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Une fois n'est pas coutume, ce biopic signé Bill Pohlad (producteur de "Brokeback Moutain", "12 Years a Slave") évite l'écueil du banal récit chronologique pour se concentrer sur deux périodes clefs de la vie du musicien, interprété par deux acteurs différents. (...) Bluffant.
Mais si "Love & Mercy" est un si beau biopic, ce n'est pas grâce à l'exactitude fétichiste de ses détails mais à la justesse de ses opinions globales. Ne pas faire "la légende en or des Beach Boys" mais se focaliser sur les périodes les plus essentielles de son créateur majeur, Brian Wilson.
Bill Pohlad parvient à filmer la musique en train de se faire, dans une succession de scènes de studio euphorisantes où l’on assiste à la genèse de "God Only Knows" et de "Good Vibrations", désignée sixième meilleure chanson de tous les temps par le magazine américain Rolling Stone.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le biopic "Love and Mercy", de Bill Pohlad (producteur de "Brokeback Mountain" et "12 Years a Slave"), offre une plongée émouvante dans le cerveau du Mozart dérangé de la Côte Ouest.
Lourdement sous-titré "La Vie, l'amour et le génie de Brian Wilson des Beach Boys", "Love and Mercy" remet les pendules à l'heure : le groupe californien n'est pas qu'une bande de plagistes à chansonnettes mais le porte-voix d'un grand mélodiste incompris.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) les scènes de combat contre la maladie mentale sont impressionnantes et montrent un Paul Giamatti en psy terrifiant. Biopic différent, "Love & Mercy" brosse un portrait complexe de Brian Wilson. Et donne envie d'écouter sa musique.
Pour son deuxième film derrière la caméra, le producteur Bill Pohlad bouscule les codes du biopic. En utilisant deux acteurs (Paul Dano et John Cusack excellents) pour interpréter Wilson à différents âges, il cerne au plus près la personnalité de ce génie musical. Le tout au son de tubes tout simplement immortels.
Une évocation de deux époques de la vie de Brian Wilson (gloire et inventivité dans les années 60, dépression dans les années 80) montées en miroir l’une de l’autre, suivant un balancement good vibrations-bad vibrations d’abord plaisant mais qui peine malheureusement à tenir la distance.
Le seul point notable, c'est le rôle principal, qui est joué par deux acteurs différents (...). Pour le reste, le film capture bien l'ambiance des sixties et la fin du California dream, tout en insistant sur le statut de "génie" de Brian Wilson. C'est de la musique sympa, certes. Mais "géniale" ? A chacun sa vérité.
Le film trouve sa fluidité en brossant le portrait intime d'un musicien d'exception. Il évite l'écueil d'exhiber l'effondrement (obésité, dépression, folie) des années 1970 pour s'immerger dans l'intériorité d'un créateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
En superposant l'insouciance créative des années 1960 avec la froideur toute capitaliste des années 1980, "Love & Mercy" témoigne à sa façon de l'évolution malheureuse de la pop grand public vers un consumérisme absurde.
De cette farandole de mauvaises idées et de choix malheureux (jusqu’à l’utilisation d’une bande-son originale anecdotique au final aussi présente que les morceaux des Beach Boys !) accouche un biopic empesé dont le seul intérêt (mais ce n’est guère une surprise) tient à la présence de quelques merveilles harmoniques. Reste alors à fermer les yeux et à tendre l’oreille.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CinemaTeaser
Le film explore avec une vivacité poignante l'acte de création artistique autant que les émotions dévastatrices qui le précèdent.
L'Express
Une fois n'est pas coutume, ce biopic signé Bill Pohlad (producteur de "Brokeback Moutain", "12 Years a Slave") évite l'écueil du banal récit chronologique pour se concentrer sur deux périodes clefs de la vie du musicien, interprété par deux acteurs différents. (...) Bluffant.
