Avis : Creed - L'Héritage de Rocky Balboa - Page 3

Film magnifique. On en ressort très ému : d'avoir assister au retour de Rocky, même si vieillissant, comme au passage de flambeau ; et d'avoir vu aussi une formidable histoire de filiation, d'amitié, de courage et de valeurs humaines. C'est d'abord très bien réalisé. Je ne connais pas ce réalisateur à suivre particulièrement. Il alterne moments de bravoure, de rires et de fortes émotions avec brio, voire de subtilité. Pour un film de "boxe", il sait y faire. Il y a des moments trop appuyés (notamment pas les ralentis excessifs) mais de vrais autres moments d'une grande force : spoiler: quand Creed court dans le quartier, vers la salle d'entrainement où est Rocky, entouré des jeunes "motards"
spoiler:
; les scènes de combats également (comment réussir à donner du punch à des scènes maintenant fois vues !! Coup de génie donc!) ; les rappels bien placés à Apollon Creed (ahhh ce short!) ou merveille des merveilles : les qq notes de ce célèbre air musical, synonyme automatiquement de Rocky. L'histoire est simple, déjà vue mais, en même temps, au même titre que pour Stars War, c'est ce qu'attend la plupart des spectateurs : voir de la sueur, des caractères, des affrontement, des mots! Le contrat est pour moi largement rempli avec mention très bien!! C'est un film de génération aussi : il pourra lancer une nouvelle franchise comme rester unique mais il marquera cette saga Rocky, au même titre que le 6. Le réalisateur montre bien tout le respect qu'il a pour les origines, tout semble bien mis en place, cohérent avec les origines. Il parle bien du devenir des anciennes gloires, de la volonté de Rochy de transmettre, son humilité. C'est ici un grand personnage une fois encore. Stallone est, à ma grande surprise, renversant. Quel humour et prise de recul sur lui-même ! Il montre complètement son âme. Emouvant. L'interprète de Adonis Creed est un digne et potentiel successeur au champion, contrôlant (ou pas!) ses révoltes, ses envies, sa force. On assiste à une belle histoire entre lui et ce père mort prématurément et qu'il voit en Rocky. Même l'histoire d'amour naissante n'est pas idiote et surtout pas une copie de celle de Rocky/Adrienne. Au contraire, le réalisateur apporte bcp de modernité dans les relations entre les personnages. Il insuffle et mélange donc le respect dû à l'âge, à l'histoire (petite et grande) et le film classique d'un champion en devenir avec son lot d'épreuves, et ce, dans une vision somme toute simpliste, mais très efficace, humaine surtout.
C'est en cela que le film est une totale réussite : les personnages sont vrais!
On y court donc, qu'on aime ou pas la saga.

L'année 2016 continue son long chemin, en livrant, pour la quatrième fois, un excellent film, après "Les Huit Salopards", "Carol" et "The Danish Girl". En effet cette année promet d'excellentes surprises, en matières de petits films indépendants, de longs-métrages ou de grosses machines à frics. Par encore une seule déception cette année, et "Creed" se révèle être une excellente surprise. Rien de révolutionnaire, rien d’innovant, rien d’original. Creed n’invente rien. Et pourtant. Il n’a pas besoin de le faire pour impressionner. Le duo formé par le jeune Michael B. Jordan et le vieillit Sylvester Stallone parvient à faire bien plus qu’à impressionner à la force des poings, car il parvient à émouvoir et à faire rire, et ce pendant tout le long du film. Le réalisateur peu connu du grand public, Ryan Coogler, offre ici deux portraits opposés, car avant d’être un film de boxe, qui n’est qu’un élément secondaire de l’intrigue, Creed est un film humain, porté par un casting prestigieux et par un propos intelligent et touchant. En effet, d’un côté, Adonis, un jeune boxer adepte de baston depuis l’enfance qui va tenter de percer dans le monde de la boxe en suivant les traces de son père décédé, le célèbre Apollo Creed, et mener le même combat pour redonner vie à ce nom pratiquement enterré, et d’un autre côté, Rocky, ancien et célèbre boxer affaiblit par l’âge et le sport, qui va tenter de mener un tout autre combat, bien différent que celui qu’il a mené à l’époque, puisqu’il va affronter la maladie, étant diagnostiqué cancéreux. Ryan Coogler dépeint deux portraits complètement opposés et différents, mais qui vont s’unir et ainsi offrir rires, larmes et spectacles pendant un peu plus de deux heures. Dynamique, impressionnant, émouvant, sincère, Creed remplit les codes à merveilles. C’est basique, mais ça suffit.

