats dans les grands pour plaire au plus grand nombre. La première de ces qualités, qui saute aux yeux dès les premières secondes, est la très belle photographie qui sublime les paysages et donne un petit air mystérieux à cette île perdue au milieu de l'océan. La seconde provient du casting irréprochable, les deux acteurs principaux rivalisant de talent pour nous transporter littéralement au cœur de leur histoire bouleversante. Enfin, c'est bien ce scénario quasi parfait et d'un romantisme millimétré qui ne peut que faire fondre, même le cœur le plus aride. Mon seul bémol vient de la durée du film, qui est émaillé de quelques longueurs par ci, par là (mais je chipote un peu) En réalité, bien que ce ne soit pas vraiment ma « tasse de thé », j'ai trouvé « Une vie entre deux océans » tout à fait passionnant... d'autant qu'il parvient à éviter intelligemment l'écueil du « larmoyant à tout prix ». Vous pouvez donc vous lancer sans la moindre arrière pensée, vous ne serez pas déçus. Impeccable !

Ce film adapté d'un roman d'une écrivaine australienne se laisse suivre sans déplaisir. On est certes dans le pur mélo, mais les acteurs et actrices donnent du corps à leurs personnages, et l'ensemble pose la question éternelle du contact d'une mère "adoptive" avec la mère biologique d'une enfant (qui doit venir en premier ?). Superbes paysages (une ile au sud de l'Australie) et bonne restitution d'époque (1919-23).

Un bon film, qui est moins une amourette qu'un drame (plus proche de la "Leçon de piano" que de "Une bouteille à la mer"). Très bien joué, sans excès et avec la jolie Alicia (que l'on retrouve dans Jason Bourne, comme la fille qui ne sourit jamais). A voir.

Dans une certaine indifférence, je me suis lancé dans le visionnage de ce film, au scénario parfois copié, parfois déjà-vu. Et si les premières minutes avancent vite, notamment l'idylle entre le couple, Une Vie entre deux océans s'élance dans une histoire dure, émouvante, attachante où les 3 protagonistes du film jouent cher leur peau. En bref, une mini lenteur rend le film dur à installer, mais les frissons sont là.

Un excellent mélo servi par de très bons comédiens au service d'une histoire pleine de douleur et d'amour. Une grande réalisation !

Un bon mélo à l'ancienne qui sort volontairement les violons pour nous émouvoir... et ça marche. La trame est très classique, la mise en scène conventionnelle, mais on est irrémédiablement transporté par l'histoire de ce couple magnifiquement interprété par le toujours excellent Michael Fassbender et la futur star Alicia Vikander.

Après Ryan Gosling dans Blue Valentine et The Place beyond the Pines, c’est Michael Fassbender qui tient le rôle principal du dernier long-métrage de Derek Cianfrance. A ses côtés, Alicia Vikander qu’on a souvent vue cantonné à des rôles de figurante se voit enfin confier un rôle fort en émotion. C’est d’ailleurs peut-être ce rôle qui lui vaudra d’être recrutée pour jouer la nouvelle Lara Croft en 2018. Dans Une vie entre deux océans, le duo forme un couple uni, vivant reclus sur une petite île inhabitée. Après une fausse couche douloureuse, ces derniers vont trouver un canot échoué avec à son bord le cadavre d’un homme et un bébé vivant. C’est alors que le couple y voit une promesse de fonder enfin une famille, mais c’est sans compter le poids d’un lourd secret qui brisera peut-être l’union d’un amour pourtant invulnérable. Si vous aimez les mélodrames vous allez être servi. Une vie entre deux océans est un immense océan d’émotion et de larmes. Mais nous finissons par nous prendre au jeu de ce bouleversement grâce aux comédiens qui semblent habités par leurs personnages.
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Un petit bijou porté par des acteurs hors du commun.
Vikander, Fassbender et Weisz m'impressionnent toujours par leur jeu d'acteur. Dans ce film, ils créent une alchimie surréaliste.
Le scénario est admirablement bien écrit, tellement bien que l'on sent l'ambiance pesante de la situation des protagonistes.
On n'en sort pas sans quelques séquelles.