Note moyenne
3,6
22 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

22 critiques presse

Cahiers du Cinéma

par Nicholas Elliott

Tsai Ming-liang trouve ici le point limite, l’au-delà de son cinéma, événement rare auquel de mémoire récente on ne peut que comparer "Inland Empire" de David Lynch. Mais là où le cinéaste américain s’engouffrait dans son empire intérieur, Tsai s’ouvre au monde.

L'Humanité

par Dominique Widemann

L’intrigue s’efface au profit de toutes les dimensions créatives d’un artiste qui revient aux motifs et ne se répète jamais. Un film immense.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

Le Monde

par Isabelle Regnier

(...) film sublime qui organise la circulation entre le monde des vivants et celui des morts, entre espace physique et espace mental, entre rêve et réalité. Dès le premier plan (...) le spectateur est plongé dans un état de quasi-hypnose dont il ne sortira pas.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Transfuge

par Damien Aubel

Tsai Ming-liang tourne un chef-d'oeuvre atmosphérique, sensoriel et radical.

20 Minutes

par Caroline Vié

Son dernier opus, "Les chiens errants", est ce qu'on peut appeler un film radical, mais il s'agit surtout d'une oeuvre sublime (...).

La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

Chronic'art.com

par Sébastien Bénédict

Si Tsai Ming-liang semble pour le moins désabusé, il n’en est pas moins traversé par une rage et une puissance retrouvée qui font des Chiens errants son plus beau film depuis longtemps.

La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

Critikat.com

par Pierre-Edouard Peillon

(...) le cinéaste n’a – semble-t-il – rarement été aussi proche d’une forme capable d’aller chercher dans l’abstraction (montage elliptique et lieux de tournage ahurissants) des éléments beaucoup plus triviaux.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Les Inrockuptibles

par Luc Chessel

Un nouveau film tendu et radical (...) : le beau retour d’un auteur phare des années 90.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Libération

par Olivier Séguret

(...) "les Chiens errants" se compose d’un assemblage de matériaux bruts qui forment l’absolu du cinéma : des plans, des lumières, des sons, des corps. A quoi s’ajoute naturellement cet élément dont Tsai Ming-liang est peut-être le plus grand maître contemporain : le temps.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Paris Match

par Yannick Vely

Alors bien sûr, le nouveau film de Tsai Ming-liang n’est pas un objet facile à voir ou même à apprécier, tant il nous enferme dans la propre psyché du démiurge et de son monde aussi sombre qu’un diamant noir. Mais la proposition de cinéma est forte, belle et surtout unique.

La critique complète est disponible sur le site Paris Match

Première

par Gérard Delorme

Ce film n'est pas pour tout le monde, mais les habitués se régaleront.

TF1 News

par Romain Le Vern

D'emblée, il faut louer la capacité de Tsai Ming Liang à se renouveler : s'il enregistre toujours des silences plus éloquents que les longs discours avec la même inflexibilité, le réalisateur parle sur ce coup moins de misère affective ou sexuelle que de misère sociale. Ainsi, même lorsque tout s'écroule, il a l'élégance de les (ses personnages) étreindre d'amour, de les mettre dans la lumière pour qu'ils ne s'éteignent pas.

La critique complète est disponible sur le site TF1 News

Télérama

par Jacques Morice

Lorsqu'il s'agit du père et de sa femme, un plan-séquence stupéfiant, d'au moins un quart d'heure, les montre l'un derrière l'autre, lui hébété d'alcool, elle le regard fixe, éperdu. Ils semblent séparés à tout jamais, mais le fait qu'ils se projettent ensemble dans le même néant offre une lueur bouleversante.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

aVoir-aLire.com

par Camille Lugan

"Les chiens errants" est une fable âpre sur la misère contemporaine, poussée aux limites du formalisme par son maître d’oeuvre Tsai Ming-Liang.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Le Journal du Dimanche

par Alexis Campion

Tsai Ming-liang (...) signe un film ambitieux, étiré, plastique, surtout désolé, car habité par la tristesse infinie d'une humanité ensevelie de larmes, d'injustices. Une oeuvre lyrique, trop radicale et troublante pour plaire à tout le monde, mais qui saura ensorceler cinéphiles et initiés.

Les Fiches du Cinéma

par François Barge-Prieur

Tsai Ming-liang livre un film âpre, lent, et profondément mélancolique. “Les Chiens errants” flirte souvent avec l'ennui, même si, parfois, affleure une émotion brute assez troublante.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Ouest France

par La Rédaction

On peut être fasciné ou exaspéré (...) Mais pas indifférent.

Franceinfo Culture

par Jacky Bornet

Sublime et ennuyeux, "Les Chiens errants" joue d’une esthétique de la fange pour interroger le regard du regardant au regardé.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

L'Obs

par Pascal Mérigeau

Son sens plastique lui permet d'illuminer par instants un film où, pour le reste, il se drape dans une pose auteuriste et, en réalité, se noie dans la vacuité. On y voit des gens dormir, et c'est long, des gens pisser, et c'est souvent. On voit aussi, pendant plus de dix minutes, un homme bouffer un chou cru en pleurant, et ça n'a rien d'affolant.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Positif

par Hubert Niogret

Tsai Ming-liang serait-il devenu un cinéaste maniéré, qui n'a plus grand-chose à exprimer et se contenterait de filmage avec des plans superbes mais relevant plus d'installations plastiques pour un musée que de formes dramaturgiques ?

La critique complète est disponible sur le site Positif

Studio Ciné Live

par Laurent Djian

Voir le site de Studio Ciné Live.

TéléCinéObs

par Nicolas Schaller

Où est passé le geste poétique, burlesque, iconoclaste du réalisateur de "la Saveur de la pastèque" dans cette succession de tableaux figés et interminables dont on comprend au bout de 2 heures 20 d’ennui abyssal qu’ils mettent en scène la survie d’une famille en marge de la société à Taipei ?

La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
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