Pourquoi j'ai mis 5 étoiles à ce film ?
Tout simplement parce que j'ai pris une claque cinématographique.

C'est le 7eme Rocky. Ca aurait pu celui de trop. Et bien, non. Ca a été celui du renouveau.
Les ficelles de la saga étaient présentes. On les connait et pourtant on a cette impression de les découvrir. Ce film est une continuité. Rocky a vieilli, un autre lui succède.
Il y avait de l'humour, de l'émotion et surtout des magnifiques combats.
Les acteurs sont géniaux. Ils sont parfaits dans leurs rôles respectifs.
Stallone n'a pas aussi bien joué depuis longtemps. Rocky c'est lui. Des hauts et des bas. Au top dans ce film.

Je ne dirai rien de plus. Faut y aller

On ne le répètera jamais assez. La boxe est certainement le sport qui sied le mieux au grand écran. Chef d’oeuvre de l’année 1976 et lauréat de l’Oscar du meilleur film la même année, Rocky reste indétrônable dans ce domaine. Creed, à la fois suite et spin-off, magnifie tout autant ce noble art.
Michael B. Jordan et Sylvester Stallone forment un duo naturel et touchant. Il y a comme une évidence entre eux comme il y en a une entre leur personnage respectif. Grâce à l’arrivée de ce nouveau poulain, on découvre une nouvelle facette de Rocky qui, qu’il le veuille ou non, reste et restera le...

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Apollo Creed, l’adversaire de Rocky, devenu son ami, avait un fils naturel qui a hérité de son père ses dons pour la boxe. Il demande à Rocky de l’entraîner.

« The new Creed » est le septième Rocky joué par Sylvester Stallone. Le premier remonte à quarante ans déjà. Il est devenu culte. Nous en connaissons tous la musique et les plans les plus célèbres : l’entraînement de Rocky à base d’oeufs gobés, la montée quatre à quatre de l’escalier monumental de l’hôtel de ville, le combat final de Rocky et son cri d’amour à Adrian…

« Rocky » eut des suites en son temps. Je me souviens d’avoir vu tout gamin « Rocky III » et « Rocky IV » au cinéma et d’avoir vibré et applaudi aux victoires de Rocky.

En 2006, Stallone a tourné « Rocky Balboa ». Ce dernier film, très réussi, n’avait de sens qu’à condition de conclure la saga. « Creed » est l’épisode de trop. Ne pouvant plus décemment remonter sur le ring à 69 ans, Stallone s’y fait remplacer par plus jeune que lui. Le jeune Creed n’est plus avide de reconnaissance sociale comme l’était son coach, mais veut se faire un prénom. À cette différence près, son parcours sera le même que celui de son mentor. L’entraînement, le match et même son résultat à la Pyrrhus au son du thème archi-célèbre de Bill Conti sont copiés sur le Rocky de 1976.

Entre l’original et la copie, je préfère l’original.

