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Film passionnant (...) Ben Foster n’a eu que six semaines pour entrer dans la peau de Lance Armstrong. (...) Sa performance éblouissante est l’un des atouts majeurs du film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les scènes de course, boostées par une B.O. rock n’ roll (Radiohead, Ramones...), sont rythmées et tendues comme il se doit, mais le parti-pris humain et corrosif du cinéaste permet au long-métrage de dépasser le cadre du film pour les seuls accrocs du vélo.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Hyperdoué, détestant parler de son travail, s'intéressant aussi bien aux histoires typiquement britanniques qu'au Tour de France - la preuve -, il fait la démonstration qu'on peut avoir 74 ans et réaliser le film le plus audacieux, le plus rapide, le plus pop qui soit.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
"The Program" est bien loin de la simple biographie sportive transposée à l'écran. Stephen Frears ("The Queen", "Philomena") met subtilement en lumière le "crime" Armstrong et dépeint avec un certain sens de l'absolu le portrait d'un homme tyrannique et manipulateur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Entre images d’archives et reconstitution soignée, "The Program" est une extraordinaire plongée dans les coulisses du Tour de France et un portrait au noir d’un champion à la personnalité opaque.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
(...) Armstrong a été reconnu coupable de dopage le 22 octobre 2012 –, la vérité filmée par Frears est effarante. La volonté de fer, les mensonges, l’auto-persuasion, les paradoxes de cet homme qui a œuvré pour la lutte contre le cancer, font tout le sel de ce long-métrage filmé comme un thriller psychologique.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dans "The Program", il est certes question de sport et de vélo, mais aussi de médias, mais encore de dissimulation, d'honneur et de tricherie, thèmes qui garantissent une dramaturgie forte et dont le film fait son miel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Comme avec "The Queen", le cinéaste ne se contente pas d'un solide récit autobiographique. Il parvient, par moments, à soulever des questionnements métaphysiques sur son personnage.
Nul besoin d'être fan de vélo pour se laisser happer par ce portrait du plus grand tricheur de l'histoire du cyclisme. (...) Stephen Frears peint un tableau aussi hallucinant que convaincant de ce milieu englué dans le dopage. (...) Ben Foster traduit à merveille la complexité de cet imposteur XXL.
Stephen Frears réussit son immersion dans les bas-fonds de cette tambouille médicale. Malgré le travail étonnant de son acteur, Ben Foster, dont l’allure, le style, le physique collent au modèle, il échoue néanmoins à entrer dans l’extraordinaire complexité de ce personnage romanesque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Fort d’une ressemblance bluffante, Ben Foster n’imite pas : il est Lance Armstrong. Manipulateur, sûr de lui et angoissant. Sans réussir pourtant à percer totalement son mystère.
Le réalisateur est visiblement néophyte en matière de vélo : ses reconstitutions de courses font pitié ; et, devant sa caméra, l'inquiétant docteur Ferrari devient un bouffon peu crédible (...) Mais le regard caustique sur les coulisses de la Grande Boucle, qui n'épargne pas les journalistes, et l'humour noir des dialogues font mouche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un étrange alliage dressé à gros traits, qui peine à conjuguer la vivacité de la bande dessinée et l’implacabilité du film-dossier, le tout nappé d’une dérision un peu facile.
"The Program" est sans doute la déception de l'année. (...) Non que cette histoire soit inintéressante - le film lève le voile sur la méthode Armstrong - mais, enfin, elle est connue et, finalement, The Program n'en est que la synthèse.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Atteint d’un appétit vorace qui le pousse à tout décalquer sans rien retracer, "The Program" manque donc avant tout de maintien même s’il contenait, certainement, trois ou quatre films potentiellement intéressants.
20 Minutes
Film passionnant (...) Ben Foster n’a eu que six semaines pour entrer dans la peau de Lance Armstrong. (...) Sa performance éblouissante est l’un des atouts majeurs du film.
Femme Actuelle
Pas besoin d'aimer le cyclisme pour être embarqué dans ce biopic épique et à piqûres, magistralement réalisé.
Metro
Les scènes de course, boostées par une B.O. rock n’ roll (Radiohead, Ramones...), sont rythmées et tendues comme il se doit, mais le parti-pris humain et corrosif du cinéaste permet au long-métrage de dépasser le cadre du film pour les seuls accrocs du vélo.
Public
Ce film passionnant suit Armstrong des podiums jusqu'au déshonneur.
