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Tsai Ming-liang trouve ici le point limite, l’au-delà de son cinéma, événement rare auquel de mémoire récente on ne peut que comparer "Inland Empire" de David Lynch. Mais là où le cinéaste américain s’engouffrait dans son empire intérieur, Tsai s’ouvre au monde.
(...) film sublime qui organise la circulation entre le monde des vivants et celui des morts, entre espace physique et espace mental, entre rêve et réalité. Dès le premier plan (...) le spectateur est plongé dans un état de quasi-hypnose dont il ne sortira pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si Tsai Ming-liang semble pour le moins désabusé, il n’en est pas moins traversé par une rage et une puissance retrouvée qui font des Chiens errants son plus beau film depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) le cinéaste n’a – semble-t-il – rarement été aussi proche d’une forme capable d’aller chercher dans l’abstraction (montage elliptique et lieux de tournage ahurissants) des éléments beaucoup plus triviaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
(...) "les Chiens errants" se compose d’un assemblage de matériaux bruts qui forment l’absolu du cinéma : des plans, des lumières, des sons, des corps. A quoi s’ajoute naturellement cet élément dont Tsai Ming-liang est peut-être le plus grand maître contemporain : le temps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Alors bien sûr, le nouveau film de Tsai Ming-liang n’est pas un objet facile à voir ou même à apprécier, tant il nous enferme dans la propre psyché du démiurge et de son monde aussi sombre qu’un diamant noir. Mais la proposition de cinéma est forte, belle et surtout unique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
D'emblée, il faut louer la capacité de Tsai Ming Liang à se renouveler : s'il enregistre toujours des silences plus éloquents que les longs discours avec la même inflexibilité, le réalisateur parle sur ce coup moins de misère affective ou sexuelle que de misère sociale. Ainsi, même lorsque tout s'écroule, il a l'élégance de les (ses personnages) étreindre d'amour, de les mettre dans la lumière pour qu'ils ne s'éteignent pas.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Lorsqu'il s'agit du père et de sa femme, un plan-séquence stupéfiant, d'au moins un quart d'heure, les montre l'un derrière l'autre, lui hébété d'alcool, elle le regard fixe, éperdu. Ils semblent séparés à tout jamais, mais le fait qu'ils se projettent ensemble dans le même néant offre une lueur bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Tsai Ming-liang (...) signe un film ambitieux, étiré, plastique, surtout désolé, car habité par la tristesse infinie d'une humanité ensevelie de larmes, d'injustices. Une oeuvre lyrique, trop radicale et troublante pour plaire à tout le monde, mais qui saura ensorceler cinéphiles et initiés.
Tsai Ming-liang livre un film âpre, lent, et profondément mélancolique. “Les Chiens errants” flirte souvent avec l'ennui, même si, parfois, affleure une émotion brute assez troublante.
Son sens plastique lui permet d'illuminer par instants un film où, pour le reste, il se drape dans une pose auteuriste et, en réalité, se noie dans la vacuité. On y voit des gens dormir, et c'est long, des gens pisser, et c'est souvent. On voit aussi, pendant plus de dix minutes, un homme bouffer un chou cru en pleurant, et ça n'a rien d'affolant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Tsai Ming-liang serait-il devenu un cinéaste maniéré, qui n'a plus grand-chose à exprimer et se contenterait de filmage avec des plans superbes mais relevant plus d'installations plastiques pour un musée que de formes dramaturgiques ?
La critique complète est disponible sur le site Positif
Où est passé le geste poétique, burlesque, iconoclaste du réalisateur de "la Saveur de la pastèque" dans cette succession de tableaux figés et interminables dont on comprend au bout de 2 heures 20 d’ennui abyssal qu’ils mettent en scène la survie d’une famille en marge de la société à Taipei ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Tsai Ming-liang trouve ici le point limite, l’au-delà de son cinéma, événement rare auquel de mémoire récente on ne peut que comparer "Inland Empire" de David Lynch. Mais là où le cinéaste américain s’engouffrait dans son empire intérieur, Tsai s’ouvre au monde.
L'Humanité
L’intrigue s’efface au profit de toutes les dimensions créatives d’un artiste qui revient aux motifs et ne se répète jamais. Un film immense.
Le Monde
(...) film sublime qui organise la circulation entre le monde des vivants et celui des morts, entre espace physique et espace mental, entre rêve et réalité. Dès le premier plan (...) le spectateur est plongé dans un état de quasi-hypnose dont il ne sortira pas.