Les Inrockuptibles
Mais si "Love & Mercy" est un si beau biopic, ce n'est pas grâce à l'exactitude fétichiste de ses détails mais à la justesse de ses opinions globales. Ne pas faire "la légende en or des Beach Boys" mais se focaliser sur les périodes les plus essentielles de son créateur majeur, Brian Wilson.
Positif
"Love & Mercy" a dû désarçonner ceux qui attendaient l'hagiographie de rigueur. En revanche, le cinéma y a gagné une oeuvre insolite et originale.
GQ
Bill Pohlad parvient à filmer la musique en train de se faire, dans une succession de scènes de studio euphorisantes où l’on assiste à la genèse de "God Only Knows" et de "Good Vibrations", désignée sixième meilleure chanson de tous les temps par le magazine américain Rolling Stone.
Le Monde
Une mise en scène inspirée.
Le Parisien
"Love and Mercy", excellent film de Bill Pohlad qui raconte le destin des Beach Boys.
Le Point
Le biopic "Love and Mercy", de Bill Pohlad (producteur de "Brokeback Mountain" et "12 Years a Slave"), offre une plongée émouvante dans le cerveau du Mozart dérangé de la Côte Ouest.
Libération
"Love and Mercy" rend grâce au Californien Brian Wilson.
Ouest France
Mieux qu'un biobic classique et convenu, une restitution intelligente et subtile signée Bill Pohlad. Entre nostalgie et modernité.
Première
Lourdement sous-titré "La Vie, l'amour et le génie de Brian Wilson des Beach Boys", "Love and Mercy" remet les pendules à l'heure : le groupe californien n'est pas qu'une bande de plagistes à chansonnettes mais le porte-voix d'un grand mélodiste incompris.
Studio Ciné Live
(...) les scènes de combat contre la maladie mentale sont impressionnantes et montrent un Paul Giamatti en psy terrifiant. Biopic différent, "Love & Mercy" brosse un portrait complexe de Brian Wilson. Et donne envie d'écouter sa musique.
Télé 7 Jours
Pour son deuxième film derrière la caméra, le producteur Bill Pohlad bouscule les codes du biopic. En utilisant deux acteurs (Paul Dano et John Cusack excellents) pour interpréter Wilson à différents âges, il cerne au plus près la personnalité de ce génie musical. Le tout au son de tubes tout simplement immortels.
Télérama
Voici, dans le genre semé d'embûches du biobic musical, une réussite qui fera date.
Cahiers du Cinéma
Une évocation de deux époques de la vie de Brian Wilson (gloire et inventivité dans les années 60, dépression dans les années 80) montées en miroir l’une de l’autre, suivant un balancement good vibrations-bad vibrations d’abord plaisant mais qui peine malheureusement à tenir la distance.
L'Obs
Le seul point notable, c'est le rôle principal, qui est joué par deux acteurs différents (...). Pour le reste, le film capture bien l'ambiance des sixties et la fin du California dream, tout en insistant sur le statut de "génie" de Brian Wilson. C'est de la musique sympa, certes. Mais "géniale" ? A chacun sa vérité.
La Croix
Le film trouve sa fluidité en brossant le portrait intime d'un musicien d'exception. Il évite l'écueil d'exhiber l'effondrement (obésité, dépression, folie) des années 1970 pour s'immerger dans l'intériorité d'un créateur.
Le Journal du Dimanche
En superposant l'insouciance créative des années 1960 avec la froideur toute capitaliste des années 1980, "Love & Mercy" témoigne à sa façon de l'évolution malheureuse de la pop grand public vers un consumérisme absurde.
Les Fiches du Cinéma
Le film séduit par son évocation de la schizophrénie, mais flirte par endroits avec l'académisme.
Critikat.com
De cette farandole de mauvaises idées et de choix malheureux (jusqu’à l’utilisation d’une bande-son originale anecdotique au final aussi présente que les morceaux des Beach Boys !) accouche un biopic empesé dont le seul intérêt (mais ce n’est guère une surprise) tient à la présence de quelques merveilles harmoniques. Reste alors à fermer les yeux et à tendre l’oreille.