Sud Ouest
Hyperdoué, détestant parler de son travail, s'intéressant aussi bien aux histoires typiquement britanniques qu'au Tour de France - la preuve -, il fait la démonstration qu'on peut avoir 74 ans et réaliser le film le plus audacieux, le plus rapide, le plus pop qui soit.
TF1 News
"The Program" est bien loin de la simple biographie sportive transposée à l'écran. Stephen Frears ("The Queen", "Philomena") met subtilement en lumière le "crime" Armstrong et dépeint avec un certain sens de l'absolu le portrait d'un homme tyrannique et manipulateur.
Télé 2 semaines
Entre images d’archives et reconstitution soignée, "The Program" est une extraordinaire plongée dans les coulisses du Tour de France et un portrait au noir d’un champion à la personnalité opaque.
CNews
(...) Armstrong a été reconnu coupable de dopage le 22 octobre 2012 –, la vérité filmée par Frears est effarante. La volonté de fer, les mensonges, l’auto-persuasion, les paradoxes de cet homme qui a œuvré pour la lutte contre le cancer, font tout le sel de ce long-métrage filmé comme un thriller psychologique.
CinemaTeaser
Scène après scène, Frears dévoile le fameux "programme", si glauque et monstrueux qu'il tire alors "The Program" vers le film d'horreur.
L'Obs
Dans "The Program", il est certes question de sport et de vélo, mais aussi de médias, mais encore de dissimulation, d'honneur et de tricherie, thèmes qui garantissent une dramaturgie forte et dont le film fait son miel.
Ouest France
Un récit conduit comme un thriller, tendu, prenant de bout en bout. Et fort instructif.
Positif
Comme avec "The Queen", le cinéaste ne se contente pas d'un solide récit autobiographique. Il parvient, par moments, à soulever des questionnements métaphysiques sur son personnage.
Première
Ironique, distancié, léger comme une plume, le film porte un regard irrésistiblement british sur un Américain "programmé" pour gagner.
Télé 7 Jours
Nul besoin d'être fan de vélo pour se laisser happer par ce portrait du plus grand tricheur de l'histoire du cyclisme. (...) Stephen Frears peint un tableau aussi hallucinant que convaincant de ce milieu englué dans le dopage. (...) Ben Foster traduit à merveille la complexité de cet imposteur XXL.
La Croix
Stephen Frears réussit son immersion dans les bas-fonds de cette tambouille médicale. Malgré le travail étonnant de son acteur, Ben Foster, dont l’allure, le style, le physique collent au modèle, il échoue néanmoins à entrer dans l’extraordinaire complexité de ce personnage romanesque.
Le Journal du Dimanche
Fort d’une ressemblance bluffante, Ben Foster n’imite pas : il est Lance Armstrong. Manipulateur, sûr de lui et angoissant. Sans réussir pourtant à percer totalement son mystère.
Les Fiches du Cinéma
Une sorte d'anti-biopic fluide et percutant, mais à la mise en scène négligée et qui brasse trop de thèmes et de personnages.
Télérama
Le réalisateur est visiblement néophyte en matière de vélo : ses reconstitutions de courses font pitié ; et, devant sa caméra, l'inquiétant docteur Ferrari devient un bouffon peu crédible (...) Mais le regard caustique sur les coulisses de la Grande Boucle, qui n'épargne pas les journalistes, et l'humour noir des dialogues font mouche.
aVoir-aLire.com
Stephen Frears réussit à transposer à l’écran un univers sportif trop rare au cinéma. Cependant, le résultat est plus divertissant que profond (...)
Cahiers du Cinéma
Un étrange alliage dressé à gros traits, qui peine à conjuguer la vivacité de la bande dessinée et l’implacabilité du film-dossier, le tout nappé d’une dérision un peu facile.
Critikat.com
Faute de choisir un point de vue fort, Stephen Frears ne fait qu’illustrer l’affaire Lance Armstrong.
L'Express
"The Program" est sans doute la déception de l'année. (...) Non que cette histoire soit inintéressante - le film lève le voile sur la méthode Armstrong - mais, enfin, elle est connue et, finalement, The Program n'en est que la synthèse.
Le Monde
Ce portrait nerveux et éclaté de Lance Armstrong reste sans épaisseur malgré un casting réussi.
Les Inrockuptibles
Atteint d’un appétit vorace qui le pousse à tout décalquer sans rien retracer, "The Program" manque donc avant tout de maintien même s’il contenait, certainement, trois ou quatre films potentiellement intéressants.
Studio Ciné Live
Lance Armstrong ausculté par Stephen Frears. Très décevant.