Transfuge
Tsai Ming-liang tourne un chef-d'oeuvre atmosphérique, sensoriel et radical.
20 Minutes
Son dernier opus, "Les chiens errants", est ce qu'on peut appeler un film radical, mais il s'agit surtout d'une oeuvre sublime (...).
Chronic'art.com
Si Tsai Ming-liang semble pour le moins désabusé, il n’en est pas moins traversé par une rage et une puissance retrouvée qui font des Chiens errants son plus beau film depuis longtemps.
Critikat.com
(...) le cinéaste n’a – semble-t-il – rarement été aussi proche d’une forme capable d’aller chercher dans l’abstraction (montage elliptique et lieux de tournage ahurissants) des éléments beaucoup plus triviaux.
Les Inrockuptibles
Un nouveau film tendu et radical (...) : le beau retour d’un auteur phare des années 90.
Libération
(...) "les Chiens errants" se compose d’un assemblage de matériaux bruts qui forment l’absolu du cinéma : des plans, des lumières, des sons, des corps. A quoi s’ajoute naturellement cet élément dont Tsai Ming-liang est peut-être le plus grand maître contemporain : le temps.
Paris Match
Alors bien sûr, le nouveau film de Tsai Ming-liang n’est pas un objet facile à voir ou même à apprécier, tant il nous enferme dans la propre psyché du démiurge et de son monde aussi sombre qu’un diamant noir. Mais la proposition de cinéma est forte, belle et surtout unique.
Première
Ce film n'est pas pour tout le monde, mais les habitués se régaleront.
TF1 News
D'emblée, il faut louer la capacité de Tsai Ming Liang à se renouveler : s'il enregistre toujours des silences plus éloquents que les longs discours avec la même inflexibilité, le réalisateur parle sur ce coup moins de misère affective ou sexuelle que de misère sociale. Ainsi, même lorsque tout s'écroule, il a l'élégance de les (ses personnages) étreindre d'amour, de les mettre dans la lumière pour qu'ils ne s'éteignent pas.
Télérama
Lorsqu'il s'agit du père et de sa femme, un plan-séquence stupéfiant, d'au moins un quart d'heure, les montre l'un derrière l'autre, lui hébété d'alcool, elle le regard fixe, éperdu. Ils semblent séparés à tout jamais, mais le fait qu'ils se projettent ensemble dans le même néant offre une lueur bouleversante.
aVoir-aLire.com
"Les chiens errants" est une fable âpre sur la misère contemporaine, poussée aux limites du formalisme par son maître d’oeuvre Tsai Ming-Liang.
Le Journal du Dimanche
Tsai Ming-liang (...) signe un film ambitieux, étiré, plastique, surtout désolé, car habité par la tristesse infinie d'une humanité ensevelie de larmes, d'injustices. Une oeuvre lyrique, trop radicale et troublante pour plaire à tout le monde, mais qui saura ensorceler cinéphiles et initiés.
Les Fiches du Cinéma
Tsai Ming-liang livre un film âpre, lent, et profondément mélancolique. “Les Chiens errants” flirte souvent avec l'ennui, même si, parfois, affleure une émotion brute assez troublante.
Ouest France
On peut être fasciné ou exaspéré (...) Mais pas indifférent.
Franceinfo Culture
Sublime et ennuyeux, "Les Chiens errants" joue d’une esthétique de la fange pour interroger le regard du regardant au regardé.
L'Obs
Son sens plastique lui permet d'illuminer par instants un film où, pour le reste, il se drape dans une pose auteuriste et, en réalité, se noie dans la vacuité. On y voit des gens dormir, et c'est long, des gens pisser, et c'est souvent. On voit aussi, pendant plus de dix minutes, un homme bouffer un chou cru en pleurant, et ça n'a rien d'affolant.
Positif
Tsai Ming-liang serait-il devenu un cinéaste maniéré, qui n'a plus grand-chose à exprimer et se contenterait de filmage avec des plans superbes mais relevant plus d'installations plastiques pour un musée que de formes dramaturgiques ?
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Où est passé le geste poétique, burlesque, iconoclaste du réalisateur de "la Saveur de la pastèque" dans cette succession de tableaux figés et interminables dont on comprend au bout de 2 heures 20 d’ennui abyssal qu’ils mettent en scène la survie d’une famille en marge de la société à Taipei ?