Je n’étais pas spécialement un grand fan de Rocky même si je les avais tous vus. Rocky Balboa, le dernier en date, était spécialement réussi. Tout comme ce dernier, Creed, se concentrant sur le fils d'un personnage secondaire de la saga, se rapproche bien du Rocky d'origine, presque quarante ans après. Pour l'occasion, Ryan Coogler retrouve l'interprète de son excellent premier film Fruitvale Station Michael B.Jordan. Celui-ci s'en sort très bien dans le rôle du fils d'Apollo Creed. Il est tout de même éclipsé par un Sylvester Stallone étonnant. S'il reprend son rôle légendaire, il ne monte, par contre, pas sur le ring (sauf en qualité d'entraineur). C'est par lui que l'émotion arrive à presque chacune de ses apparitions (la première scène notamment, et la dernière sur les fameuses marches de Philadelphie) et quand bien sûr retentit (une seule fois) la fameuse musique. Stallone est donc particulièrement touchant en Rocky vieillissant et malade. Une belle performance tout en nuance et en sobriété qui, après le Golden Globe du second rôle, devrait le voir consacrer par un Oscar bien mérité fin février à Los Angeles. Pour revenir au film en lui-même, cela reste traditionnel, tant sur la forme que sur le fond, mais c'est plutôt bien fait. La mise en scène et le scénario (pour la première fois pas écrit par Stallone) sont classiques pour un film de boxe, tous les attendus et clichés sont là. Pas de surprise mais pas d'ennui non plus. On est certes plus intéressé par le parcours de Balboa que par celui de Creed. Au final, un nouvel opus (et dernier ?) de l'histoire de Rocky, touchante et émouvante, et une passation de pouvoir qui nous font passer un bon moment. Mais pas sûr qu'il faille relancer une franchise sur ces bases là...

Je me souviens être allé voir Rocky Balboa (à savoir, le n°6) au cinéma il y a dix années déjà, et j'avais été tellement ému...

J'ai retrouvé cette émotion aujourd'hui devant Creed. Avec l'âge et l'expérience, on s'intéresse à d'autres choses qu'à la boxe dans ces films et le autre chose y a toujours été très riche. Creed ne déroge pas à la règle.

Ici tout est juste et bien dosé que ça en est difficilement croyable. que ce soient les personnages qui sont tous vraiment bien écrits, que ce soit la musique, l'histoire, les dialogues, la réalisation, tout est bien dosé. Il n'y a rien de trop, rien qui manque. La seule chose qui se permette un peu de surenchère, c'est justement la boxe mais heureusement, elle n'est que accessoire. La boxe a toujours été accessoire dans les films de la série Rocky.

C'est un film est servi par un casting magnifique, rien à redire sur Michael B Jordan qui est excellent et bien entendu Stallone nous livre une performance vraiment sublime. Toute l'émotion du film vient de lui. Rocky traverse encore une fois des épreuves qui ne pourront laisser personne de marbre et Stallone soutient tout cela avec maestria.

Encore une fois, le sujet de cette histoire n'est pas la boxe. Non, c'est avant tout une quête d'idetité, une histoire d'amour, de famille, de résilience, en gros, une ode à la vie et au(x )combat(s) que celle-ci représente.

Enfin, on aura plaisir à voir tous les clins d’œil et référence aux précédents films sur Rocky (une thème musical, un short), mais également des référence à d'autres films comme par exemple Le Parrain. On remarquera également la poésie de cette histoire, à quelle point il est toujours plaisant de suivre ces personnages dans les rues de Philadelphie, ou comment un homme qui court sur la route entouré de motards roulants sur leur roue arrière (chose dont j'ai horreur en temps normal) devient une scène très marquante, très puissante.

Creed est entre nostalgie, héritage, optimisme. Il regarde vers hier mais surtout vers demain.

Le jeune réalisateur Ryan Coogler reprend tous les codes de la saga Rocky. Et les revitalise. Et puis, surtout, il y a Sylvester Stallone. Il est ici particulièrement touchant et émouvant. Au milieu du film, on est pris à la gorge par ce qui lui arrive. Ajouter à cela deux combats de boxe d’anthologie, qui constituent deux modèles de mise en scène du genre. Le premier nous plonge en immersion totale sur le ring avec Adonis Creed, puisqu’il s’agit d’un impressionnant (et inédit ?) plan-séquence à ses côtés, de son entrée dans l’arène jusqu’à la fin du combat. Le deuxième, dans une forme plus classique mais pas moins efficace, alterne entre les points de vue à la troisième personne avec commentaires des présentateurs dramatisant l’action et effets de mise en scène lors des péripéties de ce combat.
Entre ivresse du sport et nostalgie du passé, « Creed » n’est que de l’émotion. Le film réussit l’exploit, qui paraissait impensable, de donner très envie de découvrir sa suite…

Film joliment interprété et bonne idée de départ, mais malheureusement l'intrigue s'essouffle immédiatement et les enjeux sont convenus.

