Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Femme Actuelle
par Cathy Bernheim
Dans la famille Coppola voici Gia, petite-fille de Francis, nièce de Roman et Sofia. Son premier film nettement sous influence démontre au moins qu'elle sait comment s'y prendre pour marcher sur leurs traces.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
GQ
par Toma Clarac
Adapté d'un livre de James Franco, ce film maîtrisé et solaire est porté par son jeune casting.
Gala
par Carlos Gomez
Par petites touches, la jeune réalisatrice atteint une forme d’équilibre, entre vision esthétique d’une population névrotique et approche éminemment humaine de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Une recette connue, à laquelle la jeune Gia Copolla apporte le charme un peu hésitant d'un premier film.
Le Monde
par Sandrine Marques
Gia Coppola filme une éducation sentimentale amère. L'idylle, semée d'embûches, donne lieu à une chronique réaliste, qui détaille les comportements excessifs propres à cette jeunesse, certes privilégiée, mais à laquelle on peut s'identifier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Cette chronique adolescente capture à merveille les tourments d'une jeunesse américaine qui s'ennuie à l'extrême dans une banlieue riche de Californie.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un tee-movie hyperstylisé et secrètement hanté signé par la nouvelle héritière du clan Coppola.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Quelque part entre la mélancolie vintage d’"American Graffiti" et le réalisme trash cher à Larry Clark, elle parvient à instaurer une atmosphère intemporelle hypersexuée où les prédateurs et la mort rôdent à chaque recoin...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Eric Vernay
(...) spleen ado des classes aisée, casting mêlant "fils de" et it girls, bande originale envoûtante et branchée, image automnale passée au filtre vintage façon instagram...Zéro faute de goût.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ainsi va l’adolescence, cette période de la vie à la fois douloureuse et formidable. Gia Coppola, nièce de Sofia, petite-fille de Francis, en montre les dérives et les dangers avec une délicatesse extrême à travers ce premier film adapté des nouvelles de James Franco.
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Chez Gia, la fin de l'innocence plane comme une menace sourde. Les jeunes acteurs, enfants de la balle (Emma Roberts, nièce de Julia, et Jack Kilmer, fils de Val) ou pas, sont aussi prometteurs que le film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
La jeune réalisatrice dirige avec brio un casting juste et inspiré (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Ouateux et incisif à la fois, Palo Alto pose avec une certaine sagesse son regard propre sur une jeunesse bien connue. Si l’originalité n’y est pas, le talent, lui, imprègne chaque scène. Et l’on se met à aimer davantage aujourd’hui le cinéma de la jeune Gia que celui de Sofia.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Laurent Djian
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Eric Neuhoff
Banlieue chic, jeunes filles innocentes et torturées, mort qui rôde sous des dehors trompeurs, "Palo Alto" a un aspect saganesque. Emma Roberts a dans les yeux toutes les illusions du monde.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Comme sa tante Sofia avec "Virgin Suicides", ce sont les affres d'une adolescence désenchantée que la jeune Gia Coppola choisit dans son premier long-métrage avec une authenticité rafraichissante et une maturité prometteuse.
Metro
par Marilyne Letertre
B.O. branchée, lumière solaire, spleen généralisé, "Palo Alto", c’est du Sofia tout craché. Déjà vu donc, mais plutôt bien fait.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
par Sophia Collet
De manière moins signifiante que sa tante Sofia dans "The Bling Ring", Gia Coppola dérobe tout enjeu au film, qui pèche par excès de placidité.
Critikat.com
par Ursula Michel
"Palo Alto" confirme malheureusement, hormis quelques brèves scènes, les craintes du film affiche, où les noms qui le composent comptent plus que le résultat à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Julien Gester
Perdue dans ses propres vapeurs factices ou comme hypnotisé par le moiré et le scintillement mi-climatisés mi-clinquants de ses manières, la mouture filmée "Palo Alto", n’échappe pas plus au cliché exténué du film consacré aux diversions trashouilles (...) fomentées comme parade à l’ennui existentiel qui frappe l’adolescent à l’heure de ses premiers frétillements de désir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
par Raphaël Nieuwjaer
Dans "Palo Alto" comme dans les films de Sofia Coppola, l'adolescence n'est jamais que le musée de l'enfance dont le gardien rechigne à fermer définitivement les portes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Femme Actuelle
Dans la famille Coppola voici Gia, petite-fille de Francis, nièce de Roman et Sofia. Son premier film nettement sous influence démontre au moins qu'elle sait comment s'y prendre pour marcher sur leurs traces.
