Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Nicolas Bauche
Les diverses prières sur 24 heures donnent le tempo cinématographique et scandent l'avancée scénaristique du film. Néanmoins, la violence, la rage, les pleurs ou les cris n'entament pas une seule seconde l'amour évident que le réalisateur porte à la ville et à ses habitants.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film, puissant et d'un désenchantement frisant parfois la comédie, dit en cinq courtes histoires et en cinq quartiers d'Alger le désespoir d'un pays rongé par le mensonge, la misère et l'ignorance. Superbe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Time Out Paris
par Anaïs Heluin
Grâce à sa maîtrise des silences et son choix d'une structure éclatée, Merzak Allouache parvient à rendre pesant le malaise des 'Terrasses' d’Alger, qui vient avant tout d'une profonde crise de confiance dans les mouvements politiques.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Télérama
par Frédéric Strauss
Montrer les impasses de la société algérienne, pour le cinéaste, ce n'est pas s'enfermer dans un discours dénonciateur. C'est accueillir la vie, espoir et désespoir mêlés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Apre et terriblement vrai.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si les protagonistes menacent parfois d’être plus des symboles que de vrais personnages fouillés, Allouache parvient néanmoins à parler de son pays à travers des situations quotidiennes (...) entre ciel et terre, entre réalité étouffante et ouverture vers l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Mathias Averty
Le réalisateur de "Chouchou" revient à ses premiers élans de cinéaste engagé pour livrer un regard moqueur mais acéré sur l’intolérance et les contradictions qui empoisonnent la société algérienne. Dommage que le rythme très farniente de l’ensemble dilue tout son piquant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Un panorama acerbe qui pâtit parfois de ce dispositif narratif mais saisit pleinement la mutation sociétale du pays.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Merzak Allouache porte un regard audacieux et sans concession sur l’Algérie d’aujourd’hui, sans jamais se perdre dans les méandres obscurs de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Chaque récit est l’illustration spectaculaire d’un cas sociologique, le film ne parvenant que rarement à exister par lui-même. Restent quelques moments où le cinéaste s’abandonne enfin pour capter les murmures de la grande ville.
Critikat.com
par Benoît Smith
Allouache ne brasse autant de personnages et d’événements que pour livrer des histoires emblématiques, formuler des constats déjà faits avant lui, reprendre à son compte une image de l’Algérie que les Algériens et surtout les autres ont déjà eu l’occasion de voir et d’intégrer dans leurs lieux communs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Franck Nouchi
Dans "Les Terrasses", Merzak Allouache poursuit l’exploration de la société algérienne qu’il avait entamée dans des films comme "Harragas", "Normal !" et "Le Repenti". (...) On est loin de ses premiers films, "Omar Gatlato", qui, en 1976, l’avait fait connaître au grand public (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Prendre de la hauteur, n’appréhender la pulsation urbaine que par ses rumeurs réverbérées et ancrer tous ses personnages sur les innombrables toits terrasses qui jalonnent les collines algéroises. (...). L’idée est indéniablement séduisante, oui, mais c’est aussi la seule à s’imposer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par François Bégaudeau
Ponctuée par les cinq prières règlementaires comme par autant de voeux pieux, la journée offre un bilan plutôt sinistre : un mort sous la torture, un assassiné, une suicidée. En quinze heures, ça fait beaucoup, ça fait trop. Effet de la condensation propre aux films-sur-un-jour.
Positif
Les diverses prières sur 24 heures donnent le tempo cinématographique et scandent l'avancée scénaristique du film. Néanmoins, la violence, la rage, les pleurs ou les cris n'entament pas une seule seconde l'amour évident que le réalisateur porte à la ville et à ses habitants.
Sud Ouest
Le film, puissant et d'un désenchantement frisant parfois la comédie, dit en cinq courtes histoires et en cinq quartiers d'Alger le désespoir d'un pays rongé par le mensonge, la misère et l'ignorance. Superbe.
Time Out Paris
Grâce à sa maîtrise des silences et son choix d'une structure éclatée, Merzak Allouache parvient à rendre pesant le malaise des 'Terrasses' d’Alger, qui vient avant tout d'une profonde crise de confiance dans les mouvements politiques.
Télérama
Montrer les impasses de la société algérienne, pour le cinéaste, ce n'est pas s'enfermer dans un discours dénonciateur. C'est accueillir la vie, espoir et désespoir mêlés.
Le Journal du Dimanche
Apre et terriblement vrai.
Les Inrockuptibles
Si les protagonistes menacent parfois d’être plus des symboles que de vrais personnages fouillés, Allouache parvient néanmoins à parler de son pays à travers des situations quotidiennes (...) entre ciel et terre, entre réalité étouffante et ouverture vers l’espoir.
Première
Le réalisateur de "Chouchou" revient à ses premiers élans de cinéaste engagé pour livrer un regard moqueur mais acéré sur l’intolérance et les contradictions qui empoisonnent la société algérienne. Dommage que le rythme très farniente de l’ensemble dilue tout son piquant.
Studio Ciné Live
Un panorama acerbe qui pâtit parfois de ce dispositif narratif mais saisit pleinement la mutation sociétale du pays.
aVoir-aLire.com
Merzak Allouache porte un regard audacieux et sans concession sur l’Algérie d’aujourd’hui, sans jamais se perdre dans les méandres obscurs de son sujet.
Cahiers du Cinéma
Chaque récit est l’illustration spectaculaire d’un cas sociologique, le film ne parvenant que rarement à exister par lui-même. Restent quelques moments où le cinéaste s’abandonne enfin pour capter les murmures de la grande ville.
Critikat.com
Allouache ne brasse autant de personnages et d’événements que pour livrer des histoires emblématiques, formuler des constats déjà faits avant lui, reprendre à son compte une image de l’Algérie que les Algériens et surtout les autres ont déjà eu l’occasion de voir et d’intégrer dans leurs lieux communs.
Le Monde
Dans "Les Terrasses", Merzak Allouache poursuit l’exploration de la société algérienne qu’il avait entamée dans des films comme "Harragas", "Normal !" et "Le Repenti". (...) On est loin de ses premiers films, "Omar Gatlato", qui, en 1976, l’avait fait connaître au grand public (...)
Libération
Prendre de la hauteur, n’appréhender la pulsation urbaine que par ses rumeurs réverbérées et ancrer tous ses personnages sur les innombrables toits terrasses qui jalonnent les collines algéroises. (...). L’idée est indéniablement séduisante, oui, mais c’est aussi la seule à s’imposer.
Transfuge
Ponctuée par les cinq prières règlementaires comme par autant de voeux pieux, la journée offre un bilan plutôt sinistre : un mort sous la torture, un assassiné, une suicidée. En quinze heures, ça fait beaucoup, ça fait trop. Effet de la condensation propre aux films-sur-un-jour.