Un titre qui va avec le film tant que l'héritage est là clin d'oeil d'humour ou d'émotion sur la franchise de rocky. Mais c'est creed où michael b. Jordan à bien fait de n'avoir pas arrêter sa carrière après l'échec cuisant des quatre fantastique et avec ce film il peut d'ors et déjà s'assurant une bonne filmographie à venir. Sylvester stallone campe un héros discret cette fois ci ce qu'il lui donne du temps pour parfaire son rôle qui l'a invente 30 plus tôt, finalement il n'est que bon dans les drames que dans les films d'action à deux balles. La réalisation est réaliste, dure, simple tous comme les combats de boxe. Le discours finale sur le ring à la fin du film m'a mit la larmes à l'oeil.

Ce film est dans la veine des autre Rocky. Je n'ai pas vu le temps passer c'était intense et rythmé. J'ai adoré l'histoire, revoir Rocky qu'on aime toujours autant si ce n'est plus, et le nouveau poulain de Rocky est au top. Les liens qui se créent sont fort et les étapes traversées par les personnages sont dures et donnent du sens à ce film. Le combat final est super comme pour les autres films. Je me suis régalé et je ne demande qu'à en voir plus!

Super film,très bonne réalisation et BO, Michael B Jordan est excellent et golden globe mérité pour Sylvester Stallone.J'ai passé un super moment, j'y retourne. Vivement la sortie blu ray.

Je ne cache pas que je suis un grand fan de la saga « Rocky » qui a rythmé ma vie depuis ma plus tendre enfance... Dès que j'entends un morceau du groupe « Survivor » j'ai les poils qui se hérissent sur les bras ! Du coup, en apprenant que Sylvester Stallone confiait les rênes de sa franchise à un nouveau réalisateur, j'ai eu quelques sueurs froides ; Bien à tort, je dois aujourd'hui le reconnaître. En effet, non seulement « Creed » est d'excellente facture mais il sonne également comme un très bel hommage à la gloire de l’Étalon Italien vieillissant. Ryan Coogler (« Fruitvale Station ») met les petits plats dans les grands et propose un film épique, plein de bravoure et teinté d'un délicieux brin de nostalgie. Le scénario est simple mais efficace et on a plaisir à retrouver ce bon vieux Rocky en entraîneur du fils de son « meilleur ennemi », le grand Apollo creed. Inutile de préciser que l'histoire n'est qu'un prétexte pour légitimer quelques combats de boxe, peu nombreux, mais d'une incroyable intensité. Ils n'ont d'ailleurs rien à envier en rythme et en émotion à ceux des précédents épisode, ce qui est un vrai tour de force. Le jeune acteur michael B. Jordan y met visiblement tout son cœur et Sylvester Stallone se révèle, une nouvelle fois, impérial. Il fait preuve d'un grand charisme et sa prestation pourrait bien lui valoir un Oscar très prochainement. Du grand art, tout simplement.

Les films de Sly sont souvent de qualité avec toujours le thème de l'apprentissage et de la sagesse face aux pouvoirs. Il maitrise le rôle de Rocky Balboa à merveille. Dans Creed, Rocky devient le mickey d'un boxeur fils d'Apollo Creed, fougueux et imprévisible. Bons sentiments et leçon de vie constituent les fils rouges du film dont la boxe n'est qu'un prétexte comme les bons Rocky (5 exclu). A noter l'excellente réalisation de Ryan Coogler, Les combats sont impressionnants.
Creed est le premier film de la saga véritablement sur la boxe. Un des meilleurs de la saga avec Rocky I

THE film de la rentrée, Creed est une claque révélant toute l'intensité de la saga. J'ai été beaucoup plus impressionné devant Creed que Star Wars 7 ;)