GQ
Adapté d'un livre de James Franco, ce film maîtrisé et solaire est porté par son jeune casting.
Gala
Par petites touches, la jeune réalisatrice atteint une forme d’équilibre, entre vision esthétique d’une population névrotique et approche éminemment humaine de ses personnages.
Le Dauphiné Libéré
Une recette connue, à laquelle la jeune Gia Copolla apporte le charme un peu hésitant d'un premier film.
Le Monde
Gia Coppola filme une éducation sentimentale amère. L'idylle, semée d'embûches, donne lieu à une chronique réaliste, qui détaille les comportements excessifs propres à cette jeunesse, certes privilégiée, mais à laquelle on peut s'identifier.
Les Fiches du Cinéma
Cette chronique adolescente capture à merveille les tourments d'une jeunesse américaine qui s'ennuie à l'extrême dans une banlieue riche de Californie.
Les Inrockuptibles
Un tee-movie hyperstylisé et secrètement hanté signé par la nouvelle héritière du clan Coppola.
Paris Match
Quelque part entre la mélancolie vintage d’"American Graffiti" et le réalisme trash cher à Larry Clark, elle parvient à instaurer une atmosphère intemporelle hypersexuée où les prédateurs et la mort rôdent à chaque recoin...
Première
(...) spleen ado des classes aisée, casting mêlant "fils de" et it girls, bande originale envoûtante et branchée, image automnale passée au filtre vintage façon instagram...Zéro faute de goût.
Sud Ouest
Ainsi va l’adolescence, cette période de la vie à la fois douloureuse et formidable. Gia Coppola, nièce de Sofia, petite-fille de Francis, en montre les dérives et les dangers avec une délicatesse extrême à travers ce premier film adapté des nouvelles de James Franco.
TéléCinéObs
Chez Gia, la fin de l'innocence plane comme une menace sourde. Les jeunes acteurs, enfants de la balle (Emma Roberts, nièce de Julia, et Jack Kilmer, fils de Val) ou pas, sont aussi prometteurs que le film.
Télérama
La jeune réalisatrice dirige avec brio un casting juste et inspiré (...).
aVoir-aLire.com
Ouateux et incisif à la fois, Palo Alto pose avec une certaine sagesse son regard propre sur une jeunesse bien connue. Si l’originalité n’y est pas, le talent, lui, imprègne chaque scène. Et l’on se met à aimer davantage aujourd’hui le cinéma de la jeune Gia que celui de Sofia.
L'Express
Voir le site de l'Express.
Le Figaroscope
Banlieue chic, jeunes filles innocentes et torturées, mort qui rôde sous des dehors trompeurs, "Palo Alto" a un aspect saganesque. Emma Roberts a dans les yeux toutes les illusions du monde.
Le Journal du Dimanche
Comme sa tante Sofia avec "Virgin Suicides", ce sont les affres d'une adolescence désenchantée que la jeune Gia Coppola choisit dans son premier long-métrage avec une authenticité rafraichissante et une maturité prometteuse.
Metro
B.O. branchée, lumière solaire, spleen généralisé, "Palo Alto", c’est du Sofia tout craché. Déjà vu donc, mais plutôt bien fait.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
De manière moins signifiante que sa tante Sofia dans "The Bling Ring", Gia Coppola dérobe tout enjeu au film, qui pèche par excès de placidité.
Critikat.com
"Palo Alto" confirme malheureusement, hormis quelques brèves scènes, les craintes du film affiche, où les noms qui le composent comptent plus que le résultat à l’écran.
Libération
Perdue dans ses propres vapeurs factices ou comme hypnotisé par le moiré et le scintillement mi-climatisés mi-clinquants de ses manières, la mouture filmée "Palo Alto", n’échappe pas plus au cliché exténué du film consacré aux diversions trashouilles (...) fomentées comme parade à l’ennui existentiel qui frappe l’adolescent à l’heure de ses premiers frétillements de désir.
Chronic'art.com
Dans "Palo Alto" comme dans les films de Sofia Coppola, l'adolescence n'est jamais que le musée de l'enfance dont le gardien rechigne à fermer définitivement les portes.